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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

9 La maison du cousin

La veille pour se détendre, ils ont regardé la télévision dans la chambre d’Inès. Aux infos ils parlent de cette affaire des Trois renards. À cause de cette histoire, les paparazzis les cloîtrent dans leur chambre. C’est pourquoi, ils n’ont pu se promener près de la rivière, ou boire un pot dans un bar de Cholet, ou voir un film actuel au cinéma de cette ville. Enfin, ils se sont contenté, d’un vieux film à la télé : la piscine avec de Funès, avant d’aller dormir dans leur chambre réciproque.

Après sa douche, Inès a plongé dans les bras de Morphée. Si bien que ce matin, le soleil, la réveille en caressant ses cheveux. Elle réalise que les volets ne sont pas fermé, que le double rideau en velours orange n’est pas complètement fermé. D’où le toupet du soleil ! Cela lui donne du tonus. Heureusement que sa chambre donne sur le jardin de l’hôtel ! pense-t-elle.

Elle est heureuse, elle est sûre c’est le grand jour ! Elle va enfin voir la maison du cousin et peut-être les restes du fameux manoir.

Philippe et Alain ont décidé que chaque jour passé à Cholet, ils alterneront leur voiture. Ainsi il y aura qu’une seule voiture. La seconde voiture restera au parking de l’hôtel. Ils sont nerveux, aujourd’hui, ils ne seront pas avec le commissaire. La police continue leur enquête et eux vont continuer la progression dans leurs recherches.

Lorsqu’ils arrivent au banc de la veille, ils sont heureux. Ils sont loin de se douter de ce qui les attend. Ils regrettent de ne pas avoir appelé des bras pour les aider. Les arbres et les haies sont si denses, que leurs simples outils sont insuffisants. Après concertation, Philippe appelle des ouvriers. Ils viennent de Pol-emploi. Philippe les a recruté avec un contrat temporaire d’une semaine reconductible, jusqu’à la fin du chantier. Ce sont des ouvriers habitués aux déblayages. Ils arrivent avec le matériel adéquat, que Philippe à loué. Les scies électriques de bûcherons, une pelleteuse, et un groupe électrogène loué pour la semaine ainsi que des pelles, sont arrivés avec les hommes. Ils sont heureux, ils vont avoir une semaine de travail au minimum. La joie se lit dans leur regard et leur comportement.

Inès réalise, qu’à partir de demain il faudra prévoir, deux heures de pose pour les ouvriers, et des repas consistants pour ses trois employés. Pour elle c’est le casse-tête chinois. Elle aimerait bien que le notaire débloque rapidement ce compte en Suisse. Car cet héritage va lui coûter très chère, avant d’avoir des revenus, si un jour il y en a un. De plus, il faut prendre des précautions. Car une partie de la propriété à de vieux souterrains, qui seront certainement dangereux, lorsque que les vieux buissons seront arrachés. Il y a risque d’effondrement sous les pas de chacun. C’est pourquoi, ils restent tous ensemble, pour prévenir le danger.

En progressant, ils découvrent, qu’à certains emplacements, il y a de petites clairières. Les arbres ont poussé trop dense, par endroit, alors ils se sont étouffés. Puis, ils trouvent des arbres couchés, à moitié pourri, avec des champignons. Les ouvriers racontent la tempête qui a dévasté la région en deux mille un. Ce qui explique ces enchevêtrements bizarre de ces vieux arbres, buissons, fougères, églantiers, ronces. Chacun essai de suivre les pavés de l’ancienne route. Sur le plan, elle conduit au manoir et ses dépendances. Malgré, tous leurs efforts ils n’avancent que de vingt-cinq à trente mètres par jour, sur un front de quarante mètre de largeur. La pelleteuse repousse sur la gauche les détritus, et sur la droite elle dépose les arbres et grosse branches, qu’ils ont coupés. Cela fait une allée impressionnante, et procure un sentiment de sécurité.

Le quatrième jour, ils arrivent enfin aux dépendances du manoir. Un gros chêne fier comma Artaban les accueille. Il a poussé dans ce qui fut un haras, et a traversé la toiture. D’après le responsable des ouvriers, il est au moins centenaire ! La cour est encombré de tout, de chariot, au bois pourri, de plantes sauvages ayant poussées à travers les fentes du dallage du sol ! Ils sont arrivés dans un espace, qui pourrait bien être la maison du cousin. Une fois la cour nettoyée, l’est du bâtiment a certainement dû être habité bien après, les évènements de la Révolution quatre-vingt-neuf. Les volets sont endommagés, à moitié ouverts. Les fenêtres comportent des vitres brisées.

Inès, fait ce qu’elle peut pour aider tout le monde. Tous apprécient les deux heures de pose. Le repas froid est différent chaque jour, et le café est le bienvenu. Ces journées se déroulent dans la bonne humeur. Le soleil se fait complice. Chacun se repose dans l’herbe.

Cependant, aujourd’hui, chacun est exténué. Ils ont presque terminé leur recherche, dans la première tranche. Mais une autre grille les attend, elle est l’entrée officielle qui mène au manoir. La curiosité leur donne des ailes malgré tout.

Inès hésite entre visiter tout de suite la maison du cousin, et continuer pour voir de suite ces fameuses pierres. Son hésitation est de courte durée.  Elle voudrait tant connaitre son bienfaiteur ! Elle aimerait avoir tant avoir les réponses à ces questions. Pourquoi elle, plutôt qu’un ami en Amérique ? Oui pourquoi, tout cela lui arrive ! Et puis il y a ce manoir, comment est-il maintenant ? Quel est son histoire ? Lui l’inconnu, l’oublié de l’histoire, pourquoi est-il resté dans l’ombre ? Il y a peut-être dans ces ruines, l’explication de son tragique destin.

Elle se décide de visiter l’aile est du bâtiment. Mais avant de faire sa prospection, elle prend la parole.

  • Pendant, que je serais dans cette maison, toute seule, vous messieurs, vous continuerez les travaux de déblayage avec Philippe et Alain. Je ne vous suis pas très utile. Prenais des précautions à ce grand portail historique. Plus tard on trouvera peut-être des indice de sa date, de son histoire ou autre. commande –t-elle.
  • Ce doit être la maison du cousin.

Dit-elle, en se retournant.

 

Elle traverse la cour grossièrement nettoyée. Son cœur bat au rythme d’un rock. Elle s’est prémunie d’un balai, d’une pelle et des chiffons en papier ainsi que des lingettes pour se nettoyer et un foulard pour attacher ses cheveux rebelles..

Inès pousse la porte à deux battants, comme il en existe dans les années trente. Elle devait avoir était peinte en bleu, au vue des écailles de peinture. En pénétrant, dans le bâtiment, elle eut une grande surprise. Tout est rangé, comme s’il venait de partir à son travail. La pièce semble l’attendre. Ce sentiment étrange qu’elle avait eu, est redevenu présent. Peut-être, qu’il y a une explication dans l’un des tiroirs des meubles ? Mais avant il faut ôter, la poussière, les toiles d’araignée et de poussière, pour trouver quelque chose. Puis elle voit un seau en cuivre, il y a un évier, mais pas de robinet. Comment va-t-elle laver ? Le puits ne doit pas être sûr. Les chaines sont rouillées, la corde est certainement pourrie ! Et il doit y avoir des herbes entre les pierres. Dommage, ce Pierre Caillé l’avait refait, d’après ce qu’elle constate….

À suivre

9 La maison du cousin
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M
Oui ils vont beaucoup peiner
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F
et bien ils ne sont pas au bout de leur peine avec cet héritage
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