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Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Revue de Presse du 7 mai 2018

Revue de Presse du 7 mai 2018

Revue de Presse DU LUNDI 7 MAI 2018

Monique Macalou

Sommaire

Journal

Titre

Page

LE MONDE

PARCOURSUP TRI DES DOSSIERS

  2

 

SNCF LA REFORME

  2

LE PARISIEN

DATI – HIDALGO

  4

LE FIGARO

GREVE SNCF  3/5 TGV 3/1O INTERCITE

  5

 

PEINE DE PRISON POUR LES MANIFESTANS MASQU2

  5

 

DES POLICIERS DORMENT DANS LEURS VOITURE ;

  5

RMC

417 POSTE DEDIE A LA COM D’HDALGO

  6

Ouest France

Le cirque Pinter dépose le bilan

  6

 

Le travail temporaire en hausse au cours des derniers mois

  8

L’OPINION

Le travail temporaire en hausse au cours des derniers mois

  8

 

Accord sur le nucléaire iranien: l’avertissement de Rohani

  8

THE TIME OF ISRAËL

l’Iran pourrait rester dans l’accord sans Washington

  9

 

Le retrait de Trump de l’accord iranien « peut signifier la guerre », selon Macron

 10

20 MINUTES

Grève: «La survie d’Air France est en jeu », s’alarme Bruno Le Maire

 11

France INFO

Nouvelle-Zélande : une faille de 200 mètres de long s’ouvre dans un champ

 12

DERNIERE MINUTE

EN BREF : SUD OUEST

SNCF : COUP DE POING DE CHEMINOTS A LA GARE MONTPARNASSE, DE L’EST ET DU NORD

 13

EN BREF : LE MONDE

Parcoursup : comment s’opère le tri des dossiers des candidats en fac de droit

Classement automatique ou étude individuelle des dossiers de candidature des lycéens, chaque université a sa méthode.

Alors que certains campus restent bloqués par des étudiants opposés à la réforme des règles à l’entrée de l’université, dénoncée comme celle de la sélection, dans les établissements, l’examen des candidatures à l’entrée en licence se poursuit. Le temps presse pour effectuer ce travail inédit : les enseignants-chercheurs doivent avoir classé les dossiers reçus dans deux semaines à peine. Le 22 mai, les réponses des formations seront en effet dévoilées aux quelque 810 000 lycéens et étudiants en réorientation. Ces derniers ont validé 6,3 millions de vœux d’orientation sur la nouvelle plate-forme d’admission dans l’enseignement supérieur, Parcoursup.

En coulisses, dans les commissions d’examen, qui travaillent depuis un mois sur les fichiers Excel alignant les caractéristiques de ces milliers de jeunes qui frappent à la porte de l’université, les stratégies sont extrêmement différentes d’une université à l’autre. C’est ce que montre l’enquête menée par Le Monde dans la filière juridique, où la question prend une acuité particulière, étant donné le volume de candidatures très élevé à traiter.

Les 14 000 dossiers reçus en droit à Paris-I Panthéon-Sorbonne pour 600 places en première année, les 5 700 à Toulouse (1 700 places) ou encore les 1 900 à Toulon (650 places) n’ont pas connu le même sort. « Il n’y a eu aucun paramétrage commun entre universités, déplore un président de commission d’examen. Les facs sont donc parties à l’aventure, en solitaire, et un même lycéen, qui voudra faire du droit à Dijon, à Paris, ou à Nanterre ne sera pas évalué de façon identique. »

Si le ministère a fixé un cadrage national aux « attendus » des licences – ces compétences jugées nécessaires pour chaque discipline de licence –, liberté a été laissée aux établissements pour établir le classement des candidats à partir des différents éléments déposés par les lycéens sur la plate-forme – notes, lettre de motivation,

EN

Paris : Anne Hidalgo et Rachida Dati en tête-à-tête

La maire de paris a reçu Rachida Dati pour évoquer, à sa demande, les dossiers du VIIe arrondissement.

Elles auraient pu s’affronter aux municipales de 2014 mais c’est finalement Nathalie Kosciusko-Morizet (ex-LR) qui avait été désignée par la droite pour mener la bataille. Anne Hidalgo et Rachida Dati seront-elles face-à-face aux municipales de 2020 ? Alors que depuis quelques temps, la maire (LR) du VIIe laisse entendre qu’elle pourrait vouloir mener cette bataille, les deux élues se sont vues en tête-à-tête ce vendredi après-midi à l’Hôtel de Ville.

