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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonjour mes amis(es) lecteurs et lectrices un nouveau chapitre: L'imbroglio

22

L’Imbroglio

 

Le capitaine Blaireau est dans tous ses états. Il tient dans ses mains des documents le laissant sans voix en premier temps. Il semble vouloir se contenir. Néanmoins, il parvient à contenir son explosion, cependant il lâche :

  • Cette affaire est bien curieuse !

Dit-il. Son sergent Rouliaux entre avec d’autres documents qu’il donne au capitaine. C’est tout juste s’il ne s’étrangle.

  • Vous avez lu, les résultats ? Que vont penser les américains ?
  • Que la France prend le même chemin qu’eux mon capitaine !

Répond le sergent tout de go sans réfléchir. Le capitaine toujours dans ses pensées ne relève même pas l’impertinence.

  • Vous croyez ?

S’interroge tout haut le capitaine

  • J’avoue, je n’en suis pas persuadée.

Continue sur la même lancée son sergent

  • En effet, ils nous prendront de haut ! avec une erreur pareille !

Constate le capitaine. Le sergent Interloqué

  • Ce n’est pas Louis morbilleux l’assassin de John Hiller ?

Stupéfait le Sergent continu

  • Non, et ce n’est pas possible !

Confirme le capitaine

  • Pourquoi ?

Interroge le sergent décontenancé

  • Parce qu’il était sous ce foutu madrier, quand la victime s’est fait tuer !

Explose le capitaine

  • Mais c’est Le Fouineur, qui était sous le madrier. J’étais présent¨

Le sergent ne comprend plus

  • Précisément !

Il commence une phrase.

  • Je ne comprends pas….

Comme un éclair traversant son esprit…. Il ne peut y croire de sa voix grave

  • ...non ! ...non ! ...Non… ! NON… !

Le capitaine lui confirme

  • Et oui ! Le Fouineur et Louis Morbilleux c’est la même personne !

Stupéfait le sergent interroge

  • Mais alors ! qui a tué John Hiller ?

La réponse ne se pas attendre

  • Là est la question !

Le pauvre sergent Rouliaux essaie une défense

  • L’ADN sur les vêtements de la victime est de la famille de  Morbilleux. Mais qui ?

Le capitaine persifle

  • Le petit-fils était arrêté au moment du crime, et le fils était dans son épicerie à Mozé-sur-Louet. L’ADN correspond à un homme certainement de la famille. Mais qui ! trouvez-moi ce type !
  • Bien mon capitaine

À ce moment devenu critique, quelqu’un frappe à la porte du bureau

  • Entré !

Ordonne sèchement le capitaine.

  • Mon capitaine, voici le dossier des Trois Renards.

En voyant l’épaisseur du rapport, il fronce les sourcils et l’arcade sourcilière se lève en même temps, son tic nerveux habituel lorsqu’il est surpris. Impatient il intime l’ordre :

  • Faites-moi un résumé du dossier
  • Bien mon capitaine.

Ce malheureux Tablature, se racles la gorge, avant de s’exécute avec application.

  • En faites le souterrain est unique. Il a trois ramifications.
    • Une pour la maison dit « de cousin ».
    • La seconde la plus longue nous a menées au manoir en ruine.
    •    Quant à la troisième, elle débouche sur une salle …

Le capitaine impatient

  • Accouchez Tablature !

Connaissant les colères du capitaine, il s’élance courageusement

  • C’est extraordinaire. C’est un amas d’objets fabuleux. En voyant la salle, j’ai cru trouver le trésor d’Ali Baba ! des tableaux, des chandeliers, des candélabres, de la vaisselle en argent, en or, en grès ! Il y avait même des meubles dignes d’un antiquaire. Certains ont dû être vendu Il reste des traces de leur emplacement !

Il s’arrête quelque seconde pour respirer. Le capitaine lève les yeux au ciel. Le brigadier reprend

  • Mon équipe et moi, nous avons fait l’inventaire. Certains ont l’inscription des noms des anciens du village des années de l’occupation ! Ces personnes n’ont pu les réclamer, puisque, ils ne sont pas revenus de la déportation. Seulement des frères et des sœurs auraient pu les réclamer. Actuellement, il ne reste que trois membres de ces familles.

