Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
4 Novembre 2018
En ce dimanche…
Ce jour est l’un des dimanches ordinaires
Je vous souhaite un bon dimanche culinaire
Demain ce sera un jour sous luminaire.
Mais ce dimanche ci bien qu’ordinaire,
À sa particularité d’être simplement sur l’air,
D’une tradition aux rituelles cellulaires.
Le printemps, invite le pique-nique dans le pré.
La voiture roule sur la route de nos secrets,
Nous roulions joyeux fièrement juste après...
La messe à l’église de Saint-Germain-des-Prés.
Cheveux aux vents, la route longe les cyprés ,
Des joues comme toujours sont empourprées.
L’été, c’est la course matinale conformément,
À nos pratiques immuables et positivement,
Les bicyclettes sont accrochées latéralement.
Dans la voiture les enfants feront étourdiment,
Les malices joyeuses de leurs âges en sont le piment,
Bain et châteaux de sable se succèdent inopinément.
L’automne, les diaprés de la nature sont l’ivresse,
Nos souvenirs dans les vignes loin de la sécheresse
Aux fragrances diverses enivrantes et de tendresse,
Envahissent notre espace de citadin en maîtresse.
Le vent et la pluie s’invitent chassant nos détresses,
De la cause, d’une presse qui n’a rien d’une compresse.
L’hiver s’invite avec ses joies, ses plaisirs et ses plaintes
Nos dimanches sont réfrigérés avec ses complaintes,
La rue est notre cinéma notre univers notre Olympe,
Les vitrines s’habillent de coton blancs et de jacinthes.
Les coutumes du dimanches sont les douces contraintes,
Dans les couloirs des rues de ce gigantesque labyrinthe.
Alumacom
4 mars 2015
Être sobre en octobre, oui mais pour qui ?
Octobre c’est le temps de rester sobres
Le dessin rime avec destin
Les verres verts sans les sous-verres
Ne peuvent être une musique sans opprobre.
La sobriété c’est la monotonie de la vie
Monotone le croyez-vous !
Les papillons nous quittent,
Les passereaux font de même,
Les ours se préparent à hiberner.
Les feuilles des arbres se colorent,
Elles virevoltent, dansent avant d’atterrir,
Sur le sol refroidi et humide,
Elles couvrent le parfum particulier des bolets,
Dans les forêts les cerfs brament.
Enfin ce mois se termine avec les fantômes
Une fête païenne venue d’Ecosse ou d’Irlande
Promu aux États-Unis pour raison commerciale.
Les sorcières et leurs balais s’envolent dans l’imaginaire.
Les malheureuses citrouilles sont transpercées,
Des bougies les rendent lumineuses,
Sur des sourires flamboyant de la sorcellerie
Les adultes font aller les enfants au porte à porte
Ils apprennent ainsi à faire la quête pour des bonbons,
Mais plus tard que devra de cet enseignement,
A part les caries dentaires ?
C’est aussi les retours pour tous les étudiants.
La politique ? Parlons-en !
Elle est comme la vigne
C’est le temps des vendanges
Des petites vengeances indignes
Ah non ! Pour son éthique.
La treille attire les curieux
Le raisin est-il à point ?
Les champs en sont au labourage,
Les éleveurs se préparent au retour de l’hiver
Pour certains à descendre de la montagne.
Les politicards déballent de beaux discours
Avec toujours les mêmes tics.
Les mêmes piques, les mêmes philosophies,
Incapables de trouver des solutions neuves.
Le politicien lui reste souvent dans l’ombre
Trop libre dans leurs pensées,
Trop libre dans leurs paroles,
Trop gênant dans les vérités,
Trop proche de la réalité,
Trop préoccupé pour les petites gens,
Trop, trop, trop…Sobre ?
Les journaleux alliés des politicards,
En octobre s’activent se démènent,
Ils préparent dans l’ombre le futur.
Les journalistes et les politiciens,
Ont en commun d’être omniprésent.
Mais très souvent dans l’ombre,
En conséquence peu écouter
Il est vrai sagesse et vérité
N’ont pas la lumière des lampions,
Pourtant sagesse et vérité
Sont la source du vrai bonheur
Cela est parfois difficile à entendre.
Car la sagesse et la vérité,
Ont la rudesse et la chaleur de l’amitié,
Dans l’humilité et la fidélité.
Ce mois ne doit pas être seulement un octobre sobre,
C’est toute l’année que nous devrions être clairvoyants.
Alumacom
31 octobre 2017
En ce mois de novembre 2018
Nous fêtons les Saints
Le premier
Nous rendons hommages à nos disparus
Le deux.
Nous commémorons le centenaire de la fin de la première guerre mondiale
Le onze.
Nous honorons notre Seigneur le Christ Roi
Le dimanche 25 novembre
Le ciel est chagrin il pleure,
En novembre.
Le vent est cinglant gifle,
En novembre.
Les champignons sont odorants,
En novembre.
Les châtaignes mûrissent,
En novembre.
Le cerf brame dans le bois,
En novembre.
Les ours hibernent,
En Novembre de cette année
Les corbeaux et corneilles
S'activent plus en novembre leur nid doivent être chaud
Les impôts tombent comme les feuilles mortes
En Novembre.
Les élections de la nouvelle Calédonie sont
En novembre
L’heure change selon les hommes pas la nature
En novembre
Mais le soleil et la lune restent immuables eux
En novembre
Chacun prépare les festivités de fin d’année,
Ce mois froid, humide pleure.
En novembre tout est triste
Larmes et colères fusionnent dans le brouillard,
les crimes, les attentats, les attaques de jeunes
Dans ce mois de novembre.annoncent des difficultés à venir
Alumacom
4 novembre 2018
Puisque tu pars J.-J.Goldman les fous chantants d'Alès - Vidéo Dailymotion.flv
Jean-Jacques Goldman et les 1000 choristes d'Ales chantent "Ensemble" pour les sinistrés du Gard en 2002