La maire de Paris Anne Hidalgo a reçu – à sa demande Rachida Dati pour « évoquer les dossiers du VIIe arrondissements ». « Un tête-à-tête classique comme elle en a avec les différents maires d’arrondissements à chaque conseil […] C’est régulièrement le cas de Philippe Goujon par exemple (NDLR : maire LR du XVe, arrondissement où est élue Anne Hidalgo) », explique-t-on dans l’entourage de la maire.

Le dernier entretien entre Anne Hidalgo et Rachida Dati remonterait à quelques mois. « Elles se voient très régulièrement et profitent souvent du Conseil de Paris pour caler un rendez-vous », précise la garde rapprochée de Rachida Dati comme pour faire taire les mauvaises langues qui à gauche comme à droite, raillent souvent l’absence de la maire du VIIe dans l’hémicycle parisien.

EN BREF : LE FIGARO

SNCF : les prévisions de trafic pour la journée de mardi

D'après la SNCF, trois TGV sur cinq devraient être assurés pour la journée de grève demain mardi. En revanche, seuls trois Intercités sur dix devraient rouler.

Encore une journée de galère en vue pour les usagers de la SNCF: les difficultés s'annoncent encore sérieuse ce mardi, dans le cadre de la grève cadencée contre la réforme ferroviaire. Basées sur les déclarations individuelles d'intention de faire grève des agents, les prévisions de la SNCF font état d'un trafic «perturbé à très perturbé» suivant les types de lignes empruntées.

Lignes longue distance : les Intercités particulièrement perturbés

Normalement, trois TGV sur cinq seront assurés, avec des disparités : il y aura par exemple un peu plus de disponibilité dans l'Est (2 trains sur 3) que dans le Nord (1 train sur 3).

Les longues distances régionales, ou train Intercités, devraient être les lignes les plus touchées par le mouvement de grève, avec trois départs sur dix en moyenne. Les trajets Paris-Limoges-Toulouse, Bordeaux-Marseille ou encore Nantes-Bordeaux seront les plus incertains

Transiliens et TER : disponibilité variable

Concernant les trains de plus courte distance, la SNCF affirme que 7 Transiliens sur 10 seront disponibles pour les voyageurs, avec certaines lignes plus touchées que d'autres, comme le RER E (un train sur trois).

SNCF : la réforme « ne changera pas fondamentalement », affirme Philippe CGT et CFDT poursuit la grève.

Après avoir reçu l’ensemble des syndicats à Matignon, le premier ministre a ajouté que le texte pouvait « être encore finalisé ».

Un seul et unique sujet était à l'ordre du jour sur l'agenda du Premier ministre Edouard Philippe ce lundi : la réforme de la SNCF. Accompagné de la ministre des Transports Elisabeth Borne, il a reçu tour à tour les syndicats, la direction de l'entreprise et des associations d'usagers.

Edouard Philippe avait averti les syndicats en amont de ces rendez-vous : il ne reviendrait pas sur l'ouverture à la concurrence, la fin du recrutement sous le statut de cheminot ou la réorganisation de l'entreprise, des sujets "pas négociables". La dette abyssale de l'entreprise (46,6 milliards d'euros fin 2017) pouvait faire partie, au contraire, des sujets sur la table.

Ouverture et fermeté

A l'issue de ces rencontres, Edouard Philippe a tenu une courte conférence de presse. Il a prévenu que le texte sur la réforme ferroviaire "ne changerait pas fondamentalement" mais qu'il "peut encore être finalisé". Le Premier ministre "assume pleinement sa fermeté". Il a proposé aux syndicats d'aller plus loin sur l'investissement : "Nous devons sans doute aller plus loin pour financer notamment des travaux de modernisation de la signalisation, qui conditionnent la qualité de service et la régularité des trains". Il proposera au Parlement de voter la reprise de la dette de la SNCF par l'Etat.

Edouard Philippe a proposé aux syndicats de les revoir le 24 ou le 25 mai avant l'examen de la réforme au Sénat en séance publique. La ministre des Transports Elisabeth Borne les rencontrera, de son côté, ce vendredi.

