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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

la poésie en farandole

 

Tous ces mois d’attente

Tous ces mois passés à attendre,

Jours après jours un mot tendre,

Semaine après semaine à se défendre,

Elle devient l’année à se méprendre.

Déterminée à traverser la cendre.

 

A affirmer le bonheur de ce désir

D’être pas seulement un grand vizir.

Mais elle compte pour son avenir,

Sur les souvenirs pour parvenir,

A se placer en devenir et se prémunir.

 

Le temps s’étire inéluctable,

Sans le temps on est incapable,

De vivre sans indication palpables.

Avec leurs données tout à fait fiables,

Ces instants-là, ne sont pas friables.

 

Il travaille depuis si longtemps

Il croit l’avoir dompté le temps,

Il s’imagine être immunocompétent

Il est ruiné en se croyant méritant

Pour l’éternité sans contretemps.

 

Ces mois passés à être pitoyable,

Avec certaines idées louables,

Je m’aperçois avoir été incapable,

D’être l’âme d’une vénérable,

Femme objet que l’on croît inusable.

 

Celui qui s’imagine être l’honorable,

En vérité il n’est que simple minable,

Puisqu'il n’est pas dans le probable,

Sûrement au vocable insupportable

Incapable guide des respectables.

 

Les mois passent en grande vitesse,

Ces mois et les années avec justesse,

Nous croyions être de vraies déesses

Souvenirs et émois sont délicatesses

Egalement que nos grandes détresses.

 

Il nous faut l’effacer d’un chamois.

Ces fameuses images se larmoient

Les histoires sur les « quant-à-moi ».

Du livre de vie des frères siamois,

Il est de ces gens les « chez-moi ».

Le pardon guérit pertes et déboires,

La prime n’est qu’un pourboire.

Alumacom

14 févr. 17

 

 

Le premier mois de l’année

 

Ce mois est celui de des joies,

Egalement ceux de la fatigue

Ce mois c’est aussi des surprises

Tant par le premier jour

Que par la fève de la galette.

 

Le parcours dans les sentiers gelés

N’ont rien à envier à décembre.

Le nouvel an et les rois mages

Ces joyeux drilles nous illuminent.

Ils se distinguent des autres jours.

 

La galette se fait reine gourmande

Quelle soit classique à la frangipane

Ou en une couronne briochée

 Sa fève joie des grands et petits.

Elle est symbole d’un jour heureux.

 

Les manteaux sont de rigueurs

Le froid cinglant plein de vigueur

La neige crisse sous nos pas

Le verglas joie des enfants

Craintes des mères aimantes.

 

Ce premier mois sonne le glas

Dans la tête des pourfendeurs,

Les fêtards de ces nuits d’allégresse

Se servent un grog bien chaud,

Avant d’être sous le duvet d’une oie.

 

Février mois de la Saint Valentin

 

Février ce mois si court,

Aux gelées, et verglas,

Et ces poudreuses fugaces.

 

Nous devons économisés,

Les fêtes sont terminées,

Le quotidien est des retours

 

Joies et tristesses s’accompagnent

Le carême s’approche

Son calcul est le calendrier lunaire.

 

Cependant il y a tout cet amour

À la Saint Valentin rien n’est éteint

Il est sans serpentin ce brin d’amour.

 

La fête à deux cœurs dans ce mois

Ils battent à l’unissons en ce jour

Il est sacré ce Saint Valentin.

 

La Saint-Valentin cette fête laïque,

Ce saint rayé du calendrier liturgique,

Au moyen âge est une fête anglo-saxonne.

 

La Saint-Valentin du 14 février était fêté,

 Comme une fête des amoureux,

Les oiseaux choisissaient ce jour pour s'apparier.

 

Croyances populaires pour sa parole d’amour,

Symbolique heureuse lumineuse

Un bonheur dans le ciel gris de ce mois de février.

 

Alumacom

14 février 17

 

 

Le dieu Mars

 

Avec ces giboulées le Dieu Mars

Roulent ses nuages gris en un ballon

Son vent glacial venu du nord-ouest

Souffle sur l’atmosphère de la terre.

 

Mars le dieu grec de la guerre

Envahit les terres voisines

Il trouve dans ses pérégrinations

La Rome si fière qu’il épouse.

 

Mars est soudain devenu romain,

Le dieu vénéré de la Rome antique.

Son culte eut la prééminence

Sur celui du beau et puissant Jupiter.

 

Fondateur de la Rome antique.

Mars fût un dieu vénéré.

Dans la mémoire romaine

Mars est le père de Romulus.

 

Il a été le protecteur agricole

Par son caractère souvent belliqueux

Les plantations étaient selon son gré,

L’agrément des offrandes paysannes.

 

Son esprit dominateur le propulsa :

Dieu de la guerre nécessité oblige.

