Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
13 Mai 2014
Le sergent Rouliaux pressé quitte la Maison de cousin en courant vers sa voiture tout terrain. Une jeep qu’il a achetée pour son plaisir. Quelquefois il s’en sert pour certaine circonstance, ce qui est le cas aujourd’hui.
Il hèle les deux experts
Il ordonne à ceux qui restent.
D’un regard il interroge Alain, et précise
Répondent les hommes en uniforme. Le convoi s’ébranle d’abord doucement. Ils prennent le chemin dallé de ces vieilles pierres du pays. Sa curiosité des vestiges, également le danger possible, donne des ailes au sergent. Il appui sur la pédale de la vitesse, la voiture fait un bond en avant. Il n’aime pas les énigmes non résolus. Pour lui, les énigmes sont une sorte de puzzle, qu’il doit résoudre avec de la psychologie. C’est sur ce point que le capitaine apprécie son sergent.
Le Français Louis Vicat découvre en 1817 les principes chimiques des ciments et définit les règles de fabrication du ciment hydraulique. Il est considéré comme l'inventeur du ciment moderne, mais il publie ses travaux sans prendre de brevets.
C'est l'Anglais Joseph Aspdin qui fait breveter en 1824 le ciment "Portland", obtenu à partir d'un procédé de calcination combinant la cuisson de calcaire et d'argile dans des fours alimentés au charbon. La dénomination "Portland", due simplement à la similarité de couleur et de dureté avec la pierre de Portland (Sud de l'Angleterre), est à l'heure actuelle toujours employée dans l'industrie.
En Belgique, une première cimenterie voit le jour en 1872 (Messieurs Dufossez et Henry établirent la première usine de production de ciment Portland du pays à Cronfestu). Dès la fin du 19ème siècle, le béton moderne à base de ciment Portland devient un matériau de construction largement répandu.
Le ciment que j’ai gratté, ressemble plus à du béton, qu’à du mortier. C’est la raison qui m’a donné l’alerte.
Ils arrivent à ce fameux pont. Le sergent gare son véhicule de manière à barrer le passage. Comme si quelqu’un aller s’échapper ! Ce n’est qu’un réflexe conditionné par les habitudes de quinze années de service.
Ils sont à quelques centimètres de la porte du manoir calcinée et recouvert de lierres sauvage. Les montants de la porte principale, sont les seuls restent debout.
Pendant que les experts prennent des échantillons de ce ciment, le sergent et Alain, vont au coffre arrière de la jeep et s’équipe du matériel de montagne. En confiance ils s’aventurent dans les ruines, talkie-walkie à la ceinture. Ils ne font qu’une dizaine de mètres, derrière de ce qui avait dû être une porte,. un trou béant est devant eux. Ils sondent avec leur torche. Ils découvrent des marches. En balayant avec leurs lampes ils balayent, le sergent surpris demande :
Précise-t-il.
Le sergent appelle le brigadier Padbaule Jérémie.
Rouliaux et Alain descendent rapidement tout en étant prudent. Ils arrivent sur un sol plein d’éboulis. Lorsqu’ils atteignent ce qu’ils avaient vus, ils constatent, un corps encore chaud, sous un madrier de sécurité effondré. Après vérification, il constate qu’il est vivant, mais faible.
Sa tête est chauve grisonnante, poussiéreuse. Alain, avec un mouchoir en papier lui enlève grossièrement la poussière de gravât, principalement le nez, les yeux, les oreilles et la bouche. Le sergent tend une pochette, pour récupérer les mouchoirs ayant touché au corps de la victime, en vue d’analyse. Il ne sait pourquoi, mais il veut savoir pourquoi, cette poutre est tombée sur lui. 2tant donné que ce lieu n’a pas l’air ancien !
Annonce le sergent aux secouristes venant d’arriver, ils remontent le corps après plus d’une demi-heure, pour le libérer de sa poutre et après lui avoir prodigué les premiers soins. Le sergent cherche dans les poches du malheureux son identité. Et là surprise !
S’écrit-il énervé en lisant le badge de la victime!
Lui soumet Alain.
S’étonne le sergent en ouvrant le portefeuille de la victime.
En lisant sa carte d’identité, et son permis de conduire.
S’informe Alain le curieux.
Habituellement, les noms, même les plus amusants pour le commun des mortelles le laisse de marbre. Il en voit tellement ! Mais là, il ne sait pas pourquoi. Est-ce la configuration des lieux et de l’enquête ? Le nom et le métier ? Il l’ignore. Mais ce nom l’intrigue. Sur sa carte de journaliste, il y est inscrit, Société Journaliste indépendant France.
Déclare-t-il, sans en être convaincu.
Le sergent signale l’identité de la victime, et demande la vérification de celle-ci pour prévenir la famille. Puis il fait son rapport au capitaine Blaireau. Celui-ci confirme l’ordre du sergent et ajoute, il faut prévoir quatre hommes en permanence, pour la protection de ce jeune couple, ainsi qu’un brigadier pour celle de Roger Leduc pendant ces heures de travail dans cette maison en travaux.
En fin de journée, lors du retour des jeunes gens à leur hôtel, ils sont silencieux, éreintés. Ils prennent un dîner léger et rapide. Puis montent chacun dans leur chambre.
Inès, cette fois, au lieu d’une douche, prend un bain parfumé au magnolia. Elle s’y prélasse au son de radio Vatican sur les voix d’un cœur interprétant « couronnée d’étoile, nous te saluons ». Elle se surprend en écoutant ce chant religieux. Elle se revoit communiante avec ses parents, les larmes coulent silencieuses.
En sortant de son bain, elle se sent détendue, reposée. Pourtant, elle s’allonge et pour se changer les idées, allume la télévision. Un livre serait mieux pense-telle. Mais je n’en ai pas un pour me détendre. Ceux que j’ai amenés sont trop sérieux. J’aurai dû en prévoir plus. Il est vrai, j’ignoré, être si longtemps loin de mon appartement. Les larmes remontent une nouvelles fois. Elle revoit son appartement saccagé.
Anne Roumanoff apparait à la télé. Au moins, elle va me chasser mes idées noires. Pense-t-elle. Elle finit par s’endormir en riant.