Pas d'annonces chiffrées

Plus tôt dans la journée, à la sortie du bureau du Premier ministre, la CFDT avaient annoncé que la grève à la SNCF allait continuer. "Il n'est pas question de lever la mobilisation, on continue", a déclaré le secrétaire général de la CFDT cheminots Didier Aubert. "On a rencontré un Premier ministre très déterminé sur ses axes mais, derrière ça, prêt à ouvrir des discussions sur des sujets qui nous semblent importants comme celui du nouveau cadre social des nouveaux cheminots, comme celui de la dette, de la pérennisation et du financement des infrastructures ferroviaires". Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger regrette qu'il n'y ait "pas d'annonce chiffrée" sur la reprise de la dette mais "il s'agira d'une reprise substantielle qui sera précisée d'ici l'ouverture du débat au Sénat".

Du côté de la CGT, la position est claire. "Il n'y a pas de débat, pour nous, clairement la grève se poursuit", a déclaré Laurent Brun, le secrétaire général de la CGT cheminots. "On sort motivés pour continuer", a ajouté le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, qui précise que "le Premier ministre n'a pas fourni de détail précis" sur la reprise de la dette de la SNCF par l'Etat.

Fin des embauches sous le statut cheminot

Au premier syndicat reçu, l'Unsa, Edouard Philippe a promis de nouvelles "discussions en mai" avec les syndicats et a affirmé que le gouvernement pourrait déposer des amendements au projet de loi de réforme ferroviaire qui sera examiné fin mai au Sénat. Sur la dette de la SNCF, le Premier ministre n'a pas donné de "montant précis" pour la reprise de la dette, il a parlé de reprise "progressive et substantielle" du 1er janvier 2020 à 2022, a expliqué le secrétaire général de l'Unsa ferroviaire Roger Dilleseger. Sur la convention collective nationale du secteur ferroviaire, "on a obtenu de prioriser les travaux et peut-être de dépasser le 1er janvier 2020", date de lancement de la réforme et de la fin des embauches sous le statut de cheminot.

Pour le syndicat Sud-rail et son secrétaire général Erik Meyer, "aujourd'hui il n'y a rien de concret de nature à satisfaire les cheminots. On aurait tendance à penser que gouvernement joue le pourrissement du conflit".

En attendant, un huitième épisode de grève début ce lundi soir à 19h55 jusqu'à jeudi matin 7h55. L'intersyndicale a prévu de se réunir mercredi à 17 heures pour décider des suites à donner au mouvement. En cas d'échecs des discussions avec le gouvernement, les syndicats ont déjà promis une journée sans train le 14 mai. CYRIL BRIOULET

Manifestant masqués

Une  peine  de  prison  pour  les  manifestants  masqués  Le  député  des  Alpes-Maritimes  Éric  Ciotti  (LR)  a  déposé  vendredi  une  proposition  de  loi  visant  à  renforcer  l'interdiction  de  dissimulation  du  visage  lors d'une  manifestation.

  Il  entend  ainsi  réagir  aux  débordements  du  1er  Mai  à  Paris,  où  quelque  1200  casseurs  encagoulés  ou  masqués  avaient  provoqué  des  '  dégradations.  A  la  peine  d'amende  déjà  prévue  dans  la  loi  du  11  octobre  2010  (1500  euros  et  3  000  euros  en  cas  de  récidive),  ,  Eric  Ciotti  veut  ajouter  une  peine  d'emprisonnement  de  6  mois

Elles auraient pu s’affronter aux municipales de 2014 mais c’est finalement Nathalie Kosciusko-Morizet (ex-LR) qui avait été désignée par la droite pour mener la bataille. Anne Hidalgo et Rachida Dati seront-elles face-à-face aux municipales de 2020 ? Alors que depuis quelques temps, la maire (LR) du VIIe laisse entendre qu’elle pourrait vouloir mener cette bataille, les deux élues se sont vues en tête-à-tête ce vendredi après-midi à l’Hôtel de Ville.

