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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

21 - Les Américains entre dans la danse (suite)

Pendant le retour, elle se met à réfléchir. Ce louis morbilleux est incroyable. Sa famille habite la maison, mais ne paie pas les impôts fonciers ! Elle doit payer le retard, pour récupérer la maison. Mais du fait, qu’il l’a occupé avec sa famille illégalement, et bien entendu, pas verser un centime pour le loyer. Elle va pouvoir se retourner contre les occupants actuels. Pourquoi, son cousin n’a rien fait, pour cette maison. Il est vrai pour ce qu’elle en a vu, elle est bien entretenue. C’est vraiment une famille, peu recommandable. Pourtant, il a une bonne image, ce fils de milicien. Il est l’épicier du village. Puis elle passe à autre chose, en chassant ses réflexions.

Qu’allons-nous faire de la journée avec nos gardes du corps ! Se demandent les trois jeunes gens. Nous sommes comme des enfants.

  • Si on jouait au scrabble ou au loto ?

propose Inès

  • Vous en avez des jeux ?

demande Philippe

  • Non, mais nous pouvons en acheter un dans un magasin.

Dit-elle en pensant « ainsi je pourrai sortir »

  • Il y a internet. Venez tous les deux. J’ai deux PC dans ma chambre. Avec le vôtre nous en aurons trois. Nous invitons un de nos gardes dans notre chambre ainsi le capitaine sera tranquillisé.

Les invites Alain

  • Que de sagesse ! mon ami.

Répond Philippe narquois.

  • Vous savez Alain, le fait d’être enfermer, cela me donne des envies de liberté. Des envies de rouler n’importe où, droit devant.

Philippe exprime tout haut, ce sentiment commun.

  • C’est difficile, de ne pouvoir vivre normalement.

Confirme Inès à ses amis.

  • On ne va tout de même pas jouer aux cartes comme les gardiens de prison.

Rire des jeunes gens. Alain prend une décision,

  • je reprends l’arbre de généalogie d’Inès, il ne me reste que la période de la chouannerie et le dix-neuvième siècle. Cela va m’occuper pour un certain temps.
  • Moi aussi, j’ai du travail en retard. Je dois voir mes dossiers en retard. Et aussi, les autorisations pour les installations de Roger, et les impôts fonciers de l’héritage.

Se décrète Philippe

  • Et moi, je n’ai rien à faire ! je n’ai même pas un portable pour jouer sur Facebook, et voir mes mails, ni un livre nouveau !

Dit-elle en soupirant.

  • Demandez au capitaine que quelqu’un vous accompagne, pour aller en acheter un.

Lui suggère Philippe

  • Bonne idée, j’aurai de bon conseil si le gendarme qui m’accompagne et informaticien.

Elle appelle le capitaine et lui soumet son problème. Le capitaine hésite, néanmoins, il lui envoie Catherine. La joie envahit Inès. Une femme ! Elles vont pouvoir parler de plein de chose. imagine-t-elle.

Une femme en uniforme s’annonce, à la porte de la chambre d’Alain.

  • Mademoiselle Inès, je suis le Lieutenant Catherine Couperin, je viens de la part du capitaine ;

Inès ouvre la porte précipitamment la joie resplendit sur son visage. Dans une sorte de révérence, le regard rieur :

  • Bienvenue dans mon humble demeure

Dit-elle en accueillant le lieutenant. Toutes deux éclatent de rire.

  • Allons dans ma chambre, je prends mes affaires et je vous suis.

Intriguée Inès interroge

  • Où allons-nous lieutenant ?

La réponse est rapide. Elles reprennent le chemin de l’escalier de service.

  • Dans le centre-ville d’Angers. J’ai pris rendez-vous chez un ami. Vous voulez un portable, pour vous permettre d’interroger votre PC de quel qu’endroit où vous vous trouvez d’après le capitaine. vous avez besoin d’être conseiller et de vous apprendre à le paramétrer en même temps.

Explique Catherine.

  • Oui, lieutenant. Puisque nous allons à Angers, nous pourrons aller dans une parfumerie et aussi dans un magasin ou je peux acheter sans danger mes articles intimes.

Catherine est touchée par la confiance que lui accorde Inès.

  • Non nous ne pourrons pas faire tous les magasins. Ce serait trop dangereux. Mais vous me ferez la liste de ce que vous prenez habituellement, je vous les apporterai demain matin. Si c’est urgent, je vous en apporte des miens, ce soir pour l’urgence.
  • Merci lieutenant, oui c’est urgent.

Lui dit Inès, émue de tant de prévenance. Catherine lui intime gentiment

  • Appelez-moi Catherine.

Arrivé à Angers, le commerçant les attendait. Un homme mince, grand aux cheveux bruns, le sourire aux lèvres les accueille.

  • Je vous ai préparé ces quatre portables correspondant à ce que vous m’avez demandé le capitaine et toi.
  • Bien mon brave Antoine. Toujours aussi efficace.

Devant l’expression de surprise d’Inès, Catherine lui explique.

