14 Décembre 2018
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L’Imbroglio
Le capitaine Blaireau est dans tous ses états. Il tient dans ses mains des documents le laissant sans voix en premier temps. Il semble vouloir se contenir. Néanmoins, il parvient à contenir son explosion, cependant il lâche :
Dit-il. Son sergent Rouliaux entre avec d’autres documents qu’il donne au capitaine. C’est tout juste s’il ne s’étrangle.
Répond le sergent tout de go sans réfléchir. Le capitaine toujours dans ses pensées ne relève même pas l’impertinence.
S’interroge tout haut le capitaine
Continue sur la même lancée son sergent
Constate le capitaine. Le sergent Interloqué
Stupéfait le Sergent continu
Confirme le capitaine
Interroge le sergent décontenancé
Explose le capitaine
Le sergent ne comprend plus
Il commence une phrase.
Comme un éclair traversant son esprit…. Il ne peut y croire de sa voix grave
Le capitaine lui confirme
Stupéfait le sergent interroge
La réponse ne se pas attendre
Le pauvre sergent Rouliaux essaie une défense
Le capitaine persifle
À ce moment devenu critique, quelqu’un frappe à la porte du bureau
Ordonne sèchement le capitaine.
En voyant l’épaisseur du rapport, il fronce les sourcils et l’arcade sourcilière se lève en même temps, son tic nerveux habituel lorsqu’il est surpris. Impatient il intime l’ordre :
Ce malheureux Tablature, se racles la gorge, avant de s’exécute avec application.
Le capitaine impatient
Connaissant les colères du capitaine, il s’élance courageusement
Il s’arrête quelque seconde pour respirer. Le capitaine lève les yeux au ciel. Le brigadier reprend
Mais comment le savait vous ?
Interroge le capitaine
Après hésitation il ajoute
Le capitaine s’est calmé, et résume :
Cette fois le brigadier prend courage
Conciliant le capitaine répond
Se tournant vers le sergent
Dit-il en haussant les épaules, et il continue désabusé.
Le capitaine blaireau suivant son idée pose la question ?
Répond Tablature
Interroge impatient le capitaine Blaireau
Le capitaine commence à s’impatienter
Le capitaine se calme
Dit rageusement le capitaine. Le sergent et le brigadier salut et sortent du bureau.
L’heure de la réunion franco américaine est arrivée. Chacun s’installe dans la salle de réunion climatisée.
Le débat est animé. Chacun à une réponse différente cependant complémentaire, tout semble simple à première vue. Mais il y a un hic qui a tué John Hiller et Louis Morbilleux ? Ils sont d’accord, c’est le même tueur. Mais qui et pourquoi ? Qui en est le ou la mandataire ? À cette dernière question, chacun à une idée, mais personne ne la soumet.
Pendant toutes ces discussions à la gendarmerie, le Lieutenant Catherine est resté près d’Inès. Elle est parvenue à remonter à l’adresse IP du Phishing. Elle prend contact avec ses collègues et amis d’Interpol spécialisé sur les internautes de New-York.
L’adresse est localisée dans un Cyber-café clandestin ! Ses amis lui ont promis de l’appeler dès qu’ils arrêteront le, la ou les délinquants. Elle leur fait confiance, car ce n’est pas la première fois qu’ils collaborent.
Philippe est heureux. Inès est en sécurité avec cette femme lieutenant. Il vient lui rendre compte de ce qu’il a établi pour la mise en conformité de son héritage vis-à-vis de la fiscalité avec Maître Rondineau. La demande au ministère de reconnaître ce lieu historique, avec la protection que cela inclus pour la restauration de cette propriété. Pourtant, il s’interroge sur l’avenir.
Elle lui répond sans détour
S’inquiète Philippe.
Philippe est surpris. Il pensait qu’elle vendrait la propriété.
Elle explique dans les grandes lignes son idée.
En entendant le projet d’Inès sa curiosité et l’intérêt qu’elle lui porte
Demande Catherine joyeuse.