La maire de Paris Anne Hidalgo a reçu – à sa demande Rachida Dati pour « évoquer les dossiers du VIIe arrondissements ». « Un tête-à-tête classique comme elle en a avec les différents maires d’arrondissements à chaque conseil […] C’est régulièrement le cas de Philippe Goujon par exemple (NDLR : maire LR du XVe, arrondissement où est élue Anne Hidalgo) », explique-t-on dans l’entourage de la maire.

Le dernier entretien entre Anne Hidalgo et Rachida Dati remonterait à quelques mois. « Elles se voient très régulièrement et profitent souvent du Conseil de Paris pour caler un rendez-vous », précise la garde rapprochée de Rachida Dati comme pour faire taire les mauvaises langues qui à gauche comme à droite, raillent souvent l’absence de la maire du VIIe dans l’hémicycle parisien.

EN BREF : LE FIGARO

SNCF : les prévisions de trafic pour la journée de mardi

D'après la SNCF, trois TGV sur cinq devraient être assurés pour la journée de grève demain mardi. En revanche, seuls trois Intercités sur dix devraient rouler.

Encore une journée de galère en vue pour les usagers de la SNCF: les difficultés s'annoncent encore sérieuse ce mardi, dans le cadre de la grève cadencée contre la réforme ferroviaire. Basées sur les déclarations individuelles d'intention de faire grève des agents, les prévisions de la SNCF font état d'un trafic «perturbé à très perturbé» suivant les types de lignes empruntées.

Lignes longue distance : les Intercités particulièrement perturbés

Normalement, trois TGV sur cinq seront assurés, avec des disparités : il y aura par exemple un peu plus de disponibilité dans l'Est (2 trains sur 3) que dans le Nord (1 train sur 3).

Les longues distances régionales, ou train Intercités, devraient être les lignes les plus touchées par le mouvement de grève, avec trois départs sur dix en moyenne. Les trajets Paris-Limoges-Toulouse, Bordeaux-Marseille ou encore Nantes-Bordeaux seront les plus incertains

Transiliens et TER : disponibilité variable

Concernant les trains de plus courte distance, la SNCF affirme que 7 Transiliens sur 10 seront disponibles pour les voyageurs, avec certaines lignes plus touchées que d'autres, comme le RER E (un train sur trois).

Des policiers dorment dans leur voiture faute de logement à Paris

  A  Paris,  des  policiers  dortnent  dans  leur  voiture  Alors  que  des  élus  LaREM  de  la  Ville  de  Paris  proposent  de  vendre  des  HLM  du  parc  de  la  capitale,  le  sénateur  LR  de  Moselle  François  Grosdidier  (photo)  s'indigne  que  bien  des  policiers  affectés  en  Ile-de-France  soient  si  mal  logés.

  Selon  lui,  <<  la  Préfecture  de  police  ne  trouve  pas  de  logement  à  1000  policiers  par  an,  affectés  en  région  parisienne  et  livrés  à  eux-mêmes,  obligeant  certains  à  dormir  dans  leur  voiture  ou  à  être  en  colocation  à  six  ou  huit  en  attendant  une  solution  plus  digne  >>.  Les syndicats  de  la  «  grande  maison  »  ont  salué  son  intervention. 

EN BREF : RMC

Paris: sur RMC, la présidente du groupe LR regrette qu'il y ait "417 postes dédiés à la com'" d'Hidalgo.

Florence Berthout, maire LR du Ve arrondissement, a expliqué ce vendredi dans Radio Brunet qu'il y avait 417 personnes dédiées à la communication de la mairie de Paris, alors qu'il manquerait, selon elle, du personnel pour les services de nettoyage de la capitale.

Radio Brunet décernait cette semaine le "Balai d'or", le titre de la ville la plus sale de France, finalement attribué à Marseille (Bouches-du-Rhône) selon les votes des auditeurs et des internautes de RMC. Eric Brunet a ouvert le débat ce vendredi sur les principales raisons qui font que certaines villes sont plus sales que d'autres, et a exposé les mécanismes mis en place pour contrer cela.

Florence Berthout, maire Les Républicains du Ve arrondissement de Paris et présidente du groupe LR au Conseil de Paris, a par exemple expérimenté des brigades d’intervention dans sa commune, des petites camionnettes qui vont dans les rues qui ne sont pas nettoyées tous les jours, ou dont on sait qu’un nettoiement par jours suffit pas forcément pour récupérer poubelles qui débordent, encombrants ;

"Si on le faisait avec des moyens humains, je peux vous dire que ça améliorerait les choses"

Invitée de Radio Brunet, elle aimerait que ce dispositif soit étendu sur l’ensemble de la ville de Paris, comme elle l’a proposé à la maire Anne Hidalgo.