  • Nous nous connaissons depuis le lycée. Nous avons fait la formation technicien en informatique ensemble. C’est pourquoi, je vous ai amené ici. Et puis Antoine est aussi le responsable de la maintenance de nos appareils informatique.
  • Merci, de me faire tant d’honneur.

Inès est impressionnée il y a tellement de sollicitude. Elle se demande, si ce n’est pas cet héritage, rend son entourage, à ses pieds ! Si elle était pauvre, en serait-il autant ? Elle reste stoïque, et ne laisse rien percevoir de ce qu’elle pense.

  • Après la parfumerie nous allons directement à votre hôtel

Lui annonce sa nouvelle amie.

  • Oh Catherine quel bonheur de vous avoir rencontré.

Les deux femmes deviennent de grandes amies. Le retour se fait silencieusement. Inès s’endort dans la voiture. Elle a tellement de repos à rattraper. Cette après-midi à Angers, lui a redonné du tonus. Catherine s’inquiète. Il semblerait qu’elles sont suivies. Elle appelle la gendarmerie, pour faire part de ses craintes. Inès, dors toujours à point fermé. Elle ne se doute de rien. Au carrefour à l’entrée de Cholet, un barrage des gendarmes est établit, juste derrière leur voiture.

La voiture douteuse est interceptée au barrage. Après le contrôle d’identité, c’est un grand éclat de rire.

  • Pourquoi ne pas nous avoir prévenus ?

Ce sont les policiers américains détaché en collaboration pour l’affaire John Hiller ! Le capitaine les attend depuis ce matin ! Ils expliquent qu’ils se sont perdus à Angers. Car, ils ont voulu visiter la ville, et sont allés au restaurant. Ils ont rencontrés par hasard le lieutenant, accompagné d’Inès.

En vérifiant la photo que leur avait fournie John Hiller, qu’ils ont reconnu Inès. À cause des voix bruyantes Inès se réveille. Elle regarde tous ces gens, et s’interroge. Catherine rassure Inès.

  • Inès, je vous présente les policiers américains, venus pour l’affaire John Hiller.
  • enchanté, heureuse de faire votre connaissance.

Répond la jeune fille. Inès pense, que de flic, pour moi toute seule et à cause de moi ! Si les assassins ne sont pas tous pris…

  • Firmin montez dans leur voiture, ainsi ils ne se perdront plus.

Firmin, prend le volant de la voiture. Les policiers Ryan et Rachelle n’apprécie que moyennement. Mais vu les circonstances ils acceptent.

  • Tous en voiture

Ordonne Catherine. Une colonne de voitures de police défile jusqu’à la gendarmerie. Cela n’a pas échappé aux habitants. L’un d’entre eux, téléphone à Ouest-France. La conséquence ne se fait pas attendre. Une horde de journalistes les accueille et les mitraille. Catherine, prend Inès dans ses bras et entre dans la caserne. La voiture du lieutenant se dirige directement dans son garage personnel. Elles prennent leurs emplettes du coffre avant de monter voir le capitaine.

En silence, elles arrivent dans le bureau de Catherine. Le capitaine les y attend et donne les clés de sa voiture personnelle à Catherine :

  • Emmenez Mademoiselle dans son hôtel, en passant par derrière. N’oubliez pas vos achats.
  • Eh bien, il vous aime le capitaine !

Constate Catherine en souriant. Comme prévu, elles ne rencontrent personne. Elles sont passées par l’arrière de l’hôtel. Et sont montées dans le monte-charge du personnel. En arrivant sur le palier, les agents ouvre la porte de la chambre d’Inès. Elles entrent avec leurs achats. Toutes deux se serrent l’une contre l’autre. De la gendarmerie jusqu’à sa chambre, il n’y a eu aucun mot prononcé.

  • Catherine, je commande une boisson, pendant que vous allez commencer le réglage ?
  • Oui Inès, un Schweppes agrume

Inès veut téléphoner. Catherine lui dit non. Ne touchez pas le téléphone. Les journalistes écoutent. Mais demandez à notre gardien Martine d’aller chercher votre commande. Elle va aux cuisines directement, par l’escalier de service.

  • Martine apportez nous un Schweppes agrumes et un thé glacé. Merci.
  • Bien Mademoiselle.

Un autre gardien entre à l’intérieur de la chambre pour remplacer Martine. À l’approche du diner Catherine à un choque. Par Talkie-walkie, elle appelle le capitaine

  • Les mails du PC de Mademoiselle ont été détournés, à une adresse de Boise aux états Unis ! que cherchent-ils ? qui sont-ils.

Catherine précise

  • Il n’y a que des mails professionnel et de son amie Claudine !

Les agents fédéraux nous communiquerons les renseignements ont sur ce qu’ils savent sur cette affaire. Demain, il y a la réunion, des différents corps de polices pour cette affaire franco-américaine. Aujourd’hui, ils dorment à la caserne, ils vont se reposer.

21 - Les Américains entre dans la danse (suite)
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M
dans une sacré aventure
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F
mais où donc c'est-elle embarquée
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