Mais comment le savait vous ?

Interroge le capitaine

  • Je suis né dans le village. Il ne reste que peu d’habitants ayant connus cette période. Ils sont cinq. Ils peuvent témoigner de ce qui s’est passé dans ces année-là.

Après hésitation il ajoute

  • Certains noms d’anciens de Mozé sont gravés sur quelques un des objets classés et entassés.

Le capitaine s’est calmé, et résume :

  • En clair, nous avons les preuves du trafic de ce loulou. Mais pas des crimes de sang commis dans cette propriété.

Cette fois le brigadier prend courage

  • Désolé mon capitaine, je ne suis pas affecté sur l’enquête de ces vieux squelettes. Ils ont été envoyés d’abord à Angers, puis sur Paris dans une section spécialisée.

Conciliant le capitaine répond

  • Bon ! bon !

Se tournant vers le sergent

  • Alors cela va mettre du temps.

Dit-il en haussant les épaules, et il continue désabusé.

  • Ce pauvre Le Floch, va devoir attendre encore pour sa dernière demeure. Quant à la famille Werner, elle devra attendre également, pour emmener les restes de leur père de cet officier, en Allemagne.

Le capitaine blaireau suivant son idée pose la question ?

  • Avez-vous fait des recherches sur la vie amoureuse de ce Louis Morbilleux ?
  • Oui, mon capitaine

Répond Tablature

  • Alors ?

Interroge impatient le capitaine Blaireau

  • Nous recherchons mademoiselle germaine Javaux. Une parisienne venue se cacher dans le village, elle était recherchée par la Gestapo. D’après les témoignages, elle avait une petite fille en arrivant. En mille neuf cent quarante-quatre elle a eu un petit garçon. Mais à sa naissance, Madame Javaux a disparu quelques jours avec le petit. Lorsqu’elle est revenue, elle était seule. Elle a été accusée d’infanticide par Louis Morbilleux milicien, membre des chemises noires. Elle a fait partie du dernier convoi vers l’Allemagne. Tout au moins, ce sont les souvenirs des anciens du village.

Le capitaine commence à s’impatienter

  • Quelles sont les actions maintenant Rouliaux ?
  • Nous vérifions les informations, et recherchons les enfants Javaux, si toutefois ils sont toujours vivants

Le capitaine se calme

  • Bien ! il se pourrait-être une nouvelle piste

Dit rageusement le capitaine. Le sergent et le brigadier salut et sortent du bureau.

L’heure de la réunion franco américaine est arrivée. Chacun s’installe dans la salle de réunion climatisée.

Le débat est animé. Chacun à une réponse différente cependant complémentaire, tout semble simple à première vue. Mais il y a un hic qui a tué John Hiller et Louis Morbilleux ? Ils sont d’accord, c’est le même tueur. Mais qui et pourquoi ? Qui en est le ou la mandataire ? À cette dernière question, chacun à une idée, mais personne ne la soumet.

Pendant toutes ces discussions à la gendarmerie, le Lieutenant Catherine est resté près d’Inès. Elle est parvenue à remonter à l’adresse IP du Phishing. Elle prend contact avec ses collègues et amis d’Interpol spécialisé sur les internautes de New-York.

L’adresse est localisée dans un Cyber-café clandestin ! Ses amis lui ont promis de l’appeler dès qu’ils arrêteront le, la ou les délinquants. Elle leur fait confiance, car ce n’est pas la première fois qu’ils collaborent.

Philippe est heureux. Inès est en sécurité avec cette femme lieutenant. Il vient lui rendre compte de ce qu’il a établi pour la mise en conformité de son héritage vis-à-vis de la fiscalité avec Maître Rondineau. La demande au ministère de reconnaître ce lieu historique, avec la protection que cela inclus pour la restauration de cette propriété. Pourtant, il s’interroge sur l’avenir.

  • Inès que comptez-vous faire de cette propriété ?

