Ce jeudi : « on expédie
Le canard pour Samedi ».
Demain ce sera le paradis
La mare au canard resplendit
Tout devra être parti vendredi.
Car le Week-end interdit,
Les livraisons chez les Bigoudis.
Ils craignent les bandits,
Toujours sous l’univers du Brandy.
Il ne sera pas dit,
Qu’un curieux médit,
Aux affaires prédites
Où ils se discréditent.
Ces dignitaires habitent
Leur Ministère qui les acquitte,
Ils mentent, volent, décapitent.
C’est le mystère de l’Aphrodite
Leur espérance sera déconfite.
Hier, ils étaient intouchables
Aujourd’hui devenus vulnérables
Aucun d’entre eux n’est charitable
Ils s’imaginent être des gens louables
Ils sont tous tellement semblables
Qu’ils sont prévisibles ces innommables !
Tous sont des écorchés corvéables !
Leurs bêtises les font irrémédiables,
Leur jugement Divin sera inévitable.
Ils n’iront plus vendre dit,
Le Seigneur de la Parole,
Car ils ont professé la Faux,
Un vendredi de vengeance.
Or, un vendredi de prière
Sera salutaires aux diverses victimes,
Leurs proies seront reçues
Dans le palais scintillants
Recevant grâces et récompenses.
Monique Macalou
30 janvier 2015