"Le problème c’est le décalage entre ces plans de com' incessants que l’on nous impose et la réalité du terrain"

Mais tout ne se passe pas comme prévu, malgré ses avertissements prévenants qu’il était impossible de mettre cela en place à effectifs constants.

"Ca ne peut pas durer comme ça"

Florence Berthout trouve que les moyens humains ne sont pas bien répartis, et pointe du doigt le sureffectif, selon elle, des différents services de communication de la mairie de Paris.

"Il y a très précisément 417 postes à la direction de la communication de la ville et dans les directions centrales qui ne s’occupent que de communication. J’ai fait confirmer les chiffres car il ne s’agit pas de critiquer pour critiquer, il faut apporter la preuve de ce que l’on dit. Quand j’ai dit que ça ne peut pas durer comme ça, on m’a dit que l’on a rapatrié le service du protocole qui n’était pas dans la direction de la communication. J’ai répliqué, avec un humour grinçant que même s’ils étaient 100, ce qui n’est pas le cas, qu’il restait beaucoup de collaborateurs de com’."

EN BREF : OUEST France

 Le cirque Pinder placé en liquidation judiciaire

Le cirque Pinder a été placé en liquidation judiciaire le 2 mai dernier par le tribunal de commerce de Créteil. «Mais il nest pas mort!», assure son propriétaire depuis 1983, Gilbert Edelstein.

La crise, les attentats, la semaine de 4,5 jours pour les écoliers, mais aussi les critiques à lencontre des « cirques avec animaux » fragilisent une économie fragile.

 «Annulé». Cest ce qu’affichent les spectacles du cirque Pinder prévus ce mois de mai à Valence, Grenoble, Saint-Etienne, Clermont-Ferrand. Et aucun autre n’est programmé pour l’instant.

Car Promogil, la société d’exploitation du cirque Pinder, a été placée en liquidation judiciaire le 2 mai par le tribunal de commerce de Créteil. «Cest moi qui en ai fait la demande, explique Gilbert Edelstein, le propriétaire du cirque Pinder depuis 1983.En mars et avril, notre chiffre daffaires a baissé de plus de 60%», Un «déchirement», pour ce patron de 80 ans, qui garde cependant bon espoir «de repartir en tournée cet été».

Moins de spectateurs

En cause, d’abord la crise: «On va au cirque en famille, ça coûte de largent», dit Gilbert Edelstein. Comptez de 13 à 45 la place en 2017.

Les attentats ont aussi ralenti les entrées. «Les gens sont plus frileux» quand il sagit de se rendre dans des lieux où il y a du monde. Le patron de Pinder, qui compte 120 salariés, évoque aussi les incidences du passage à la semaine de 4,5 jours pour les maternelles et les primaires.

 «En trois ans, on est passé de 450000 spectateurs scolaires par an à 100000». Ajoutez à cela les critiques de plus en plus fortes émises contre les cirques avec animaux et les mairies qui se positionnent contre leur venue. «Mais ce nest pas le plus important», estime Gilbert Edelstein. Entre 2014 et 2016, le chiffre d’affaires a dégringolé de 7,4 millions d’euros à moins de 6 millions.

Un «Pinderland» en préparation

Selon le patron de Pinder, qui est aussi le président du Syndicat national du cirque, les trois autres grands cirques français, Arlette Gruss, Bouglione et Medrano traversent des difficultés similaires. Ils ont écrit une lettre commune au président Macron. Gilbert Edelstein espère des aides du ministère pour ces cirques traditionnels. De son côté, il compte réduire l’activité en itinérance, la plus coûteuse, pour se concentrer sur un parc d’attractions, «Pinderland», en préparation à Perthe-en-Gâtinais, en Seine-et-Marne. «Le cirque Pinder nest pas mort», martèle-t-il.

 

 

Sarthe. Le travail temporaire en hausse au cours des derniers mois

Au cours des derniers mois, l’emploi intérimaire a progressé dans les Pays de la Loire, avec une évolution moyenne de 15,5%. La Sarthe fait mieux que la Vendée et la Mayenne.