Elle lui répond sans détour

  • Je prévois la restauration des maisons, et de leurs dépendances, également les stèles et la fosse commune. Et aussi la consolidation des ruines, pour qu’il n’y est pas d’accident. Et Puis mettre en avant, ces histoires criminelles de cette dernière guerre.
  • Et la maison de cousin

S’inquiète Philippe.

  • Elle sera le bureau d’accueil, la pièce où nous, nous restaurons actuellement deviendra un restaurant. Le rez de chaussé est réservé aux touristes, le premier étage au personnel. Bureau, vestiaire etc…

Philippe est surpris. Il pensait qu’elle vendrait la propriété.

  • Comment allez-vous la rentabiliser, les touristes c’est bien, mais ce ne sera pas suffisant.

Elle explique dans les grandes lignes son idée.

  • En créant un parc d’attraction et de spectacle sur la chouannerie d’ici et l’histoire de la Vendée.

En entendant le projet d’Inès sa curiosité et l’intérêt qu’elle lui porte

  • Vous resterez ici alors,

Demande Catherine joyeuse.

  • Non, je viendrai surveiller les travaux et prendre quelques jours de repos. Ce sera mon jardin secret.

Après hésitation

  • Mon atelier de peinture me manque. Mes pinceaux, je ne les ai pas amenés. Je pensais ne faire qu’un aller-retour. Depuis je suis bloquée avec cette affaire qui n’en finit pas.
  • Quel style de peinture faites-vous ?

Lui demande Catherine intéressée

  • Du classique à la gouache et à l’aquarelle lorsque je me déplace.

Le lieutenant ordonne

  • Martine, allez chez ma cousine Françoise, elle vous donnera un paquet, et vous l’amenez à Mademoiselle.
  • Bien lieutenant

Répond Martine. Catherine se saisi de son portable, elle explique le problème à sa cousine. Une heure plus tard, Martine est de retour.

  • Combien je vous dois ?
  • Cent cinquante Euros Mademoiselle.

Inès établi le chèque au nom de Mireille Deborah. Martine retourne chez cette fameuse Mireille.

Le temps leur semble long à tous. Chacun pour des raisons différentes, seulement le résultat est le même. Ils n’ont pas les dernières nouvelles de la caserne.

Pour tuer le temps, Inès se met à la peinture. Au premier tracé, elle a la sensation de revivre. Et puis elle a reçu des nouvelles de Claire, qui a fâché Inès. Claire a cru, qu’Inès faisait des portraits pornos ! Il a fallu que Catherine intervienne en tant que gendarme. Pourquoi, voulez-t-on les séparé de cette manière aussi ignominieuse ? Catherine l’interroge.

  • Avez-vous quelqu’un de jaloux dans votre entourage à toutes les deux ?

Le dialogue entre amies s’installe

  • Seulement son ex
  • Il a quelle profession ?
  • C’est un peintre comme moi, mais lui, il n’enseigne pas.
  • Il expose ?
  • Moins que moi.
  • Vous aurait-t-il fait la cour ?
  • Mais je l’ai renvoyé sur les roses, en lui rappelant qu’il est fiancé à mon amie.
  • Vous ne pensez pas qu’il soit responsable de tout ce gâchis ?
  • Et vous qu’en pensez-vous ?
  • Vous êtes devenu riche, vous êtes belle. Je vous retourne la question.
  • André n’oserez pas tout de même !
  • On tue pour moins que ça !
  • Donnez-moi son nom et son adresse
  • André Faustin 15 rue Montmartre Paris dix-huitième

Le lieutenant prend son portable professionnel

  • Passez-moi le commissaire Lecoq

Celui-ci répond étonner de cet appel

  • Commissaire Lecoq, vous connaissez André Faustin ?
  • Oui, c’est un toxicomane assez violent.

La surprise passée

  • Pourquoi me posez-vous cette question Lieutenant ?

Catherine explique ce qui se passe au niveau de l’amie d’Inès à propos de Claire ainsi que les problèmes que cause cet individu.

