Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
22 Octobre 2015
Diabolo le rigolo
Il arrive parfois ne pas me sentir bien.
Pourtant, rien ne semble s’arrêter.
Aucune fatigue, aucun remords.
Personne n’est coupable, personne n’a tort.
Je referai assurément ce qui me plaît.
Rien ni personne ne m’arrêtera,
Ma beauté naturelle amène la jalousie,
Cela est bien connu...se dit diabolo.
Il est évident sans une certaine culpabilité,
Il ne peut s’interroger sur ce qui le ronge,
Pourquoi ce sentiment non défini ?
Devrai se dire ce diabolo perplexe.
Bien sûr, il est parfait dans son rôle,
Cependant quelque chose le perturbe,
Il a ce sentiment bizarre ressenti.
De quel cancer est-il rongé s’étonne-t-il ?
Sans cette curieuse sensation,
Il ne chercherait pas à définir,
La raison de son malaise,
Ni cette impression de culpabilité.
Serait-ce son intraitable mépris pour ces canulars ?
Envers tous sauf ce qui pourraient l’atteindre.
Sa non-disponibilité envers autrui puisque pas concerné ?
L’absence d’écoute et de proximité des autres… ?
Selon toute vraisemblance toutes ces choses le sont.
Toutefois, il n’a pas tué, même si quelqu’un s’est suicidé
Seulement, il n’a pas témoigné, pour sauver une victime,
Pourtant il a vu et entendu l’accident, la violence.
S’il avait la culpabilité dans le cœur il s’interrogerait,
Sur le sort de la faim, des victimes de guerre dans le monde,
De sa voisine ou collègue violée sans aucun secourt,
Du couple âgé sans défense, qu’il n’a pas voulu voir.
Ce sentiment le pourchasse lui, l’arrogant !
Son ami fidèle est mort à cause de lui.
Oh ! bien sûr, ce n’était qu’un chien !
Son mépris devient un malaise indéfinissable.
Sans la mort de son ami, il n’aurait pas connu,
Ce sentiment désagréable pesant sur son cœur,
Il ne connaissait pas les larmes de la sincérité,
La comédie est son domaine, la réalité le bouleverse.
Pour diabolo tout était merveilleux la vie continue
Il est dans son théâtre son défouloir son énergie
Il ne s’interroge pas sur sa personne,
Lui l’Être parfait, la culpabilité connait pas.
Alumacom