Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
24 Avril 2014
Ce matin, Inès est dans tous ces états. Elle sent que c’est le grand jour. Elle va enfin voir en entier son héritage. C’est tout au moins ce qu’elle veut croire. Sous la douche, elle chante, se frictionne. La veille elle avait pris un bon bain en rentrant. Mais ce matin, elle se sent différente. Est-ce la conversation qu’elle a eue avec Alain et Philippe, lorsqu’elle leur a montré la fameuse lettre du cousin ? Ou bien lorsqu’Alain est venu dans sa chambre pour avoir des renseignements complémentaires sur la famille Plantin-Caillé ?
Elle lui a montré les documents du notaire, prouvant sa généalogie avec le fameux cousin. Alain décide de faire des vérifications. Il scanne les documents. Puis ajoute les diverses photographies trouvées, ainsi que les renseignements sur ordi-portable. Par Wifi il relit les renseignements à son bureau. Sa secrétaire s’occupera des données. Il promet à Inès, qu’elle aura son arbre généalogique le plus rapidement possible. Ainsi elle connaîtra la vérité sur sa famille. Qu’elle soit la descendante, direct ou un hasard de la vie, qu’elle serait la descendante d’un homonyme, pour Inès, cela importait peu, mais la vérité serait établie. À cause de cette découverte, malgré la fatigue, ou à cause, d’elle elle a très mal dormi. L’eau tiède de la douche fouette sa peau. C’est le délice de la matinée.
Elle se presse, car le responsable des travaux va l’attendre sur la place de l’église. Ses amis l’attendent pour le petit déjeuner également. Elle dévale les escaliers. Lorsqu’elle arrive Philippe et Alain discutent en l’attendant. Tous trois avalent leur croissant et leur jus d’orange, plutôt qu’ils ne le mangent et le dégustent.
Déçu et boudeur ce pinçant les lèvres.
Répondent-ils étonnés.
Leur assure-t-elle rassurante
devant l’expression des visages de ces amis elle les rassure.
Devant l’expression de ses amis, elle les rassure à nouveau en leur disant :
Effectivement, une heure plus tard, Inès est au domaine avec non seulement le camion-citerne, mais aussi tout le nécessaire pour faire le ménage dans la maison du cousin. Mais aussi de quoi changer ses vêtements, et faire une toilette d’urgence, étant donné la saleté des lieux, et aussi une armoire à pharmacie avec le nécessaire pour les urgences Elle a ramené la quincaillerie que lui avait demandé Roger.
Une fois tout déposé, elle va rejoindre les ouvriers avec Monsieur Lavoie. À leur grande surprise, la grille séparant le manoir du reste de la propriété est ouverte et une grande plateforme est mise à nue. Comme une sorte de parvis
S’écrient joyeusement les jeunes gens. Ils sont tellement soulagés en voyant arrivé leur amie. Elle est si heureuse, qu’elle communique sa joie de vivre.
Réplique la jeune fille. Elle saute de joie comme une petite fille. Sa surprise est si grande. Ils sont si proches de ces ruines !
Après quelques instants, elle redevient sérieuse. Elle s’inquiète. Demande
Intervient Philippe en riant.
Elle précise
Quelques minutes plus tard, elle revient vers eux avec Pierre. Tous sont assis en tailleur autour du panier. Ils se jettent littéralement avec gourmandise sur ce qu’a apporté Inès. Le fameux jambon vendéens et le saucisson à l’ail. Ce fut d’abord le silence et le son du pain mâché des ouvriers, les glouglous des ouvriers buvant leurs fillettes de rosé frais. Ils terminent avec un café du thermos. Philippe, Alain et aussi Inès se régalent de Schweppes agrume frais. Après une pause d’une demi-heure, le soleil monte et ses rayons commencent à chauffer sérieusement. Pourtant il n’est que dix heures ! Pierre commande à l’un de ses employés.
Lui assure Pierre.
Intervient Philippe.
Leur dit Pierre
Répondent-ils en cœur. À suivre…