  • Il y a des empreintes et un cheveu d’un individu inconnu dans le dossier des pièces à convictions
  • Attendez, je vérifie

Au bout d’un temps, qui lui parait long, le commissaire Lecoq rappelle

  • Oui c’est exact, ils sont bien dans les pièces à conviction.

Catherine le relance

  • Vous voulez bien vérifier immédiatement dans le fichier des identités
  • Oui de suite. Je te rappelle dès que possible

Catherine dit en réfléchissant

  • C’est peut-être la piste inattendue.

Catherine doit attendre, et assuré la sécurité des jeunes gens. Elle est responsable des hommes et des femmes venus assuré la sécurité des jeunes gens. Elle dirige sa mission depuis la chambre d’Inès. Le calme revient.

Inès dessine avec ses aquarelles un lapin angora blanc aux reflets bleus, dans de grandes herbes en verts tendres dégradés. La paix est descendue en elle.

Le soir venu, Philippe et Alain arrive ; C’est l’heure du repas. Ils ont décidé de prendre leur repas ensemble dans la chambre d’Inès. Catherine les accompagne ainsi que Martine. Malgré la situation, tous sont dans la joie. S’il n’y avait pas les uniformes, on pourrait croire à une réunion d’amis. La chambre d’Inès étant côté jardin, les rideaux restent ouverts. La fraicheur du soir est la bienvenue. Les chambres des garçons, sont côtés rue, et donne au sud. Les rideaux et double-rideaux sont toujours fermés. La cause est due au soleil brulant, mais également, à ces journalistes à l’affût d’un scoop possible ! Les jeunes gens sont les vedettes du canton !

 

 

Le capitaine s’élance. Il résume fièrement l’affaire.

  • En premier le plus âgé.

Il est à l’origine de tous vos problèmes, ce Monsieur Louis Morbilleux. Même s’il n’a pas commandité les crimes actuels. Il a néanmoins tué l’officier allemand et ce pauvre Le Floch, un témoin gênant. Madame Carlin, n’a pas tuée, Elle a cependant commandité la mort de John Hiller. Enfin le frère de Madame Carlin, Joshua Javaux est arrêté pour le crime de John Hiller commandité psychologiquement par sa sœur. Ainsi que La tentative d’agression sur la personne Mademoiselle Inès Caillé. L’agresseur est sous l’influence et la pression de la sœur

  • Incroyable !

Lance Philippe. Il se reprend et déduit

  • Vous avez reconstitué toute l’affaire ! avec sa complexité. Je pense que mon père m’accompagnera avec sa collaboratrice au procès. Tant à Paris, qu’à Angers, et aux États Unis.
  • Je crains effectivement que ce soit nécessaire.

Conseille le brave capitaine

  • Waouh ! excusez-moi. Mais cette affaire est si énorme ?

Éclate stupéfait Philippe en confidence

  • Vous recevrez un double du dossier à vos bureaux parisiens.
  • Merci, mon capitaine.

Sourire de contentement du capitaine. Philippe fait part de son inquiétude.

  • Comment vais-je aborder Mademoiselle Inès, pour lui présenter l’affaire sans l’effrayer ?
  • Elle en a probablement une idée. Parmi nous elle se sent en sécurité, et elle est perspicace.

Le rassure paternellement le capitaine.

  • Il lui faudra trouver des remplaçants pour ces cadres supérieurs. Sa formation professionnelle ne l’a pas préparée à toutes ces nouvelles responsabilités. Il lui faudra intégrer sa nouvelle personnalité, malgré elle.

Réalise Philippe. Le capitaine demande

- Puis-je me permettre ?

Philippe acquiesce de la tête et la main droite.

  • Tous ces amis l’aideront, j’en suis certains. Tenez par exemple, Le lieutenant Couperin pourrait voir avec ses amis de New-York pour Mademoiselle. Elle pourrait s’appuyer sur leurs expériences et leurs réseaux d’amis. Ils l’aideront à trouver un directeur de sécurité de confiance. Elle travaille souvent avec d’Interpol et la C.I.A.
  • Oui vous avez raison mon capitaine.

