1 Octobre 2018
Jairo "Les jardins du ciel" | Archive INA
Abonnez-vous http://bit.ly/inachansons 16 août 1980 extrait de l'émission "Numéro 1 "Jean-Pierre Darras" JAIRO chante "Les Jardins du ciel". Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisu...
Alena : le Canada et les Etats-Unis ont trouvé un accord
Ottawa et Washington ont trouvé un accord-cadre dans les renégociations de l'Accord de libre-échange nord-américain. LE MONDE | * Mis à jour le Le premier ministre canadien Justin Trudeau avai...
Séisme et tsunami en Indonésie
Un tsunami a frappé l'île de Célèbes, au centre de l'Indonésie, après un fort séisme de magnitude 7,5, vendredi 28 septembre. Rahmat Triyono, responsable du centre pour les tremblements de t...
Big-bang dans les bahuts. Dans le cadre de la réforme du lycée, les séries L, ES et S vont disparaître dès l’an prochain en première. A la place, les élèves (ceux qui sont actuellement en 2°) devront choisir (normalement au début du troisième trimestre) trois enseignements de spécialité parmi douze matières : maths, physique-chimie, sciences de la vie et de la terre, sciences économiques et sociales, arts…
Plus original, ils pourront aussi opter pour « numérique et sciences informatiques », « histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques » ou encore « humanités, littérature et philosophie », sans que personne ne sache encore précisément ce qui cache derrière ces nouvelles disciplines, ni qui les enseignera, ni si leur lycée sera en mesure de les proposer.
« Dans l’établissement de ma fille, explique Anne, maman d’Alicia, élève d’un lycée parisien privé, on vient de nous dire que les enseignements de spécialité ne seront pas connus avant le deuxième trimestre. Et qu’en plus, ils ne seront pas tous proposés. »
Des partiels au lycée
En terminale, les élèves ne conserveront que deux spécialités. Le bac qu’ils passeront va être resserré autour de quatre épreuves écrites (français en première, puis enseignements de spécialité et philosophie en terminale) et un oral de 20 minutes portant sur « un projet conduit à partir des enseignements de spécialité », indique le ministère.
Au cours de la première et de la terminale, les élèves passeront aussi trois séries de partiels, dans toutes les disciplines non évaluées lors des nouvelles épreuves finales. Les notes de ce contrôle continu compteront pour 30 % de la moyenne au bac, les bulletins scolaires 10 %.
La seconde n’est pas épargnée par la réforme. Des grilles horaires et des programmes remaniés entrent en vigueur dès la rentrée prochaine. Deux disciplines deviennent obligatoires : sciences économiques et sociales d’une part, sciences numériques et technologie d’autre part.
Des changements massifs qu’une partie du corps enseignant juge trop brusques. « Historiquement, on basculait niveau après niveau. Là, tout est fait en même temps, ça va beaucoup trop vite. On répète les erreurs de la réforme de 2010 », se désole Valérie Sipahimalani, secrétaire générale adjointe du Snes, le syndicat majoritaire du second degré. A l’époque, Jean-Michel Blanquer était déjà à la manœuvre. Il n’était pas encore ministre, mais directeur général de l’enseignement scolaire, une sorte de ministre bis.
Voyage en terre inconnue. S’il y avait un nom à donner à cette rentrée, on l’emprunterait peut-être à l’émission de télé. Douze millions d’élèves vont reprendre le chemin de l’école à partir de ce lundi, parfois sans se douter de ce qui les attend. L’an II de l’ère Blanquer va être marqué par un nouveau train de réformes. Si une partie d’entre elles ont une portée avant tout symbolique, d’autres, au contraire, risquent de bousculer leur quotidien.
Rien qu’en primaire, on peut citer pêle-mêle : la poursuite de la division des effectifs par deux dans les CP et CE1 des quartiers défavorisés, le retour de la semaine de quatre jours dans la très grande majorité des communes, l’encadrement de l’usage du téléphone ou encore le remaniement de programmes qui venaient à peine d’être mis en œuvre.