Les romains étaient des agriculteurs,

Au danger ils évoluent conquérants.

 

Alumacom

22 février 2017

 

Le vent frigorifique de mars

 

Ces vents édifices des colères

N’est pas un sanctuaire

Seulement des préliminaires.

 

Ces monuments projecteurs

Ventilent en disjoncteur

Le long de ce mois vengeur.

 

Mars le coléreux n’a pas son pareil,

Il pleure entre deux soleils,

Ces giboulées glaciales réveillent.

 

Ah ! Ce mois venteux si froid,

Ne donne pas dans l’effroi,

Il est renouveau chaud et froid.

 

Nos politiques ont l’épidémie parisienne

Colères et sourires sont souvent cartésienne

En mars les Français sont des pharisiennes.

 

Mars est toujours synonymes de carême

Il est le temps fort du chrétien le suprême

Moment sublime entre Foi et théorème

2 mars 2017

 

 

Lorsque vient ce mois impétueux

 

À l’arrivé de ce mois impétueux

La jeunesse de la nature est fébrile

Elle revient pour le défilé onctueux

Du retour des petits chanteurs subtils.

Les nids reprennent la vie en vertueux

La fidélité demeure l’inconnu docile. 

 

Dans une idée subtile tel un volatile

L’inquiétude pour son petit si fragile

Leur chant plaintif venu des îles,

Célérité l’espérance d’une   compile.

Leur nombre détermine les serviles

Vivants dans le froid des bidonvilles

Tremble de froid sous la voix gracile

Sous ce souffle narquois souvent vil.

 

Combien sont-ils, où seront-ils ?

Ils filent derrière le vigile

Les fleurs attendent les lendemains

Devant cette dame nature indocile.

Cependant le crocodile inhumain,

Course en volatiles pour son grill.

 

Ces animaux humains se croient virils

S’éveillent à l’arrivée du roi Avril.

Leurs audaces s ne sont pas stériles

Seulement suffisants assez subtils

Pour ne pas être livré dans un asile.

Des terres de la grande France habile

Fixe les ressources façon indélébiles

Pour ne garder qu’une voix volubile.

 

Alumacom

17 avril 2017

 

 

Le mois de mai est le retour à la vie

 

Ce mois vivifiant entre en chantant

Au milieu des baies naissantes

Des bourgeons veloutés croissants

Des boutons éclosent éblouissant

Leurs arômes envahissants

Enchantent nos jardins verdissants.

 

Les oiseaux sifflent leurs retours,

L’hymne à l’amour aux alentours

C’est un mois de petites attentions

Avec les diverses commémorations.

Ils sont dans toutes les conversations,

Ils se parent de leurs beaux atours.

 

Les fleurs entrent dans la danse

Leurs fragrances en abondance

Rejoignent les arbres en fleurs,

Parterres et massifs sont bonheur

Les jardins sèchent nos pleurs.

En mai nous sommes en renaissance.

 

La nature chante sous la pluie,

La joie des branches du buis

Communique sa joie au muguet

Leurs clochettes sonnent aux aguets

La marche humaine subjuguée,

Avance sous leur parapluie.

 

Tout nous parle du retour à la vie

Ne serait-ce pas plutôt la survie

Les oisillons piaillent leurs ailes frissonnent

Leurs parents s’activent et façonnent

Le nid douillet des petits inassouvis

Ce mois de joies est tel un chènevis.

 

Alumacom

14 mars 2017

 

 

 

Le soleil de juin

Au mois de juin le soleil vient

Ce n’est pas le maréchal Juin

Mais ce soleil en fait subvient.

Avec la grâce du sourire de Caïn.

La pie voleuse de son arbre rit.

La corneille malgré elle se tait

La mésange cachée dans la futaie

Annoncent juin avec les canaris

 

En juin le souffle ardent du soleil

Embrase les sensations de l’abeille

Elle s’affaire autour de la corbeille

Les ailes rugissent près de la treille.

Sous le soleil réjouit de Juin

Je déguste le jus du méridien

Le gardien veille à Halluin

Au secret enfoui chez les indiens

 

En juin le soleil rouge se lève tôt

« L’alcoolo » se tourne vers le bistrot

Il se croit encore vert sur le faiteau

Seulement il ne peut sortir du bateau.

Le vent s’agite en conciliabule

Le feuillage rafraîchi sans préambule

Ils sont voluptés funambule

Le charme seigneurial de la canicule.

 

Le soleil de juin se veut charmeur

Derrière le nuage blanc des fumeurs

Les têtes se tournent vers l’écumeur

Il n’a pas son pareil ce dompteur.

Il est là amusé le roi de l’univers.

Il nous regarde derrières nos verrières

S’amuse de ces espiègles trouvères

Tissés de divers mots connus et vers

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