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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

17 - Le retour à Cholet

  • Alors les amis en forme pour attaquer la semaine ?

La voix joyeuse d’Alain accueille les amoureux. Il est frais et dispo. Il a vu sa famille. L’important pour lui, il a pu avancer sur l’arbre généalogique d’Inès. Il ne sait pas si Bertrand Caillé est l’ancêtre d’Inès, mais il a beaucoup progressé, grâce à ses amis mormons d’Amérique, et ses recherches personnelles.

  • Oui

Lui répond Philippe amorphe, pourtant si heureux de revoir son ami frais et dispo. Les deux amis semblent oublier Inès. Elle décide de s’installer à la table voisine. Ils ne se préoccupent pas de la table voisine. Pourtant… ils attendent leurs chère Inès. Les deux copains discutent à bâton rompu sans se préoccuper de l’heure.

  • En définitif où êtes-vous allé ?
  • À Paris !
  • À Paris-Plage ?

Interroge Alain, l’expression taquin.

  • Non, notre voyage a commencé plutôt animé.

Précise Philippe

  • Ah ! oui ?

S’étonne Alain

  • Que je vous raconte !

Relate  Philippe en continuant son récit il oublie le vouvoiement de principe en public.

  • Figure-toi, que nous nous sommes arrêté à Chartres chez la maman de Claire. Café, glace,  petit gâteaux …

Bla-bla-bla et patati et patata. Inès assise à la table voisine, le nez dans la carte des menus, son attitude surprend les clients habités. Personne ne semble voir la scène en apparence, excepté certains regards interrogateurs. Lorsqu’un homme s’assoit à la table subrepticement à sa table. .Elle lève les yeux, et là, surprise. Le capitaine en uniforme, souriant est devant elle. il lui dit en confidence, qu’il a des nouvelles interressante. Elle ouvre la bouche, mais il lui pose son index dessus. Il fait signe au serveur et commande :

  • Une brioche avec un crème et un jus d’orange

Le serveur interroge

  • Et pour Mademoiselle se sera un thé comme d’habitude ?
  • Oui, mais avec deux toasts beurrés et de la marmelade d’orange.

Complète-elle

  • Je vous sers de suite. Vos amis attendrons, ils ont oublié où ils sont.

Lâche-t-il amusé

  • Portez leur,  leur petit-déjeuner habituel. On verra, s’ils réagissent

Commande Inès sur un ton confidentiel rieur. Le serveur acquiesce silencieusement amusé.

  • Je vous disais, j’ai des nouvelles de vos photos celles d’ici, mais également celles de Paris. Quand nous aurons terminé ce petit-déjeuner, nous irons à la caserne. Il n’y aura pas d’oreille indiscrète mademoiselle
  • Cela est aussi important pour que nous allions à la gendarmerie.

Riposte-t-elle à voix basse. Arrive le serveur, son plateau est garni, des ingrédients pour les deux tables. Il commence le service par Inès et le capitaine, puis se retourne et dépose le menu habituel au ces deux bavards. Ils n’ont même pas réagi. Ils font comme s’il l’avait commandé. Philippe poussent jusqu’à dire machinalement

  • Merci Gaston !

Le garçon de café s’en va rapidement en riant, il ne s’appelle pas Gaston, mais Gaspard ! Inès, elle aussi rit doucement. Pour elle la journée semble bien commencer. Le capitaine et elle se hâtent. Laissant leurs deux champions continuer leur bavardage. Ils ne rendent même pas compte du départ de la table voisine. Rien ne peut les interrompre, semble-t-il. C’était comme si, ils avaient été séparés pour un long voyage. Inès découvre une autre facette de Philippe. Elle ne sait pas si elle doit en rire ou pleurer, mais elle prend le parti d’en sourire. Elle retourne à la table des jeunes gens.

  • Ne me cherchez pas, je suis à la caserne avec le capitaine Blaireau.

Leur annonce-t-elle

  • Quoi ? mais vous avez pris quelque chose au moins ?

S’inquiète Philippe

  • Ne vous inquiétez pas. Continuez et finissez votre petit déjeuner. Vous avez tant à vous raconter.

Leur dit-elle en riant. Philippe se lève brusquement, et rejoint Inès. Laissant son ami sur place. Alain ne peut s’empêcher de secouer sa tête et de rire en silence, devant cette situation burlesque. Car lui aussi n’avait pas réalisé ce qui venait d’arriver. IL se dit, heureusement qu’Inès est compréhensive, et qu’elle le prend bien.

Le capitaine emmène Inès en ami. Pour lui cette jeune fille coure un grave danger. Son merveilleux héritage, pourrait lui être fatidique. Il songe à lui mettre une protection, tant que les suspects ne sont pas tous arrêtés. Il perçoit cette épée Damoclès au-dessus de la tête d’Inès. Il est inquiet pour elle. Le trajet ce fait en silence.

  • Capitaine, le médecin légiste demande à vous voir.
  • C’est pour quelle affaire ?
  • Un jeune de quatorze ans qui viens de nous arriver.
  • J’arrive sergent, installez mademoiselle dans mon bureau et portez lui une boisson rafraichissante. Avec cette chaleur, nous allons nous déshydrater.

Ordonne le capitaine soucieux. Inès est intimidée, dans ce bureau avec tous ces dossiers entassés partout, dans les rayonnages, sur le côté de son bureau avec la mention « urgent ». Et celui du dessus est inscrit « l’affaire Plantin ». Sa  surprise est grande. Elle est impressionnée par la taille du dossier. La porte du bureau s’ouvre, le capitaine le sourire aux lèvres lui annonce tout de go

  • La police de Paris du douzième a arrêté l’un des vandales de votre appartement.
  • Déjà ?!

Au premier abord, elle explose de joie. Elle réalise, où elle se trouve et se ravise. Elle se rassoie en interrogeant inquiète.

  • Comment l’un des vandales ? Ils sont plusieurs ?... à suivre
17 - Le retour à Cholet
17 - Le retour à Cholet
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F
la police agit vite
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M
quelques fois c'est vrai