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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonsoir, mes frères et sœurs que votre nuit soit merveilleuse

Bonsoir, mes frères et sœurs que votre nuit soit merveilleuse
Bonsoir, mes frères et sœurs que votre nuit soit merveilleuse
Bonsoir, mes frères et sœurs que votre nuit soit merveilleuse
Les trois prières quotidiennes

La loi judaïque nous fait une obligation de prier trois fois par jour : le matin, l'après-midi et le soir (à la tombée de la nuit). Ces prières sont appelées : Cha'harith (prière du matin), Min'hah (prière de l'après-midi) et Arvith ou Maariv (prière du soir).

Nos Sages nous disent que la coutume de prier trois fois par jour fut originairement introduite par nos Patriarches Abraham, Isaac et Jacob. Abraham introduisit la prière du matin, Isaac celle de l'après-midi, et Jacob y ajouta celle du soir.

Dans le Zohar – où est révélée la signification profonde de la Torah

– et dans la 'Hassidout 'Habad,il est expliqué que chacun des trois

Patriarches représentait une qualité particulière qu'il introduisit

dans le service divin. Abraham servait D.ieu avec amour ; Isaac,

avec crainte et respect ; Jacob, avec pitié. Non que les qualités de

chacun fissent défaut aux autres ; seulement, chacun d'eux avait

une qualité prédominante. Ainsi, Abraham se distinguait

particulièrement par la bonté ('Hessed) et l'amour (Ahavah), 

tandis qu'Isaac excellait dans la justice (Dine) et le respect (Yirah), et Jacob, ayant hérité des qualités des deux autres Patriarches, les

combinait en une double qualité nouvelle où s'équilibraient la

vérité (Emeth) et la compassion (Ra'hamim).

Nous, enfants d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, avons reçu en

héritage toutes ces grandes qualités de nos Patriarches ; ce qui

nous rend capables de servir D.ieu et de prier avec amour, crainte (respect) et pitié. Cette dernière qualité intervient quand nous prenons

conscience que notre âme est une partie de la Divinité ; alors

nous avons pitié d'elle parce qu'elle est si souvent distraite de

D.ieu par les aspects matériels de la vie quotidienne.

Apprendre, instruire, guider

Lors du Don de la Torah au mont Sinaï, notre mode de vie nous

fut fixé par D.ieu. Torah signifie « enseigner », « instruire »,

« guider » ; car la Torah nous enseigne la conduite à tenir dans

chaque détail de notre vie quotidienne. La Torah contient 613 commandements.

Parmi eux est celui qui prescrit « de servir D.ieu de tout notre

cœur et de toute notre âme ». Comment servir D.ieu avec notre

cœur ? En Lui adressant nos Prières. Ce faisant, nous observons

non seulement le commandement relatif à la prière, mais aussi

les autres, tels que d'aimer D.ieu et de Le craindre, lesquels sont

des commandements séparés.

Durant le premier millénaire, depuis le temps de Moché Rabbénou

, il n'y avait pas d'ordre fixé pour les prières. Chaque individu

avait le devoir de prier D.ieu tous les jours ; mais la forme de la

prière, ainsi que le nombre de fois par jour étaient laissés à l'appréciation du fidèle.

Il y avait cependant un ordre établi pour le service au

Beth Hamikdache relativement aux sacrifices du jour, matin et soir, tandis que les sacrifices du soir se prolongeaient dans la nuit. Les jours

spéciaux tels que le Chabbat, Roch 'Hodèche et les Fêtes, des

sacrifices « additionnels » (Moussaf) avaient lieu. De même,

il n'était peut-être pas inhabituel pour certains Juifs de prier

trois fois par jour,

le matin,

le soir

et la nuit,

chacun à leur manière. Le roi David, par exemple, déclarait qu'il

priait trois fois par jour; et Daniel (à Babylone) priait lui aussi trois

fois par jour, le visage et le corps orientés vers Jérusalem. Il a été

prouvé qu'il existait, même au temps du premier Beth Hamikdache

, des lieux de prières publics appelés « Beth HaAm »,7 que les

Chaldéens (les Babyloniens) détruisirent lors de la destruction de

Jérusalem et du Beth Hamikdache.