Après hésitation
Lui demande Catherine intéressée
Le lieutenant ordonne
Répond Martine. Catherine se saisi de son portable, elle explique le problème à sa cousine. Une heure plus tard, Martine est de retour.
Inès établi le chèque au nom de Mireille Deborah. Martine retourne chez cette fameuse Mireille.
Le temps leur semble long à tous. Chacun pour des raisons différentes, seulement le résultat est le même. Ils n’ont pas les dernières nouvelles de la caserne.
Pour tuer le temps, Inès se met à la peinture. Au premier tracé, elle a la sensation de revivre. Et puis elle a reçu des nouvelles de Claire, qui a fâché Inès. Claire a cru, qu’Inès faisait des portraits pornos ! Il a fallu que Catherine intervienne en tant que gendarme. Pourquoi, voulez-t-on les séparé de cette manière aussi ignominieuse ? Catherine l’interroge.
Le dialogue entre amies s’installe
Le lieutenant prend son portable professionnel
Celui-ci répond étonner de cet appel
La surprise passée
Catherine explique ce qui se passe au niveau de l’amie d’Inès à propos de Claire ainsi que les problèmes que cause cet individu.
Au bout d’un temps, qui lui parait long, le commissaire Lecoq rappelle
Catherine le relance
Catherine dit en réfléchissant
Catherine doit attendre, et assuré la sécurité des jeunes gens. Elle est responsable des hommes et des femmes venus assuré la sécurité des jeunes gens. Elle dirige sa mission depuis la chambre d’Inès. Le calme revient.
Inès dessine avec ses aquarelles un lapin angora blanc aux reflets bleus, dans de grandes herbes en verts tendres dégradés. La paix est descendue en elle.
Le soir venu, Philippe et Alain arrive ; C’est l’heure du repas. Ils ont décidé de prendre leur repas ensemble dans la chambre d’Inès. Catherine les accompagne ainsi que Martine. Malgré la situation, tous sont dans la joie. S’il n’y avait pas les uniformes, on pourrait croire à une réunion d’amis. La chambre d’Inès étant côté jardin, les rideaux restent ouverts. La fraicheur du soir est la bienvenue. Les chambres des garçons, sont côtés rue, et donne au sud. Les rideaux et double-rideaux sont toujours fermés. La cause est due au soleil brulant, mais également, à ces journalistes à l’affût d’un scoop possible ! Les jeunes gens sont les vedettes du canton !
Le capitaine s’élance. Il résume fièrement l’affaire.
Il est à l’origine de tous vos problèmes, ce Monsieur Louis Morbilleux. Même s’il n’a pas commandité les crimes actuels. Il a néanmoins tué l’officier allemand et ce pauvre Le Floch, un témoin gênant. Madame Carlin, n’a pas tuée, Elle a cependant commandité la mort de John Hiller. Enfin le frère de Madame Carlin, Joshua Javaux est arrêté pour le crime de John Hiller commandité psychologiquement par sa sœur. Ainsi que La tentative d’agression sur la personne Mademoiselle Inès Caillé. L’agresseur est sous l’influence et la pression de la sœur
Lance Philippe. Il se reprend et déduit
Conseille le brave capitaine
Éclate stupéfait Philippe en confidence
Sourire de contentement du capitaine. Philippe fait part de son inquiétude.
Le rassure paternellement le capitaine.
Réalise Philippe. Le capitaine demande
- Puis-je me permettre ?
Philippe acquiesce de la tête et la main droite.
Le capitaine continue sur la même lancée.
Le capitaine Blaireau pensif, se perd en conjoncture, et il suspend sa phrase quelques instants. Sa phrase en définitive, ne sera pas terminée.
Rappelle Philippe.
Au tout début, vous aviez trouvé les squelettes du colonel allemand Werner Heinrich et de Paul Le Floch dit Paulo en position curieuse. Paulo est un ancien résistant. La position de leur squelette, pouvait faire croire, qu’ils s’étaient embrochés au cours d’un combat. En fait c’est une mise en scène, comme me l’avait suggéré votre ami Lépervier. Après analyse, ils ne sont pas morts la même année. Le criminel est en réalité un militant des chemises noires et milicien fasciste Louis Morbilleux.