De l’hyperactivité ? « Jean-Michel Blanquer a déjà deux lois à son actif et deux autres en préparation. C’est autant que tous ses prédécesseurs sur les trente dernières années », observe Claude Lelièvre, historien de l’éducation. « Pour un ministre qui prétendait ne pas faire de zigzags, il en fait beaucoup », grimace de son côté Raymond Artis, le président de la FCPE, principale fédération de parents d’élèves, classée à gauche.
LIRE AUSSI >Blanquer : «Les évaluations deviendront une habitude»
A l’instar des principaux syndicats d’enseignants, son organisation a claqué la porte du Conseil supérieur des programmes en juillet. Motif du coup de grisou : les fameux « ajustements » réclamés par le ministre, du CP à la 3e, en français, mathématiques et enseignement civique et moral. « Un changement complet de philosophie sur l’acte d’enseigner, proposé de surcroît au milieu des vacances scolaires, sans concertation, et pour être appliqué dès la rentrée », s’est insurgé le Snuipp-FSU, majoritaire chez les profs du premier degré.
« Il y a beaucoup d’affichage, de mesures annoncées pour flatter une partie de l’opinion. En réalité, la rupture n’est pas aussi marquée qu’il n’y paraît », relativise Claude Lelièvre. Si les projecteurs se sont braqués sur l’école, c’est maintenant vers le lycée qu’il faut regarder. C’est là que se joue, selon l’historien, le vrai changement. A savoir la disparition des filières L (littéraire), ES (économique et sociale) et S (scientifique). Dans trois ans, les élèves qui entrent en seconde inaugureront un bac nouvelle formule, débarrassée de ces mentions. Une première depuis 1995.
Pour cette génération habituée aux chambardements, c’est un saut dans l’inconnu. Les grands principes ont certes été annoncés dès janvier mais l’essentiel – et le plus compliqué — reste à construire. Le ministre se veut rassurant. « Il est normal que le sujet soulève des interrogations mais les réponses sont là », promet-il dans l’entretien qu’il a accordé au « Parisien ». Une partie d’entre elles devraient tomber dès novembre, avec la publication, annonce-t-il, d’un premier projet de programmes.
Un excédent budgétaire pour la Sécu ? Ne nous réjouissons pas trop vite…
C’est le scoop de la semaine : la Sécu « est repassée dans le vert » pour Les Échos, « La Sécu enfin dans le vert » titre Le Monde, « Le budget en excédent en 2019 » selon Le Point.
Ces affirmations optimistes vont dans le même sens que la joie affichée par Marisol Touraine en 2016 :
« La droite avait multiplié les franchises et creusé le déficit. Nous aurons sauvé la Sécu. »
En somme, tous les deux ans, on nous ressort le sauvetage de la Sécu et les Français sont priés de se satisfaire du trésor nouvellement déterré. Ou plutôt du trésor « estimé » puisque ce ne sont là que des prévisions pour 2019.
En regardant d’un peu plus près, on comprend que la dette de la Sécu existe toujours bel et bien. 23 milliards encore, tout de même. Mais un petit tour de passe-passe comptable « transfère » 15 milliards du trou de la Sécu à un autre organisme, la CADES, qui est chargée de résorber la dette.
Comme le sous-titre du Point l’indique :
« Une partie des déficits accumulés par la Sécurité sociale vont à nouveau être transférés à la Caisse d’amortissement de la dette sociale. »
La CADES éponge la dette de la Sécu depuis plus de 20 ans.
Si vous vous réjouissiez de cet « équilibre budgétaire » enfin retrouvé, vous risquez d’être déçus. Gérald Darmanin, par exemple, a déjà invité à
« imaginer ce qu’on peut faire de cet argent en plus, à la fin des fins ».
Agnès Buzyn a quant à elle expliqué :
« Ce rétablissement des comptes, c’est ce qui nous permet d’être en capacité d’agir et d’être ambitieux ».
