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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Cameroun: les recherches se poursuivent pour retrouver des séminaristes disparus dans un fleuve

Les sapeurs pompiers poursuivent les recherches en vue de retrouver les deux séminaristes disparus dimanche dans un fleuve à Mokolo, département du Mayo-Tsanaga, région de l’Extrême Nord.

Bru

no Nwachuku et Stanley Ogueme, les deux futurs prêtres avaient disparu sous les eaux du petit barrage de Mokolo le dimanche 11 novembre 2018 vers 16 heures (15hTU).

 

D’après les sources sur place les deux prêtres prenaient leur bain.

“Leurs vêtements ont été retrouvés sur les berges du fleuve où ils ont disparu”, rapporte Emmanuel Mazda habitant de Mokolo.

Selon notre source, les deux séminaristes prenaient habituellement leur bain dans ces eaux.

Depuis dimanche, les opérations de recherches entreprises par les sapeurs pompiers du 40e groupement n’ont pas encore permis de retrouver les deux prêtres nigérians.

Cameroun: Paul Biya répond aux abonnés absent au sommet de Paris sud la paix
Attendu à Paris par son homologue français Emmanuel Macron pour le premier Forum sur la Paix, le président Paul Biya a répondu aux abonnés absents, malgré lui.

Il y a trois mois. A la faveur d’une audience au palais de l’Unité, l’Ambassadeur de France à Yaoundé, a remis à Paul Biya, un carton d’invitation de la part du président français Emmanuel Macron. Ce dernier invitait le Chef de l’Etat camerounais à Paris pour le premier Forum sur la paix officiellement prévu pour se tenir de ce lundi 12 au mercredi 14 novembre 2018.

 

Mais, presque tous les chefs d’Etat invités, sont depuis samedi dans la capitale française pour assister d’abord aux festivités du centenaire de la fin de la première guerre mondiale, avant d’entamer les travaux du sommet sur le forum.

Paul Biya est encore à Yaoundé. Aucun signe n’annonce son départ imminent. Dans les journaux de la Radio et télévision d’Etat, aucun papier des journalistes du président n’est diffusé sur le sujet comme de coutume en pareille circonstance.

D’habitude, des journalistes de la brigade des reportages spéciaux de la CRTV qui accompagnent le président de la République, vont en mission avancée avant l’arrivée du Chef de l’Etat et sa suite. Depuis samedi 10 novembre, les journaux de la CRTV diffusent des reportages d’un certain Philippe Roger Essama qui signe en qualité d’envoyé spécial de l’organe audiovisuel public.

Ainsi, tout porte à croire que l’inamovible président qui dirige le Cameroun depuis 36 ans, a annulé son voyager pour Paris. « Monsieur, n’allez pas vite en besogne. Il est mentionné sur l’invitation du 12 au 14 novembre. Donc, il ne se fait pas tard. Il est vrai qu’on avait tout apprêter pour que le Boss voyage au plus tard hier samedi. Mais, compte tenu du contexte du moment, au Cameroun comme à l’étranger, il est possible que ce déplacement soit totalement annulé et qu’il se fasse représenter » confie à Cameroon-info.net une source à la présidence de la République à Yaoundé.

Des indiscrétions affirment avec conviction, que Paul Biya n’ira plus en France parce que apeuré par les menaces des opposants au régime de Yaoundé.

En effet, les activistes radicaux de la diaspora camerounaise en Europe qui contestent le sacre de Paul Biya à l’élection présidentielle du 07 octobre 2018, sont opposés à la venue du président camerounais dans l’hexagone. Ils l’ont fait savoir en manifestant hier dans la capitale française.

Les opposants annoncent d’autres manifestations de protestation et menacent d’arroser l’homme du Renouveau âgé de 85 ans avec des œufs et des tomates pourris. Finalement, ces activistes, ont-ils eu raison de Paul Biya ? L’on répond par l’affirmative au sein de l’opposition alors que du côté du Cabinet civil de la présidence de la République, l’on a choisi de garder le silence.

 

Suicide de la présidente des "policiers en colère" : une enquête ouverte par le parquet de Versailles sur les causes de sa mort

Maggy Biskupski était membre de la BAC de nuit des Yvelines et la présidente de l'association Mobilisation des policiers en colère. Elle a mis fin à ses jours lundi soir à son domicile, à Carrières-sous-Poissy (Yvelines).

Le parquet de Versailles a ouvert, mardi 13 novembre, une enquête pour déterminer les circonstances de la mort de Maggy Biskupski, la présidente de l'association "Mobilisation des policiers en colère" qui s'est suicidée lundi soir à son domicile avec son arme de service, a appris France 2 de source proche du dossier. Une seconde enquête a été ouverte par le même parquet contre X pour "abus de confiance". Dans plusieurs courriers envoyés à ses collègues policiers, cette membre de la BAC de nuit des Yvelines évoquait des problèmes au sein de son association. 

Maggy Biskupski était la présidente de l'association "Mobilisation des policiers en colère". Pour ses prises de positions après l'attaque de Viry-Châtillon, Maggy Biskupski était visée par une procédure de l'IGPN pour être sortie de son devoir de réserve.

"C'est le choc"

"Dans la journée qui a précédé sa mort, elle a envoyé des SMS à ses parents et au vice-président de l'association, dans lesquels elle évoquait notamment des conflits internes aux policiers en colère, et confiait ses problèmes avec le mouvement", indique pour sa part BFMTV.

"C'est le choc, on ne pensait pas qu'on pourrait en arriver là", réagit sur franceinfo mardi Maël, un policier proche de Maggy Biskupski. Il dénonce l'inaction du ministère de l'Intérieur qui en deux ans n'a jamais reçu l'association créée par la policière et estime que "certains vont devoir rendre des comptes". "Cela faisait plusieurs mois qu'il y avait régulièrement des convocations à l'IGPN pour manquement au droit de réserve", explique-t-il. "Ça lui pesait, elle nous disait régulièrement que ça lui pesait", insiste-t-il.

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