11 Octobre 2015
Bonne Fête aux :
Théophane l'Hymnographe (Eglise Orthodoxe)
Cainnech
Canice
Kenneth, Kenny
Emmanuelle : Emmanuella, Manuela, Nawal
Firmin : Firmiane, Firmine, Firminie
Kenneth : Kendra, Kenny
Soledad
Dicton du jour
À la Saint-Firmin,
L'hiver est en chemin
Originaire de Narbonne et ami de Saint-Césaire. À l’âge de 22 ans, il succède à son oncle comme évêque d’Uzès (+ 553)
Ami d'un fameux évêque d'Arles nommé Césaire, le saint du jour devient lui-même évêque d'Uzès en 534, à l'époque des rois mérovingiens issus de Clovis.
Évêque, disciple, ami et biographe de saint Césaire d'Arles (✝ 553)
Originaire de Narbonne, il est disciple et ami de saint Césaire d'Arles. A 22 ans, il est l'un des premiers évêques de l'ancien diocèse d'Uzès dans le Gard. Nous le trouvons parmi les signataires du concile d'Orléans en 541. Sa réputation d'orateur et de théologien s'étendit jusqu'en Italie. Il meurt à l'âge de 37 ans.
Firmin, né à Narbonne, vient à Uzès auprès de son parent Roricius, évêque de cette ville. Un prêtre s'y fait son précepteur et l'instruit longuement des sciences divines et humaines. Il devient cher au vieil évêque à cause de sa science et de sa sainteté. Roricius l'élève au sacerdoce et finalement le prend pour coadjuteur. L'activité de Saint Firmin s'exerce dans les limites du diocèse et au-delà, chez les Gabales en particulier. A son tour, il fait élever Ferréol, son neveu, qu'il désignera pour successeur et qui sera mis au rang des saints, comme lui. (Source: Les Saints du diocèse de Nîmes)
Il est fêté en même temps que Firmin, "évêque de Viviers au début du VIIe siècle, qui aurait été le père de Saint Aule et a été de tout temps fêté dans le diocèse de Viviers." (Saint Firmin, évêque - Église catholique en Ardèche)
À Uzès en Gaule Narbonnaise, après 552, saint Firmin, évêque. Disciple de saint Césaire d’Arles, il enseigna à son peuple la parole de vérité.
Il encourage la création des premiers monastères en Gaule.
Né à Narbonne, en 516, Firmin, qui par sa mère était descendant de Clovis, s'était fait connaître et apprécier à Uzès pour « sa profonde sagesse, sa rare vigilance, sa douce et ferme administration » comme coadjuteur auprès de son oncle Rorice, un octogénaire évêque. Fort logiquement il lui succéda en 538 et fit profiter son diocèse de ses multiples qualités. «Travaillant de toutes ses forces à son salut et à celui des autres, écrit Marie de Parseval, au début du XXe siècle, dans la Dépêche du Midi, son zèle infatigable ne sarrêta point aux limites pourtant étendues de son diocèse».
Il contribua au développement dUzès et à la construction de plusieurs églises (St Baudile et St Jullien). Il participa à deux conciles des évêques des Gaules, en 541 et en 549, à Orléans. Il y brilla « par sa science et sa piété » et se trouva rangé parmi « les plus illustres évêques de lEglise catholique ». Il décéda dans sa propriété de Firmignargues. Naît alors une bien belle légende. Son corps fut ramené à Uzès sur un char tiré par quatre bufs. Traversant une épaisse forêt, le cortège fut attaqué par un énorme ours qui tua lun des bufs. Lanimal qui ne se défend pas est saisi et attelé au char avec les trois bufs. Cest porté par cet étrange attelage que le corps de lévêque entra dans la cité pas encore ducale, et enseveli le 11 octobre 553, dans léglise Saint Baudile qui se trouvait au quartier actuel de la Perrine donna lieu à un important pèlerinage: le saint (on ne sait pas exactement quand il a été canonisé) avait la réputation de guérir les déments.