Imaginer des trucs et être ambitieux avec l’argent des autres, c’est ce que les politiciens savent faire de mieux…
Avec ces 700 petits millions, l’État compte agir en faveur des Ehpad, instaurer le « zéro reste à charge« , lutter contre la pauvreté, revaloriser le minimum vieillesse, corriger la hausse de la CSG pour les retraités. On peut parier que les 700 millions se transformeront au fil des distributions en poignées de centimes pour quelques-uns.
Et d’ici que les prévisions d' »excédent budgétaire » aient été estimées un peu trop favorablement –comme cela se fait systématiquement pour les prévisions de la croissance–, on peut faire le dos rond en attendant la prochaine débâcle.
De plus, la nouvelle Loi de finance 2018-2022 a d’ores et déjà planifié ce qu’il adviendrait de tout bénéfice de la Sécu : il devra être réinjecté dans le budget général de l’État. Une curiosité comptable… L’État qui ne sait décidément pas se restreindre, a senti l’odeur d’argent frais et s’est arrangé avec une loi pour pouvoir se servir le premier.
Bizarre : quand mon assureur privé constate un trop-perçu, il me rembourse, lui…
MÉLUSINE, 15 ans (2nde) : «Tous ces changements, à quoi ça sert ?»
« Dans le détail, c’est encore très flou » pour la jeune lycéenne. LP/Jean-Baptiste Quentin
Cela fait déjà une semaine qu’elle a repris les cours. Un stage de prérentrée pour être au top en maths. Maïa, 15 ans, passe en première. Elle fait partie de la dernière vague d’élèves à connaître les filières L (littéraire), ES (économique et social) et S (scientifique), créées au début des années 1990. L’an prochain, elles auront disparu dans le cadre de la réforme du bac. « Mon angoisse, c’est de redoubler. Nos profs nous ont dit qu’après nous, ce ne serait plus du tout pareil », confie la lycéenne.
« On va encore essuyer les plâtres », craint, de son côté, déjà Maximilien, 14 ans, qui entre en seconde à Suresnes (Hauts-de-Seine). Changement de rythmes scolaires au primaire, réforme du collège, brevet remanié l’an dernier et maintenant la refonte en profondeur du lycée : s’il est bien une classe d’âge qui incarne les zigzags de l’Education nationale, c’est la sienne. On l’a même affublée d’un drôle de sobriquet : « la génération Contrôle Z », du nom du raccourci qu’on utilise, sur un clavier d’ordinateur, pour annuler une action, revenir en arrière.
« Le pire, c’est qu’on ne comprend même pas à quoi tout cela sert », se désole Mélusine, qui va faire ses premiers pas ce lundi dans le prestigieux lycée Henri-IV, à Paris. Sur la réforme en cours, l’adolescente s’est renseignée. Elle en connaît bien les grandes lignes : fin des filières ; choix, à la place, de trois matières principales en première ; puis deux seulement en terminale ; et enfin, un bac ramassé autour de quatre épreuves et un grand oral, avec une plus grosse part de contrôle continu « Mais dans le détail, c’est encore très flou. Même ma mère n’est pas au courant. Pourtant, elle est prof de français en lycée. »
« On dispose de très peu d’informations, y compris sur les inflexions qui commencent cette année en seconde, confirme Alice, la maman, enseignante dans l’est de la capitale. Par exemple, l’apparition d’une cinquantaine d’heures dédiées à l’orientation. Eh bien, on ne sait pas du tout comment cela va se passer. » Idem pour les « tests de positionnement » que les élèves sont censés passer d’ici à la fin du mois en français et en mathématiques.
Selon le ministère, il s’agira de deux séances de 50 minutes sur une plateforme numérique, avec pour objectif de repérer les lacunes. A l’évocation de cette nouveauté, dont on lui apprend l’existence, une image vient soudain à l’esprit d’Antoine, élève à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : « Un peu comme si on était des rats de laboratoire ! » Mathéo, qui va faire ses premiers pas au lycée en banlieue lyonnaise, n’est lui « pas perturbé » par cette armée de nouveautés. « Je n’en sais pas plus que ça. Mais les profs seront là pour nous les expliquer. Eh puis, quand il y a des réformes, c’est pour le bien des élèves. Par exemple, pour le brevet au collège, ils ont mis plus de liberté pour l’épreuve orale, j’ai trouvé ça mieux adapté », applaudit cet ado qui aime vivre « au jour le jour ».