Selon une étude de Prism’ emploi, qui a étudié les chiffres de mars 2018 par rapport à ceux de 2017, le travail temporaire est en progression dans les Pays de la Loire.

Dans la région, l’intérim est en effet en hausse de 15,5%. Les transports (+24,1%), lindustrie (+17,8%), les services (+13,0%), le commerce (+9,8%) et le BTP (+5,9%) voient leurs effectifs intérimaires augmenter.

C’est le secteur de l’industrie (63,6%) qui concentre le plus grand nombre demplois temporaires, les services (11, 8%) et le bâtiment-travaux publics (11,5%) étant assez loin derrière.

Dans chaque département, les évolutions sont les suivantes: Loire-Atlantique (+18,6%); Maine-et-Loire (+15,3%); Mayenne (+12,3%); Sarthe (+15,3%); Vendée (+11,3%).

EN BREF : L’OPINION

Accord sur le nucléaire iranien : l’avertissement de Rohani

L’Amérique commettra une erreur si elle sort de l’accord nucléaire ; elle en concevra des remords historiques », a déclaré dimanche 6 mai le président iranien, Hassan Rohani.

 Le pays a dressé des plans pour faire face à une éventuelle décision de Donald Trump de dénoncer l’accord sur le programme nucléaire iranien.

Le président américain a déclaré que si les alliés européens ne remédiaient pas d’ici au 12 mai aux « défauts » de l’accord de 2015, il pourrait rétablir les sanctions économiques américaines contre la République islamique. Si Washington franchit ce pas, les Américains auront des « remords historiques », alerte le président iranien. « Nous avons des plans visant à résister à toute décision de Trump sur l’accord nucléaire », a lancé le président iranien dans un discours retransmis en direct à la télévision publique. « Si l’Amérique dénonce l’accord sur le nucléaire, elle en aura des remords historiques ».

Menace. « Les ordres nécessaires ont été donnés à notre organisation de l’énergie atomique (...) et au secteur économique pour faire face aux complots de l’Amérique contre notre pays », a affirmé le président Rohani lors d’un rassemblement, au cours d’une visite dans le nord-est de l’Iran. « Vous (les Etats-Unis) devriez savoir que vous ne devez pas menacer cette grande nation parce que notre peuple a enduré huit années d’une (guerre) de défense (contre l’Irak) », a-t-il ensuite déclaré

Mercredi, deux responsables de la Maison blanche et une source proche de l’administration américaines déclaraient que Donald Trump avait déjà quasiment décidé de sortir de l’accord de 2015 sur le programme nucléaire iranien. Cet accord conclu entre Téhéran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité plus l’Allemagne (P5+1) a conduit l’Iran à mettre son programme nucléaire en sourdine en échange d’un allégement des sanctions économiques imposées pendant des années à la République islamique. La tension est montée à l’approche de l’échéance du 12 mai fixée par le président américain concernant l’accord signé à Vienne.

Compromis ? Le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne restent attachés à l’accord nucléaire en tant que tel, mais désormais, pour éviter que Washington ne s’en retire, ces pays européens souhaitent engager des discussions avec Téhéran sur son programme de missiles balistiques et sur ses activités nucléaires au-delà de 2025 - année où les clauses principales de l’accord expireront -, mais aussi sur son rôle dans des conflits du Moyen-Orient comme la Syrie et le Yémen. « Nous ne négocierons avec personne sur nos armements et notre défense, et nous fabriquerons et entreposerons autant d’armes, d’installations et de missiles que nécessaire », a assuré Hassan Rohani.

EN BREF : OF THE TIME ISRAËL

Rouhani : l’Iran pourrait rester dans l’accord sans Washington

"Les Etats-Unis seront les principaux perdants dans cette affaire", a répété lundi Hassan Rouhani, le président iranien

Dimanche, M. Rouhani avait affirmé que Washington le regretterait « comme jamais » si les Etats-Unis quittent cet accord comme le menace M. Trump depuis des mois.

 « Nous avons pensé à tous les scénarios et avons pris les mesures appropriées. Les Etats-Unis seront les principaux perdants dans cette affaire », a redit lundi M. Rouhani, à propos d’un accord dont il a été l’un des principaux artisans côté iranien.