Le capitaine continue sur la même lancée.

  • Ne vous laissez pas abattre, Mademoiselle Inès est plus forte que vous ne le pensez. Ah ! si ma fille…avait les qualités de Mademoiselle…

Le capitaine Blaireau pensif, se perd en conjoncture, et il suspend sa phrase quelques instants. Sa phrase en définitive, ne sera pas terminée.

  • Mon capitaine ?

Rappelle Philippe.

  • Oui je comprends votre impatience jeune homme. Le Sergent vous donnera un double du dossier personnellement avant de sortir. Ainsi vous pourrez l’étudier, avant votre père. Il sera porté par courrier interne à Paris, on ne peut se permettre d’envoyer par mail, risque de détournement, et la Poste il est trop lourd, et trop long. Dans l’immédiat, je vous trace les grandes lignes de votre affaire.

Au tout début, vous aviez trouvé les squelettes du colonel allemand Werner Heinrich et de Paul Le Floch dit Paulo en position curieuse. Paulo est un ancien résistant. La position de leur squelette, pouvait faire croire, qu’ils s’étaient embrochés au cours d’un combat. En fait c’est une mise en scène, comme me l’avait suggéré votre ami Lépervier. Après analyse, ils ne sont pas morts la même année. Le criminel est en réalité un militant des chemises noires et milicien fasciste Louis Morbilleux.

Puis votre ami Alain Lépervier à découvert le corps de Nadine Carreau. Elle avait fugué. Elle se cachait, pour ne pas retourner chez ses parents. La cause ? Le viol par son père sur sa copine, en plus d’elle-même. Elle avait peur d’affronter les démarches à faire, la honte. En conclusion, c’est une forme de suicide.

Plus tard, c’est la découverte du vandalisme de l’appartement de Mademoiselle. Morbilleux Arsène, est arrêté pour le vol de photos compromettantes et d’un collier. Cet acte a été commandité par Antoine Morbilleux épicier à Mozé sur Louet. Il est le fils de sieur Louis Morbilleux.

Malheureusement, cela ne s’est pas arrêté là. Il y a eu les corps de la fosse commune. C’était les serviteurs de la famille caillé, Ils ont été tués au sabre. Les deux stèles sur le côté, sont les tombes de Catherine Caillé et son amant Valentin Grosbois Maréchal-ferrant à Chemillé. Ils sont décédés tous les deux vers mille sept cent trente. - Sous la statue, a été découvert les restes de Jean Hottereau fusillé le 17 août 1794. Il a mené les vendéens du canton à la révolte. C’était un ami, de la famille Caillé. Les habitants du village l’on enterré discrètement là où il a été trouvé, grâce à votre ami Alain.

Nous arrivons à notre époque avec l’assassinat de John Hiller et l’agression de Mademoiselle par Joshua Javaux.

Votre ami Alain nous a beaucoup aidés dans cette affaire. Cet individu est le Petit Fils adultérin de Louis Morbilleux et de Germaine Javaux, sa maîtresse. C’est une histoire triste et écœurante. Germaine Javaux, est en réalité Rachelle Norski. Elle était à la fois juive et résistante, elle espionnait le chef des chemises noires et miliciens.

Rachelle à cacher leur fils Leoni à Bordeaux. Dans la famille qui lui a permis de mettre au monde son enfant. À son retour, Rachelle est arrêtée. Lorsque ce louis Morbilleux à découvert le pot aux roses, il l’a dénoncée Germaine à la Gestapo en tant que juive et accusé sans preuve réelle d’avoir assassiné son propre enfant !