CE QUI EST NOUVEAU :
COLLÈGE
VIOLETTE, 12 ans (5e) : «En latin, ils ne prennent que les plus forts»
Violette et son camarade de classe Gaston. LP/Philippe Lavieille
La fin du portable à l’école et au collège ? Gaston, 12 ans, fait la moue. Il ne sait pas trop comment la mesure, votée au cœur de l’été, va s’appliquer dans son bahut. « On n’avait déjà pas le droit de le sortir en classe. » Le sien de téléphone n’a pas Internet. Et c’est bien tout ce qui semble le déranger.
« Moi, au départ, j’avais compris qu’il ne pourrait plus du tout l’emmener. Ça nous embêtait, parce qu’on aime bien pouvoir le joindre ou qu’il puisse nous prévenir s’il va chez un copain. Mais finalement, c’est simplement l’usage dans l’enceinte de l’établissement qui est interdit », souffle Damien, son père.
Gaston, qui fera sa rentrée mardi en 5e à Châtillon (Hauts-de-Seine), est davantage tracassé par le fait de savoir s’il pourra faire du latin, matière dont l’apprentissage est censé avoir été relancé par une circulaire en janvier. « Il n’y a que trente places. Du coup, ils ne prennent que les plus forts », regrette Violette, une copine déléguée de classe. « Par contre, la prof nous a dit qu’il y aurait aussi du grec en 4e et 3e », s’enthousiasme-t-elle.
Les parents n’ont pas poussé Gaston à faire du latin. « Mais tout le monde dit que ça laisse plus de chance d’avoir un bon lycée ensuite », glisse son père. Autre facteur déterminant selon lui : les notes. Élève moyen, Gaston s’est essayé à Devoirs faits, un dispositif lancé l’an dernier qui permet aux enfants de faire leurs exercices après la classe, encadrés par du personnel, des bénévoles ou des volontaires du service civique.
« Malheureusement, c’était un peu de la garderie », regrette Mathilde, la maman. Alors que le dispositif doit monter en puissance cette année, avec un objectif de quatre heures hebdomadaires proposées dans chaque collège, pas sûr que Gaston renouvelle l’expérience.
CE QUI EST NOUVEAU :
LUCIE, 10 ans (CM2) : «C’est bien de ne plus aller à l’école le mercredi»
«Je pourrais me coucher plus tard le mardi soir»... LP/Jean Nicholas Guillo
Lucie adore se plonger dans les romans, « le Monde de Narnia » ou « Apprentis vétos très spéciaux ». Alors la demoiselle du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), qui entre en CM2, se dit qu’elle a tout à gagner au retour de la semaine des quatre jours dans son école, un rythme qu’elle a déjà connu en maternelle.
« Comme je n’ai plus classe le mercredi matin, je pourrai me coucher plus tard le mardi soir et donc lire plus. Je me réveillerai à 10 heures et à midi, on ira au McDo avec ma copine Lila », s’enthousiasme, très pragmatique, cette fine négociatrice, fille d’une… bibliothécaire et d’un commercial. Elle ne semble guère perturbée par les réformes, même si elle les juge imparfaites.
« C’est bien de ne plus aller à l’école le mercredi. Mais du coup, les autres jours, je finirai à 16h30 au lieu de 15h45. Je passerai donc moins de temps au centre de loisirs, je vais moins jouer », calcule celle qui apprécie les séances de badminton ou d’origami après les cours. Sa maman, qui ne travaille pas le mercredi jusqu’en février prochain, n’est pas mécontente de cette coupure de mi-semaine. « C’est un jour de moins où on ne speede pas pour être à l’heure, une soirée de moins aussi où il n’y a pas de révisions de leçons », apprécie-t-elle. Cette trentenaire est « un peu paumée » avec cette réforme des rythmes scolaires, parce qu'« un jour, on dit que 4 jours et demi, c’est mieux que 4 jours, et le lendemain, on entend le contraire ».