Jeudi, un conseiller du Guide suprême l’ayatollah Ali Khamenei, avait averti que l’Iran quitterait l’accord si Washington en sortait.

Les dirigeants iraniens soufflent le chaud et le froid dans ce dossier: les ultraconservateurs maintiennent une ligne très dure tandis que M. Rohani et son ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, sont restés vagues sur la nature de la réaction iranienne.

M. Trump, qui n’a pas de mot assez fort pour dénoncer l’accord de Vienne, conclu sous la présidence de son prédécesseur Barack Obama, a donné aux Européens jusqu’au 12 mai pour trouver un nouveau texte qui remédierait aux « terribles lacunes » de l’actuel, faute de quoi les Etats-Unis s’en retireraient.

Par cet accord, l’Iran déclare solennellement ne pas chercher à se doter de la bombe atomique et accepte de brider son programme nucléaire afin d’apporter au monde la garantie que ses activités ne sont pas à visée militaire.

En échange, la République islamique a obtenu la levée progressive et temporaire des sanctions internationales imposées du fait de ce programme, et qui ont fortement nui à son économie.

Le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France ont vanté lundi les mérites de l’accord dans une ultime tentative de convaincre M. Trump de ne pas en sortir, à quelques jours de la date butoir.

Le retrait de Trump de l’accord iranien « peut signifier la guerre », selon Macron

Le président français a expliqué à un journal allemand que le retrait du pacte sur le nucléaire pourrait "ouvrir la boîte de Pandore" Le président français Emmanuel Macron a estimé samedi qu’une décision du président américain Donald Trump de quitter le pacte sur le nucléaire pourrait entraîner une guerre.

Macron a indiqué au quotidien allemand Der Speigel que le pire scénario serait que Trump se retire pleinement de la convention. « Cela signifierait ouvrir la boîte de Pandore, cela pourrait signifier la guerre », a-t-il dit, ajoutant : « Je ne pense pas que le président Donald Trump veuille la guerre ».

Il y a deux semaines, Macron a effectué une visite d’Etat de trois jours à Washington avec pour objectif prioritaire de le convaincre de rester dans l’accord de 2015 qui avait été négocié entre Téhéran et six puissances mondiales et qui est considéré comme le principal héritage dans le domaine de la politique étrangère du prédécesseur de Trump, Barack Obama.

Trump a établi la date-limite du 12 mai pour « corriger ou annuler » le pacte, connu officiellement sous le nom de JCPOA et menacé de manière répétée de le quitter. L’accord impose des restrictions strictes au programme nucléaire iranien en échange du relâchement des sanctions économiques appliquées à la république islamique.

Macron a affirmé que la convention présente la seule option viable pour que la communauté internationale parvienne à réduire les ambitions nucléaires de l’Iran.

En plus d’accepter de se soumettre à des inspections, l’Iran a également réduit le nombre de centrifugeuses utilisées pour enrichir de l’uranium et a réduit ses stocks de matériel dans le cadre de l’accord.

Le président iranien Hassan Rouhani durant une conférence de presse conjointe avec les leaders de Turquie et de Russie lors d’un sommet tripartite sur la Syrie à Ankara, le 4 avril 2018

Au mois de janvier, Trump a posé un ultimatum au congrès et à ses alliés européens pour qu’ils amendent le pacte.

Le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne – les trois pays européens qui ont signé l’accord – ont tenté de manière répétée de persuader Trump de ne pas l’abandonner.

Le président iranien Hassan Rouhani a expliqué dimanche que si les Etats-Unis quittaient l’accord sur le nucléaire signé entre Téhéran et les puissances mondiales, Washington le regretterait.

 « Si les Etats-Unis quittent l’accord sur le nucléaire, vous constaterez rapidement qu’ils le regretteront comme jamais auparavant dans l’histoire », a dit Rouhani dans un discours télévisé dans le nord-ouest de Téhéran.

EN BREF : 20 MINUTES

Le coût des onze premiers jours de grève à Air France est estimé à « 300 millions d’euros » soit un peu plus de 25 millions par jour pour le groupe…

Un ton alarmiste pour dissuader les salariés de la compagnie aérienne de faire grève ? Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a estimé dimanche que « la survie d' Air France est en jeu » et que « l’Etat n’est pas là pour éponger les dettes » de la compagnie aérienne française.