La famille qui a recueilli le petit Leone, l’on déclaré à la mairie sous le nom de Léon Javeau. Léon Javaux s’est marié et a eu deux enfants la fille aînée Javeau Julia veuve de l’américain Carlin Falcone. Ils ont élevé le petit frère Joshua Javaux. Julia voulant venger sa grand-mère, lui a fait croire qu’ils sont les héritiers de la maison de Mozé-sur-Louet, et de la fortune de Monsieur Pierre Caillé. Monsieur Pierre Caillé ne s’est jamais marié. Elle est sa directrice commerciale. Elle est également accessoirement sa maîtresse. Seulement, Pierre Caillé a diligenté John Hiller pour enquêter sur la famille Javeaux, avant de faire son testament. À la mort de Pierre Caillé, John Hiller est venu en France pour aller chez Mademoiselle. Il voulait lui faire part des doutes sur la mort de Monsieur Pierre Caillé, et la prévenir du danger qu’elle encourait. Il voulait lui offrir ses services. Mais il était trop tard. Joshua Javeau c’était fait ami avec Arsène Morbilleux. Lorsque Joshua, a vu John Hiller dans les escaliers, il a attendu qu’Arsène soit sorti du bâtiment. Joshua, est entré dans la cage d’escalier. Tendu un piège à la sortie de l’appartement. En juillet beaucoup des habitants sont en vacances. Il agresse John Hiller, qui se défend. Il meurt de ses blessures dans la chaufferie. Il devait être sans connaissance, il a traîné et caché le corps du pauvre Hiller. Le directeur de sécurité avait raison malheureusement pour la sécurité de Mademoiselle. Nous avons retrouvé ce que cherchait Madame Carlin, lors de son arrestation. À la perquisition, la clé-USB contenant le dossier Caillé/Javeau était caché dans la lampe de chevet dans sa chambre d'hôtel.

Grâce au lieutenant Couperin et ses amis d’Interpol spécialisé sur les réseaux sociaux, l’enquête a pu être rondement mené.

  • Comment avez-vous découvert que Louis Morbilleux et Le Fouineur André était la même personne ?
  • Avant d’être à la société des Journalistes indépendants. Nous n’avons trouvé aucune trace de Le Fouineur. C’était comme s’il n’avait jamais exister. Les pièces d’identités de ce monsieur se sont révélées fausses. Étant donné du lieu, où nous l’avons tiré, (je pense à la salle ou été entreposé son butin) nous avons ré-ouvert le dossier Morbilleux des années de l’après-guerre. Il contenait, les exactions de ce criminel de guerre et ses trahisons. Cela nous a permis d’avoir les empreintes digitales dans le fichier de la milice. La comparaison est sans appel. l’ADN des petits-enfants, et celui de Monsieur Morbilleux Louis concorde.

Philippe résume ainsi.

  • Mademoiselle Inès après avoir subi la perte de ses parents, elle a un héritage énorme qui a susciter un crime et contribuer à solutionner les crimes du passé.
  • Vous avez parfaitement résumé les faits.

Répond le capitaine souriant. Il fait venir Alain

- Messieurs, nous vous remercions pour votre participation éclairée. Elle a permis de boucler notre enquête rapidement.

-- Nous n’avons fait que notre devoir

Répond Alain.

En sortant de la gendarmerie, Philippe annonce.

  • Allons chercher Inès, je lui aie promis de l’emmener au restaurant dans le centre de Cholet pour fêter la fin de l’enquête. J’espère que tu seras avec nous.

En réponse à l’invitation

  • Nous rentrons directement alors, car j’ai le cadeau promis pour Inès

Surprise joyeuse de Philippe

  • Non ! ce n’est pas vrai ? tu as fini ?
  • Oui

Répond Alain.

  • Et alors

Demande Philippe

  • Vilain curieux lui

Rétorque Alain en riant

  • Vous attendrez. Mademoiselle Inès doit être la première au courant. Je prends son dossier dans ma chambre.

Ils arrivent à l’hôtel, quel bonheur, plus de policiers, plus de journalistes, une clientèle parsemée, quel soulagement. Les journalistes sont à la gendarmerie et la plupart à Angers, ils ont suivi, les voitures transportant les coupables. Ils rentrent à l’hôtel par la porte normale. Quelle tranquillité, de ne plus se sentir espionné. Ils montent quatre à quatre les marches. Philippe frappe à la porte d’Inès. Tous le deux tombent dans les bras de l’un de l’autre. Catherine les attendait. Philippe est aussi impatient qu’Inès, alors il va dans la chambre d’Alain

  • nous ne pouvons pas attendre plus longtemps. Tu vas nous faire ton rapport, ici, comme çà si, elle a un malaise nous serons deux.

