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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Un regard sur la vie dans un esprit libre

Un regard sur la vie dans un esprit libre
Un regard sur la vie dans un esprit libre

L’amer crédit

 

Cet  amer crédit m’engourdi

Mon   repos est discrédit

J’en suis  abasourdi.

Je me démène dans la tragédie

Me figurant être alourdie

Sans connaître la comédie

Pas même une sorte de parodie

Comme toujours l’étourdie,

Vois dans son crédit,

Le douloureux et amer crédit

Qu’il ose qualifier de mélodie.

Pourtant la souffrance ne se dédit,

Elle s’aventure et la congédie,

Elle reste imperturbable ce mercredi.

 

Monique Macalou

4 mars 2015

Tous ces mois d’attente

 

Tous ces mois passés à attendre,

Jours après jours un mot tendre,

Semaine après semaine à se défendre,

Pour devenir une année à se méprendre.

Déterminée à traverser la cendre.

A affirmer le bonheur de ce désir

D’être pas seulement un grand vizir.

Mais elle compte pour son avenir,

Sur  les souvenirs  pour parvenir,

A se placer en devenir et se prémunir.

 

Le temps s’étire doucement inéluctable,

L’homme sans son temps est incapable,

De vivre des renseignements palpables.

Avec leurs données tout à fait fiables,

Ces instants comptés ne sont pas friables.

 

Il travaille  depuis si longtemps

Il croit l’avoir dompté le temps,

Il s’imagine être immunocompétent

C’est alors qu’il est fauché se croyant méritant

Sans coup férir pour l’éternité sans contretemps.

 

Tous ces mois passés  se croyant pitoyable,

D’autres se sont écoulés en idées louables,

A ce moment, je m’aperçois avoir été incapable,

Pas même d’être celle d’une vénérable,

Femme objet que l’on croît inusable.

 

Celui  qui s’imagine être l’honorable,

En vérité il n’est qu’un simple minable,

Puisqu'il n’est pas dans le plus probable,

Surement  grâce à son vocable insupportable

Il ne peut conduire le bal des respectables.

 

Les mois passent en grande vitesse,

Ces mois avalent les années avec justesse,

Nous croyions être de vraies déesses

Nos  souvenirs et nos émois en délicatesses

Egalement le devenir de nos détresses.

Nous voudrions  effacer avec un chamois.

Toutes ces fameuses  images qui se larmoient

Elles parlent d’une histoire sur les «quant-à-moi ».

Du  livre de vie en hommage des frères siamois,

Il est généralement de ces gens les « chez-moi ».

 

Le pardon guérit les dommages et les déboires,

La récompense n’est qu’un malheureux  pourboire.

 

 

21 mai 2015

Monique Macalou

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