8 Août 2018
La salle est austère. Au centre, une table ronde avec 12 places, chacune étant dotée d’un micro. Au mur, des écrans qui affichent la carte de France et sa météo, avec partout ou presque des températures rarement égalées. Nous sommes au ministère de la Santé, au Centre de crise sanitaire, le dimanche 5 août à 17 heures 30, l’heure du point téléphonique quotidien pour le suivi de l’épisode caniculaire qui touche quasiment l’ensemble de l’Hexagone. Autour de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, les patrons des différentes administrations sanitaires. La réunion commence par une conférence téléphonique avec les différentes agences régionales de santé et les autres ministères concernés, qui remontent les informations du terrain.
Qu’il s’agisse de la région Auvergne-Rhône-Alpes, la doyenne des régions en vigilance orange ou du Grand-Est, de l’Ile-de-France, de l’Occitanie ou du Centre-Val-de-Loire, toutes les agences de santé font état d’une activité sanitaire quasi-normale, malgré les fortes chaleurs. Rien à signaler non plus dans les colonies de vacances, selon le ministère de l’Education nationale, ni dans les entreprises exposées à la chaleur comme le bâtiment, les pressings ou les pizzerias, selon le ministère du Travail.
Pendant la canicule, qui s'est préoccupé ou se soucie des animaux?
Sans les animaux l'homme ne peut vivre. Les animaux ne sont pas uniquement là pour notre nourriture , ils sont nos compagnons fidèles, dans la nature ils apportent l'équilibre de la planète.
Qu'ils soient à quatre pattes, poils, plumes, dans l'eau où sous la terre, qu'ils volent ( abeilles, papillons ou autres chacun est un maillon de la chaîne vivante pour que notre vie soit agréable.
Il en est de même pour le végétal. Pendant la canicule nous souffrons, c'est indéniable, mais la nature aussi, et nous nous devons lui venir en aide selon nos possibilités.