Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
4 Avril 2018
La France va connaître une période inédite dans ces conflits sociaux. Or des décès sont, et pourront être recensés si ces conflits durent comme prévu. Une prise en charge sanitaire en temps et en heure est toujours une nécessité durant les conflits.
Cette idée aurait dû être dans la tête des dirigeants de ce conflit. Il est tellement réaliste que peu de personnes y pensent
Encore une grève printanière, ce n’est pas du muguet qui fleurit, mais des poubelles qui fleurissent sur les trottoirs. Les boutons de roses ne peuvent éclore sur les rails. Les chaussures chantent aïe, aïe, aïe sur l’air du « vas t’en guerre », les pieds crient ouïe, ouïe, les esprits endormis à cause de la journée précédente, avance comme des zombis, seuls les gauchos F & F.P. soutiennent les grévistes. Les victimes sont trop lassées pour réagir et pas suffisamment fatigués pour réfléchir au bien fondé de leurs souffrances et de leurs craintes. Car eux, ne sont pas à l’abri du chômage, la crainte de toutes les personnes sensées. Après avoir perdus des heures de travail à cause des retards, ou des absences il y a le risque que sa « boite » s’écroule !
Pauvre France, où vas-tu ? Les insensées, les égoïstes, les anciens slogans sont ressortis.
La France des victimes souffre en silence, mais combien de temps supporteront ils leurs calvaires ?
Les conditions de traitement considèrent les malheureux usagers comme négligeable. Il serait bon que les syndicats des fonctionnaires, fonctions public MAIS SURTOUT DES REGIMES SPECIAUX reconsidèrent leurs positions nous ne sommes plus en mai 68 ! Les clients, eux payent les transports, les services directement. Et en plus ils payent taxes et impôts pour assurer les retraites, les avantages sociaux et les salaires des grévistes, car leurs caisses sont déficitaires. Ils disent qu’ils leurs retiennent sur leurs salaires, c’est vrai, mais leurs caisses sont insuffisamment approvisionnées, alors, l’Etat est obligé de prendre dans les caisses des employés du privé !
Il y a aussi la preuve d’un égoïsme sans nom de la part des grévistes cheminots, les étudiants, collégiens, lycéens en préparation pour leurs diplômes, ils ne pensent même pas à leurs propres enfants MERCI POUR EUX![
La gréviculture française – alimentée principalement par les services publics et singulièrement par la SNCF – va jouer à plein régime pendant les prochaines semaines.
La nouveauté, consistant à répartir dans le temps les débrayages et les blocages, permet d'envisager bien des difficultés. Les grévistes et leurs soutiens entonnent les refrains rituels sur le droit de grève, érigé en droit imprescriptible et sacré.
Un peu comme les droits de l'homme et du cheminot.
Les usagers piégés vont vivre leurs journées et trajets de galère.
Et le droit du travail lui ! qui le respecte ?
Il est nécessaire de rappeler que les cheminots ne font pas partie de la Fonction Publique mais DES REGIMES DITS SPECIAUX. Ensuite, le privé « ne se prive » pas non plus d’entraver la liberté de circulation : rappelons les blocages monstres organisés par les chauffeurs routiers, les chauffeurs de taxis, les VTC, les agriculteurs et viticulteurs, les « bonnets rouges », même « gens du voyage qui empêchent les autres de voyager » etc..
Les uns n’excusant pas les autres et vice versa. Ce n’est donc nullement un syndrome « public » mais bel et bien un problème franco-français et surtout une vision étriquée du syndicalisme (public ou privé) toujours cantonné dans le bras de fer plutôt que la discussion. Avec Nicolas Sarkozy il a été instauré un service minimum. Bien, seulement actuellement il serait utile de redéfinir aujourd’hui de nouvelles conditions.
Dans la Fonction public, contrairement au privé, de nombreux fonctionnaires ne disposent pas du droit de grève : militaires, gendarmes, policiers, pompiers... Tandis que de nombreux autres sont astreints à assurer la poursuite de leur activité : urgences hospitalières, sécurité civile etc. EN CONCLUSION, LES REGIMES SPECIAUX SONT EUX ET EUX SEULS VRAIMENT SPECIAUX....
Monique Macalou
4 avril 2018