Ezra le Scribe

Après ce tragique événement, et que les Juifs eurent été emmenés en captivité à Babylone, les Juifs continuèrent à se rassembler et à prier ensemble. Les lieux de prières devinrent comme de « petits sanctuaires » – beth mikdache méat. Mais durant les années d'exil, les enfants nés et élevés à Babylone manquaient de la connaissance adéquate de la Langue Sainte (l'hébreu) et parlaient une langue que les mélanges avaient rendue impure. C'est pourquoi, quand les Juifs revinrent dans leur patrie après les soixante-dix ans d'exil, Ezra le Scribe, de concert avec les Hommes de la Grande Assemblée (composée de prophètes et de Sages, dont le nombre se montait à 120), fixa le texte de la prière quotidienne (Chemoneh Esréh – les « Dix-huit Bénédictions »), en faisant une institution permanente, et un devoir pour le Juif de réciter cette prière trois fois par jour. Depuis, elle devint partie de la loi judaïque (Halakhah) prescrivant à chaque Juif de réciter ces prières dans l'ordre fixé, trois fois par jour, correspondant aux sacrifices quotidiens au Beth Hamikdache, avec des prières additionnelles le Chabbat, à Roch 'Hodèche et aux Fêtes, et une prière de conclusion (Neïlah) à Yom Kippour.

Ainsi, les parties principales des prières quotidiennes furent formulées par nos Sages. Celles-ci comprenaient le Chema et le Chemoneh Esréh, qui constituent toujours les parties les plus importantes de nos prières du matin et du soir, le Chemoneh Esréhformant également la partie principale de l'office de Min'hah. Le Psaume quotidien que les Lévites avaient l'habitude de chanter au Beth Hamikdache faisait aussi partie de la prière du matin. D'autres psaumes de David furent inclus dans cette dernière prière, et des Actions de grâces spéciales avant et après le Chema y furent ajoutées. Au temps où Rabbi Judah le Prince rédigea la Michna (environ en l'an 3910, ou 149 de l'ère vulgaire, quelque cinq cents ans après Ezra) et plus particulièrement lors de l'achèvement du Talmud environ trois cents ans plus tard, ou il y a environ 1500 ans) l'ordre de base de nos prières, telles que nous les connaissons aujourd'hui, avait été fixé.

Le Chabbat
Tranquillité. Conscience. Identité juive. Famille…
 

Chabbat: l'île temporelle qui définit la semaine du Juif. Les rituels, les pratiques, les choses à faire et les choses à ne pas faire du sabbat juif — et comment vous pouvez en faire l'expérience.

 

Le Chabbat est la pièce maîtresse de la vie juive, et l’a été depuis

l’enfance de notre nation. Selon le Talmud, le Chabbat est égal en importance à tous les autres commandements réunis. Le Chabbat est si central dans la vie juive que le terme Chomer Chabbat

 (Juif observant le Chabbat) est synonyme de « Juif religieux »

dans le langage courant.

Le Chabbat est un jour de repos et de célébration qui commence

le vendredi au coucher du soleil et se termine le lendemain soir

après la tombée de la nuit. Jetons un coup d’œil à l’histoire, à

l’importance et aux observances de cette journée

Qu’est-ce que le Chabbat?

Le Chabbat (également connu avec la prononciation ashkénaze de

« Shabbos », ou encore « Sabbat » en français) est la pièce maîtresse

de la vie juive, et l’a été depuis l’enfance de notre nation. Selon le Talmud,

le Chabbat est égal en importance à tous les autres commandements

réunis. Le Chabbat est si central dans la vie juive que le terme 

Chomer Chabbat (Juif observant le Chabbat) est synonyme de

« Juif religieux » dans le langage courant.


Au commencement Le Chabbat est un jour de repos et de célébration qui

commence le vendredi au coucher du soleil et se termine le lendemain soir après

la tombée de la nuit. Jetons un coup d’œil à l’histoire, à l’importance et aux

observances de cette journée.

Nous lisons dans le livre de la Genèse que D.ieu créa le monde en six jours et se

reposa le septième jour. Les sages disent que ce jour-là, D.ieu créa la menou’ha,

le repos, sans lequel une créativité soutenue serait impossible.

Après que D.ieu ait fait sortir les enfants d’Israël d’Égypte en l’an 2448, Il leur

enseigna le Chabbat : travailler pendant six jours et se reposer le septième.

Le Chabbat est aussi l’un des 10 Commandements que D.ieu transmit au Sinaï

plusieurs semaines après l’exode. Ainsi, le Chabbat commémore à la fois la 

création du monde et l’intervention de D.ieu dans les affaires du monde quand Il fit

sortir Sa nation de l’esclavage.

Tout au long des 40 années que nos ancêtres errèrent dans le désert, une manne 

nourrissante descendait chaque jour du ciel, excepté le Chabbat. Mais personne

n’avait faim : des rations supplémentaires tombaient le vendredi, de sorte que

chacun avait amplement de quoi se nourrir le saint jour.

La Torah s’étend peu sur l’observance de ce jour, nous disant seulement qu’aucun

travail ne doit être fait et qu’aucun feu ne doit être allumé. Mais la tradition

rabbinique couplée à une étude attentive des textes de la Torah fournit une mine

d’informations, dont une grande partie se trouve dans le traité talmudique nommé

à juste titre « Chabbat ».