Alain légèrement soupçonneux et taquin

  • Ne seriez-vous pas jaloux par hasard ?
  • Vous voulez rire j’espère.

Les jeunes gens éclatent de rire. Bonsoir monsieur, Nous vous attendions, pour vous dire au revoir. J’espère vous revoir dans d’autres circonstances.

  • Attendez ! avant de partir, notre ami a quelque chose à nous dévoiler.

On frappe à la porte, Philippe s’empresse d’ouvrir. Alain entre avec son dossier. Sur ce dossier il y a les armoiries de : Les Trois Renards. Voyant la chemise-classeur, Inès bondit de bonheur, comme une petite fille à qui l’on a promis une friandise.

  • Vous avez terminé mon arbre généalogique ?
  • Oui, votre Seigneurie

Répond malicieusement, en lui faisant la révérence

  • Que me dites-vous là ?

Dit-elle en riant

  • Mademoiselle Inès, vous êtes la descendante directe de Bertrand Caillé de Les Trois Renards. Avec vous, la légende s’accomplit et la malédiction est levée.
  • Cela se fête au champagne mes amis.

À l’hôtel Philippe et Inès annoncent

  • Ce soir champagne à tout le monde, les criminels sont arrêtés, et nous nous fiançons. Lundi prochain, premier août les travaux du futur parc d’attraction de la Vendée commenceront.

Seul deux journalistes sont restés et ils participent à la fête. Ils tiennent un scoop, alors qu’ils voulaient se reposer. !

L’heure de la réunion franco américaine est arrivée. Chacun s’installe dans la salle de réunion climatisée.

Le débat est animé. Chacun à une réponse différente cependant complémentaire, tout semble simple à première vue. Mais il y a un hic qui a tué John Hiller et Louis Morbilleux ? Ils sont d’accord, c’est le même tueur. Mais qui et pourquoi ? Qui en est le ou la mandataire ? À cette dernière question, chacun à une idée, mais personne ne la soumet.

L’adresse est localisée dans un Cyber-café clandestin ! Ses amis lui ont promis de l’appeler dès qu’ils arrêteront le, la ou les délinquants. Elle leur fait confiance, car ce n’est pas la première fois qu’ils collaborent.

Philippe est heureux. Inès est en sécurité avec cette femme lieutenant. Il vient lui rendre compte de ce qu’il a établi pour la mise en conformité de son héritage vis-à-vis de la fiscalité avec Maître Rondineau. La demande au ministère de reconnaître ce lieu historique, avec la protection que cela inclus pour la restauration de cette propriété. Pourtant, il s’interroge sur l’avenir.

  • Inès que comptez-vous faire de cette propriété ?

Elle lui répond sans détour

  • Je prévois la restauration des maisons, et de leurs dépendances, également les stèles et la fosse commune. Et aussi la consolidation des ruines, pour qu’il n’y est pas d’accident. Et Puis mettre en avant, ces histoires criminelles de cette dernière guerre.
  • Et la maison de cousin

S’inquiète Philippe.

  • Elle sera le bureau d’accueil, la pièce où nous, nous restaurons actuellement deviendra un restaurant. Le rez de chaussé est réservé aux touristes, le premier étage au personnel. Bureau, vestiaire etc…

Philippe est surpris. Il pensait qu’elle allait vendre la propriété.

  • Comment allez-vous la rentabiliser, les touristes c’est bien, mais ce ne sera pas suffisant.

Elle explique dans les grandes lignes son idée.

  • En créant un parc d’attraction et de spectacle sur la chouannerie d’ici et l’histoire de la Vendée.

En entendant le projet d’Inès sa curiosité et l’intérêt qu’elle lui porte

  • Vous resterez ici alors,

demande Catherine joyeuse.

  • Non, je viendrai surveiller les travaux et prendre quelques jours de repos. Ce sera mon jardin secret.

Après hésitation

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