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9 Avril 2014
Le lendemain ils sont prêts de bonne heure. Ni l’un, ni l’autre n’ont pu dormir. Inès inquiète de ce qu’elle va découvrir. Philippe, lui, c’est l’appel de l’aventure. Inès a préparé un panier pique-nique, avec plein de boisson.
Sur la route, ils suivent le plan du notaire. Ils arrivent à une sorte de chemin. Le notaire leur a indiqué, route des oiseaux, entre parenthèse il a noté ancien nom de ce chemin en mille sept cent quatre-vingt-quatorze. Le cœur battant, ils s’engagent sur ce chemin étroit. Après deux virages, ils doivent descendre. L’herbe et ronces leur coupe le passage. Sur les conseils du notaire, ils se sont équipés de faucille, de pioche et d’une scie électrique avec chargeur solaire. Eux, qui n’ont jamais fait de travail manuel, ils sont déroutés. Mais le courage, la curiosité et surtout la détermination de connaître la vérité, les font avancer. Ils suivent les conseils du vendeur et aussi le mode d’emploi de leurs outils. Ils avancent doucement pour commencer, ils suivent l’ancienne route. Elle est pavée à partir de cent mètres de défrichement. Soudain, ils arrivent devant une vieille grille en fer forgé rouillée, enchevêtré dans les ronces. En levant les yeux, Inès parvient à lire au-dessus du portail, malgré la rouille : LES TROIS RENARDS.
Dans la joie, ils sautent de joie, dans les bras l’un de l’autre. C’est l’euphorie, la récompense de tant d’effort. Seulement après avoir pris une collation et bu un café, résolument, ils continuent. Ils avancent péniblement, puis une clairière s’ouvre devant eux. Une traction est devant une porte délabrée d’une masure. Déception des jeunes gens, mais Philippe fait remarquer à Inès…
La surprise est de taille ! À l’intérieur il y a un porte-clés avec la croix gammée, sur le tableau de bord. Tout est rouillé et les plantes ont pris possessions des coussins, et probablement des rats y ont élus domicile.
Enfin, ils se décident à entrer. Ils poussent la porte, pour un passage plus grand. Un silence, lourd, les accueille. Une poussière d’au moins dix centimètres partout, des toiles d’araignées font office de moustiquaire. Ils sont dans la pièce principale, avec une grande cheminée et sur le côté ce qui devait-être un four à pain. Au centre, une table et son bougeoir. Quelques assiettes avec un reste d’aliments secs pleins de poussière.
La pièce est sombre, la lampe torche de son faisceau dessine des ronds lugubres en balayant la pièce. Soudain, Inès pousse un cri d’orfraie :
Philippe tourne la tête et
Deux squelettes embrochés réciproquement, sont à genoux, chacun un poignard dans la poitrine. Qui sont-ils ? S’interrogent les jeunes gens