Un invité spécial

Nos sages nous disent que le Chabbat est une « reine », dont la présence

majestueuse honore chaque maison juive pour la durée de la journée du Chabbat.

C’est pourquoi nous nous baignons, nous revêtons nos plus beaux habits et nous

veillons à ce que nos maisons soient parfaitement ordonnées le vendredi

après-midi. Selon le Talmud, nous recevons une âme supplémentaire chaque

Chabbat.

Le prophète Isaïe prédit un grand délice qui vient en récompense « si tu retiens

ton pied, à cause du Chabbat, de vaquer à tes affaires en Mon saint jour, et que

tu appelles le Chabbat un délice, le saint de l’Éternel honoré, et que tu l’honores

en t’abstenant de suivre tes voies ordinaires, de t’occuper de tes affaires et de

prononcer des paroles »

Le Chabbat est si spécial que même le choix de nos paroles, de nos

comportements, et des objets que nous touchons doit être compatible avec ce

saint jour. Cela inclut la défense de manipuler des objets qualifiés de mouktsé,

écartés parce qu’ils n’ont généralement aucune utilité le Chabbat.

Choses que nous faisons

Allumer des bougies

Puisque nous n’allumons pas de feux le Chabbat, nos sages ont déclaré que

chaque maison juive doit avoir des bougies allumées avant le début du Chabbat,

afin que la soirée soit paisible et festive. C’est habituellement la femme de la

maison qui allume ces lumières. Le Rabbi, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson,

de mémoire bénie, encourageait les filles à les allumer dès l’âge de trois ans.

Les bougies doivent être allumées au moins 18 minutes avant le coucher du soleil

et doivent être placées près de l’endroit où seront pris les repas du Chabbat.

Une bénédiction spéciale est dite après l’allumage.

Le vin et le pain
Œuvre représentant un repas de Chabbat
Œuvre représentant un repas de Chabbat

La Torah nous commande de « rappeler le jour du Chabbat pour le sanctifier ».

Les sages comprennent que cela signifie que nous devons déclarer verbalement

que le Chabbat est un jour sacré, c’est pourquoi le vendredi soir nous disons une

prière spéciale sur le vin dans un rituel appelé kiddouch (sanctification).

(Un kiddouch abrégé est récité à nouveau le lendemain.)

Après le kiddouch, le Chabbat est célébré par un festin somptueux. Assurez-vous

d’avoir trois grands repas le jour du Chabbat : un le vendredi soir, un le lendemain

en milieu de journée et un plus modeste en fin d’après-midi.

Les repas commencent par deux pain entiers, qui rappellent la double portion de

manne qui tombait chaque vendredi. Avant de rompre le pain, nous nous lavons

les mains d’une manière spécialement prescrite.

Il existe de nombreux plats de Chabbat typiques selon les communautés juives,

mais les repas de Chabbat peuvent être composés de tout ce qui est pour vous

festif et délicieux.

Pendant le repas du jour, nous mangeons habituellement quelque chose de chaud

qui a mijoté sur une flamme basse (ou une autre source de chaleur)

depuis le début du

Chabbat,

comme le traditionnel ragoût de haricots, de blé, de pommes de terre et de viande

appelé 

tcholent chez les Ashkénazes ou dafina chez les Séfarades. Remarque :

Il existe de nombreuses

lois sur la cuisson le jour du Chabbat, alors assurez-vous de préparer votre 

tcholent correctement.


Prières de ChabbatMis à part le plaisir physique du repas du Chabbat, celui-ci

comprend souvent des histoires inspirantes, des chants et des idées de la Torah,

de sorte que le repas est aussi un délice pour l’âme.

Le vendredi soir, avant l’office du soir, nous accueillons la Reine Chabbat par un

ensemble de psaumes et la belle mélodie de Lekha Dodi. L’office du lendemain

matin est élargi pour inclure la lecture de la section hebdomadaire de la Torah et

l’office supplémentaire de Moussaf.

Les offices du matin sont généralement suivis d’une réception communautaire lors

de laquelle un déjeuner léger est servi. C’est le moment idéal pour faire

connaissance avec les membres de votre communauté, pour discuter et

simplement profiter de la compagnie de vos amis juifs. (Parce que c’est trop

simple de faire simple, cette réception est aussi appelée un kiddouch.)

Dire au revoir

Tout comme le Chabbat fut accueilli avec du vin, nous en prenons congé

avec une autre coupe de vin lors d’une cérémonie appelée havdalah 

(séparation). La havdalah comprend aussi une bénédiction récitée sur

des épices parfumées, pour raviver nos âmes qui ressentent la perte du

cadeau spécial du Chabbat, et une sur le feu, qui commémore le premier

feu qu’Adam et Ève ont allumé après le tout premier Chabbat.

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J
Consider some of the recent tendencies throughout analysis with regards to serving persons get away involving enslaving habits?
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