Ceux qui nous bouleversent dans la viece sont des courants divers, qu'ils soient heureux ou malheureux.
Ce texte cherche un musicien pour instrument à vent, si un compositeur est inspiré qu'il me contacte sur: Alumacom@outlook.fr
Refrain
Ceux qui nous, boulversent
Ceux qui nous, renversent
ceux qui nous, sont conter
Ceux qui nous, ont ravi
Tous ces vents, font la vie.
I
Les soupirs légers de l'amoureux,
Dénote de sa paralysie.
Si près d'elle , câlin bienheureux.
Un stress langoureux le saisit,
Tel le Noroît à l'esprit aventureux.
Sous le Suroît il est transi, cramoisi.
Il bafouille hésitant les mots généreux.
Quand Galerne se lève tout en poésie,
L'Alizée discret semble choisi.
Ses carresses légères sans hypocrisie,
Souffles doux toujours aventureux.
Parfois les Alizées sont peureux,
Aux plaisirs secret recherchent les fantaisies,
S'accompagnent également de frénésies.
Ils s'envolent dans une danse tel les macareux,
du haut de leur rocher il parait coléreux.
II
L'hiver arrive et ses caprices,
L'Aquillon s'annonce carillonne.
Son élan lance la motrice,
il est le train qui s'aiguillonne.
La brume sauvage animatrice
Dans la ville elle surplombe et sillonne,
S'attenue à l'instant d'une speculatrice,
s'élance l'accompagne et tourbillonne.
La Bourrasque est l'accélératrice
Rebelle son courroux baillonne,
En passant laisse les cicatrices.
Essouflée elle tatillonne.
Soudain la pluie arrive médiatrice,
Son apaisement est est brouillonne.
La joie est revenue libbératrice.
La ville éclairée se réjouit et crayonne.
Alumacom
1er Novembre 201