Thomas Platter, en 1597, dans ses Mémoires, témoigne que les reliques étaient encore « le but de fortes processions et pèlerinages pour exorciser les gens possédés de lesprit malin ». Le peuple fut abusé et les autorités ecclésiastiques décidèrent de cacher les reliques qui ne réapparaîtront que 500 ans plus tard. Un bourg populeux sétait entre temps formé autour de la basilique Les reliques du saint évêque disparurent à nouveau au cours des guerres de religion mais un bras avait été auparavant déposé en léglise Saint-Firmin du diocèse de Maguelonne, détruite elle aussi comme Saint-Baudile par les protestants.
Au début du XIXe siècle, raconte Lionel dAlbiousse dans son livre Histoire de la ville dUzès (1903), le propriétaire de terrain où était située cette dernière église, déterra une caisse en plomb sur laquelle était inscrit: Sanctus Firminus. Cest pourquoi des reliques de Saint-Firmin sont déposées dans une riche chasse que lon peut voir à gauche, dès lentrée dans la cathédrale.
Martyrologe romain et diverses sources
Jeune frère de Saint Théodore, il appartenait au monastère de Saint Sabas en Palestine et connut simultanément la lutte contre le culte des icônes de l'empereur Léon l'Arménien et l'invasion arabe.
Il eut à subir l'exil pour la foi orthodoxe après avoir été marqué au fer rouge sur le front. Lorsque la vénération des icônes fut à nouveau autorisée, il put rentrer et devenir évêque de Nicée.
Il passa en paix les dernières années de sa vie composant une quantité considérable de canons poétiques. Beaucoup d'entre eux sont encore chantés de nos jours pour les fêtes du Seigneur.
Eglise Orthodoxe Américaine
Saint-Andronicus
Soldat romain converti au Christianisme. Condamné à être livré aux fauves dans le cirque, il est épargné par les bêtes et est finalement exécuté par les gladiateurs durant la persécution de Dioclétien (239-304) Saint-Andronicus est le patron des artisans qui façonnent l’argent.
Sainte-Ethelburge
Abbesse de Barking (+ 664 ou en 678)
Saint-Gaudence Archevêque de Gnesen (+ vers 1004)
Gummarus, Gommer, Gommaire ou Gomaire.
C’est un Laïc marié à une femme qui lui cause de nombreux soucis en raison de ses extravagances et de ses mœurs légères.
Noble chevalier qui vivait à la cour du roi des Francs, Pépin, il épousa une femme noble de naissance mais non de conduite. Il n'en quitta pas pour autant le soin de sa famille, même si les charges militaires l'entraînaient souvent au loin.
Par sa bonté, sa patience et sa prière, il la fit changer de vie et devenir pénitente jusqu'à sa mort. Il fonda le monastère de Lierre en Belgique, où il vécut lui-même en ermite.
À Lierre dans le Brabant, vers 775, saint Gommaire. Soldat dévoué à Dieu, il construisit à cet endroit, de ses propres ressources, un oratoire, où il fut mis au tombeau. Plus tard, il y sera fondé la collégiale de Lierre, en Belgique (717-774)
Saint-Grat
Évêque d'Oloron, dans le sud de la France (+ vers 506)
Saint-Nicaise
Originaire d’Athènes, il y passe toute sa jeunesse puis se rend à Rome. Il y rencontre le pape Saint-Clément qui le nomme évêque et l’envoie à Paris en compagnie de Saint-Denis. Cependant, il n’effectue dans cette ville qu’un court séjour et poursuit sa route en direction de Rouen, en passant par Conflans-Sainte-Honorine, Andrésy et Triel. Arrivé aux environs de la Roche-Guyon et des Andelys, il est rattrapé par le gouverneur romain Fescenninus, qui lui ordonne de sacrifier aux idoles. Ayant refusé, il est décapité sur le champ (Ier-IIe siècle)
Sainte-Pience
Vierge, martyre dans le Vexin, compagne de Nicaise
Saint-Tharaque
Officier retraité de l'armée romaine, martyr sous le règne de Dioclétien (+ 304)
Sainte-Zénaïde
Sœur de Philonilla, martyres et parentes de Saint-Paul l'apôtre (Ier siècle)