Après la démission vendredi du PDG d’Air France-KLM Jean-Marc Janaillac, désavoué par les salariés lors d’un référendum d’entreprise, il a estimé sur BFMTV que la priorité était au rétablissement du « dialogue social » au sein de la compagnie aérienne et de sa « compétitivité » pour lui permettre d’affronter la concurrence internationale dans le transport aérien. La direction d'Air France a quant à elle annoncé qu'elle prévoyait d'assurer «près de 85%» des vols lundi, au quatorzième jour d'une grève par épisodes, qui voit la mobilisation des pilotes descendre à son plus bas niveau.

 « La survie d’Air France est en jeu »

« L’Etat n’est pas là pour éponger les dettes, venir à la rescousse d’entreprises qui ne feraient pas les efforts nécessaires de compétitivité », a-poursuivi Bruno Le Maire, en jugeant qu’Air France « était dans la bonne direction » avant le déclenchement de ce conflit.

 « J’en appelle au sens des responsabilités de chacun, des personnels navigants, des personnels au sol, des pilotes qui demandent des augmentations de salaire qui sont injustifiées : «prenez vos responsabilités, la survie d’Air France est en jeu» » a encore dit Bruno Le Maire.

« Quand on a le niveau de rémunération actuel des pilotes, que l’on sait que l’entreprise est en danger, on ne demande pas des revendications salariales aussi élevées », a asséné le ministre. Interrogé sur le successeur de Jean-Marc Janaillac, il a estimé que « la feuille de route du prochain président (était) claire : le rétablissement du dialogue social comme priorité absolue, et en deuxième lieu le rétablissement de la compétitivité. »

Le conseil d’administration d’Air France-KLM a demandé à Jean-Marc Janaillac d’assurer ses fonctions jusqu’au 15 mai, date à laquelle une gouvernance de « transition » doit être mise en place.

EN BREF : France INFO.COM

Nouvelle-Zélande : une faille de 200 mètres de long s’ouvre dans un champ

Les fortes pluies tombées ces derniers jours ont révélé, dimanche 29 avril, un gisement volcanique vieux de 60 000 ans.

Il fait la longueur de deux terrains de football et la profondeur d'un bâtiment de six étages. Un gouffre géant s'est ouvert dans un champ à Rotorua, une ville située à 230 kilomètres d'Auckland. C'est la conséquence des fortes pluies qui se sont abattues sur la région, dimanche 29 avril.

Les dimensions de la faille sont impressionnantes : 200 mètres de long, 20 mètres de largeur, et autant de profondeur... Le gérant de la ferme, Colin Tremain, a déclaré à la chaîne de télévision Newshub (lien en anglais) qu'il ne réalisait pas à quel point le trou était grand avant de le voir à la lumière du jour. Selon l'agence Associated Press, un ouvrier est tombé en allant traire ses vaches

Même les vulcanologues n'en croient pas leurs yeux. L'un d'eux, Brad Scott, a expliqué à Newshub que le gouffre était "trois fois plus grand" que tout ce qu'il avait vu auparavant. Selon les premières explications, la faille révélerait un gisement volcanique vieux de 60 000 ans.

DERNIERE MINUTE

EN BREF : SUD OUEST

OPERATION COUP DE POING DE CHEMINOTS A MONTPARNASSE, GARE DE L'EST ET GARE DU NORD

Lundi 7 mai, environ 200 cheminots du syndicat Sud-Rail ont fait irruption dans la gare Montparnasse, à Paris, avant d’être expulsés, parfois violemment, par des CRS. Ils ont ensuite rejoint les gares de l'Est et du Nord.

Des cheminots de Sud-Rail opposés à la réforme de la SNCF ont brièvement perturbé la gare Montparnasse ce lundi après-midi, avant d’en être expulsés par des CRS dans un climat tendu. Ils se sont rendus par la suite à la Gare de l'Est, d'où ils ont été évacués, et à la Gare du Nord.

Aux alentours de 13h30, quelque 200 membres du syndicat Sud-Rail ont fait irruption dans la gare parisienne, munis de fumigènes allumés, créant un léger mouvement de panique

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