Mais à ses yeux, le changement ne peut pas nuire à la jeunesse. « Dans la société, on est toujours obligés de s’adapter », positive-t-elle. Autre modification de programme à la rentrée : la fin, en grammaire, de l’enseignement du controversé « prédicat » et le retour des bons vieux COD et COI. Pas de quoi déstabiliser Lucie. « Le prédicat, c’est quoi ? », s’interroge celle qui a « oublié ».
Ses camarades en CP seront initiés d’entrée de jeu aux quatre opérations : addition, soustraction, multiplication, division. « Je ne pense pas que c’est possible. Déjà que je n’arrivais pas trop à faire les divisions à deux chiffres en CM1 », souffle-t-elle. « Grec et latin, ça serait bien aussi en CP », ironise sa maman. Les écoliers en CE2 devront, eux, maîtriser le premier couplet de la Marseillaise. Lucie n’a pas souvenir de l’avoir entendu sur les bancs de l’école. Mais elle le connaît par cœur. « Je l’ai appris avec mon papa pendant la Coupe du monde… »
CE QUI EST NOUVEAU :
MATERNELLE.
POLA, 3 ans (petite section) : «Je n’ai plus trop envie d’y aller…»
/LP/S.Salom-Gomis
Pola fera sa rentrée ce lundi en petite section à Nantes (Loire-Atlantique), où ses parents viennent d’emménager. La semaine dernière, elle a pu visiter son école, faire la connaissance de la directrice, découvrir sa classe. Le début de l’angoisse. « J’avais envie d’y aller, mais plus trop maintenant », prévient-elle, tout en gardant (pour le moment) le sourire.
Le gouvernement, qui va abaisser à la rentrée prochaine l’âge de l’instruction obligatoire de 6 à 3 ans, compte au préalable accentuer la formation des personnels de maternelle. Alors qu’une clarification des programmes est en cours, la maîtresse de Pola devrait se voir proposer d’ici quelques semaines des modules de spécialisation. Principal objectif : améliorer l’apprentissage de la langue.
La maman de la petite fille, institutrice en disponibilité, voit d’un bon œil cet effort pour généraliser les bonnes pratiques. Dans l’école de sa fille, elle salue déjà la mise en place de classes à deux niveaux, mêlant 1re et 2e années. « Pour les jeunes, c’est stimulant, notamment en termes de développement du vocabulaire et de sociabilisation. Cette organisation permet aussi de faire classe en demi-groupe l’après-midi aux plus grands, pendant la sieste des plus jeunes », apprécie-t-elle.
CE QUI EST NOUVEAU :
/LP/Philippe Lavieille
12,4 millions d’élèves attendus à la rentrée, dont 6,8 millions d’écoliers, 3,4 millions de collégiens et 2,2 millions de lycéens.
881 400 enseignants, dont 144 400 dans le privé.
190 000 élèves de CP et CE1 vont bénéficier d’une classe dédoublée (12 environ par classe). Ce devrait être 300 000 l’an prochain, soit 20 % d’une génération.
54 heures dédiées à l’orientation en 2nde. Une première destinée, entre autres, à amorcer la réforme la disparition des filières L, ES et S en 1re l’an prochain.
24,3 élèves par classe en moyenne en maternelle (rentrée 2017), 23,3 en élémentaire, 24,7 en collège et 29,3 au lycée (voie générale et technologique)
5 évaluations nationales au cours de la scolarité : deux en CP (en début et milieu d’année), une en CE1, 6e et 2de.
3 ans, l’âge à partir duquel l’instruction sera obligatoire l’an prochain. Depuis la loi Ferry de 1882, c’était 6 ans. 97 % des enfants de 3 ans vont déjà à l’école, un taux qui frôle les 100 % l’année d’après.