17 Août 2015
Epouvanté, miaou, miaou
Ce cri vibre à la belle étoile
Une petite boule de poil,
Perdue désemparée sous le voile.
D’une nuit étoilée royale
Les voitures projettent des cailloux.
Le soleil se lève, miaou,
Terrorisée sous sa mère elle appelle.
Sa mère est froide pas de pelle pour elle,
La faim la terrasse près
Soudain soulevée par un tractopelle,
Ces cris avertissent l’agent Agaou.
C’est à la mi-août, que miaou,
Notre chère minouche est arrivée.
Toute la maisonnée s’est activée,
Que ce soit dans le jardin privé,
Ou dans l’appartement l’activité,
Emerge au rythme du biniou.
19 mai 2015
Monique Macalou