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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Aimé Césaire

Penseur, écrivain, dramaturge, poète et homme politique et fondateur du mouvement la négritude, Aimé Césaire, de son nom complet Aimé Fernand Césaire, est l’une des grandes figures littéraires du 20ème siècle.

Histoire Aimé Cesaire

Césaire est né le 26 juin 1913 à Basse pointe en Martinique au sein d’une famille nombreuse de six frères et sœurs. Son grand-père était le premier enseignant noir en Martinique et sa grand-mère savait lire et écrire – ce qui était inhabituel pour une femme de sa génération.
Elève brillant du Lycée Schoelcher de Fort-de-France, il obtient une bourse pour poursuivre ses études au lycée Louis-le-Grand à paris où il a
rencontré son ami Léopold Sédar Senghor, qui a été ensuite le premier président de la République du Sénégal.

Césaire et Senghor, fortement influencés par les écrivains noirs américains, fondent en septembre 1934 le journal « L’Etudiant Noir » avec d’autres étudiants Antillo-Guyanais et Africains.

La négritude :

« La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture », avec ces termes, Césaire explique le concept de la négritude dans le premier et seul revue de « L’Etudiant Noir ». Il sollicite l’affirmation de  l’identité et la culture noire face à  l’idéologie colonialiste et l’« européocentrisme ».

Carrière politique :

Maire de Fort-de-France de 1945 jusqu ‘à 2001 et soutenu par les élites communistes, le combat  de Césaire était  de mette la culture à la portée de peuple et de valoriser les artistes de la Martinique.

Décès et Hommages :

Suite à une crise cardiaque, Aimé Césaire  décède le 17 avril 2008. Dès l’annonce de sa mort, de nombreuses personnalités politiques et littéraires lui ont rendu hommage et des obsèques nationales8 ont été célébrées le 20 avril 2008 à Fort-de-France, en présence du chef de l’État.
Le 6 avril 2011, Aimé Césaire a  été accueilli au Panthéon par le président de la République entouré de nombreuses personnalités de tous bords.

Œuvres :

 Poésie

  •    1939 Cahier d’un retour au pays natal, Revue Volontés no 20, 1939, Pierre Bordas 1947, Présence africaine, Paris, 1956.
  •    1946 Les Armes miraculeuses, 1946, Gallimard, Paris, 1970
  •    1947 Soleil cou coupé, 1947, Éditions K., Paris, 1948
  •    1950 Corps perdu (gravures de Picasso), Éditions Fragrance, Paris, 1950
  •    1960 Ferrements, Seuil, Paris, 1960, 1991
  •    1961 Cadastre, Seuil, Paris, 1961
  •     1976 Œuvres complètes (trois volumes), Desormeaux, Fort-de-France, 1976
  •     1982 Moi, laminaire, Seuil, Paris, 1982
  •     1994 La Poésie, Seuil, Paris, 1994. (Ce volume, qui compile toute l’œuvre poétique de l’auteur, figure au programme de l’agrégation de lettres modernes de 2009 à 2011, au sein du thème de littérature comparée intitulé Permanence de la poésie épique au xxe siècle).
  •   2010 Sept poèmes reniés suivi de La Voix de la Martinique, édition bibliophilique (David Alliot éditeur), Paris, 2010

 Théâtre

  •    1958 Et les chiens se taisaient, Présence Africaine, Paris, 1958, 1997
  •     1963 La Tragédie du roi Christophe, Présence Africaine, Paris, 1963, 1993
  •     1966 Une saison au Congo, Seuil, Paris, 1966, 2001
  •     1969 Une Tempête, d’après La Tempête de William Shakespeare : adaptation pour un théâtre nègre, Seuil, Paris, 1969, 1997

Essais

 

  •     1948 Esclavage et colonisation, Presses Universitaires de France, Paris, 1948, réédition : Victor Schoelcher et l’abolition de l’esclavage, Éditions Le Capucin, Lectoure, 2004
  •     1950 Discours sur le colonialisme, éditions Réclame, Paris, 1950 ; éditions Présence africaine, 1955
  •     1987 Discours sur la négritude, 1987, Paris, Présence Africaine, 2004 (avec le Discours sur le colonialisme).

 

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