2 Juillet 2015
Certaines périodes sont celles des abandons
Cela peut –être l’abandon dans les arts,
Dans un livre pendant la sieste,
Sous les lunettes de soleil sur le front
Une plage au sable chaud tout blanc
La peau rougissante avant d’être dorée.
Il y a les abandons cruels sans moralité.
Celui de nos compagnons
Seulement ceux qui abandonnent les animaux
Sont ceux qui abandonnent lâchement,
Dans la pire des hypocrisies
Prétexte bien commode, l’oublie de son enfant !
Puisqu’ils sont libres de leurs actes, pourquoi s’encombrer ?
Avant les vacances, pour certains d’entre eux
Ce sont leur compagnon
En cause, le financement des vacances,
Ou bien ce qui est courant, la compagne encombrante,
Peu importe son intelligence
Peu importe son cœur d’amour.
La cruauté de ceux qui abandonne n’a pas de limite.
C’est périodes sont toujours les vacances,
Egalement les fêtes nationales ou personnelles.
Mais les plus spectaculaires ce sont celles d’été.
Ceux qui abandonnent tout ce qui les dérange sont des ;
Pire, ils vivent dans la peur du lendemain,
En conclusion se sont des pauvres êtres,
Sans consistance malgré leurs prestances,
Ils ne sont qu’une apparence sans espérance.
Monique Macalou
25 mars 2015