Puis votre ami Alain Lépervier à découvert le corps de Nadine Carreau. Elle avait fugué. Elle se cachait, pour ne pas retourner chez ses parents. La cause ? Le viol par son père sur sa copine, en plus d’elle-même. Elle avait peur d’affronter les démarches à faire, la honte. En conclusion, c’est une forme de suicide.
Plus tard, c’est la découverte du vandalisme de l’appartement de Mademoiselle. Morbilleux Arsène, est arrêté pour le vol de photos compromettantes et d’un collier. Cet acte a été commandité par Antoine Morbilleux épicier à Mozé sur Louet. Il est le fils de sieur Louis Morbilleux.
Malheureusement, cela ne s’est pas arrêté là. Il y a eu les corps de la fosse commune. C’était les serviteurs de la famille caillé, Ils ont été tués au sabre. Les deux stèles sur le côté, sont les tombes de Catherine Caillé et son amant Valentin Grosbois Maréchal-ferrant à Chemillé. Ils sont décédés tous les deux vers mille sept cent trente. - Sous la statue, a été découvert les restes de Jean Hottereau fusillé le 17 août 1794. Il a mené les vendéens du canton à la révolte. C’était un ami, de la famille Caillé. Les habitants du village l’on enterré discrètement là où il a été trouvé, grâce à votre ami Alain.
Nous arrivons à notre époque avec l’assassinat de John Hiller et l’agression de Mademoiselle par Joshua Javaux.
Votre ami Alain nous a beaucoup aidés dans cette affaire. Cet individu est le Petit Fils adultérin de Louis Morbilleux et de Germaine Javaux, sa maîtresse. C’est une histoire triste et écœurante. Germaine Javaux, est en réalité Rachelle Norski. Elle était à la fois juive et résistante, elle espionnait le chef des chemises noires et miliciens.
Rachelle à cacher leur fils Leoni à Bordeaux. Dans la famille qui lui a permis de mettre au monde son enfant. À son retour, Rachelle est arrêtée. Lorsque ce louis Morbilleux à découvert le pot aux roses, il l’a dénoncée Germaine à la Gestapo en tant que juive et accusé sans preuve réelle d’avoir assassiné son propre enfant !
La famille qui a recueilli le petit Leone, l’on déclaré à la mairie sous le nom de Léon Javeau. Léon Javaux s’est marié et a eu deux enfants la fille aînée Javeau Julia veuve de l’américain Carlin Falcone. Ils ont élevé le petit frère Joshua Javaux. Julia voulant venger sa grand-mère, lui a fait croire qu’ils sont les héritiers de la maison de Mozé-sur-Louet, et de la fortune de Monsieur Pierre Caillé. Monsieur Pierre Caillé ne s’est jamais marié. Elle est sa directrice commerciale. Elle est également accessoirement sa maîtresse. Seulement, Pierre Caillé a diligenté John Hiller pour enquêter sur la famille Javeaux, avant de faire son testament. À la mort de Pierre Caillé, John Hiller est venu en France pour aller chez Mademoiselle. Il voulait lui faire part des doutes sur la mort de Monsieur Pierre Caillé, et la prévenir du danger qu’elle encourait. Il voulait lui offrir ses services. Mais il était trop tard. Joshua Javeau c’était fait ami avec Arsène Morbilleux. Lorsque Joshua, a vu John Hiller dans les escaliers, il a attendu qu’Arsène soit sorti du bâtiment. Joshua, est entré dans la cage d’escalier. Tendu un piège à la sortie de l’appartement. En juillet beaucoup des habitants sont en vacances. Il agresse John Hiller, qui se défend. Il meurt de ses blessures dans la chaufferie. Il devait être sans connaissance, il a traîné et caché le corps du pauvre Hiller. Le directeur de sécurité avait raison malheureusement pour la sécurité de Mademoiselle. Nous avons retrouvé ce que cherchait Madame Carlin, lors de son arrestation. À la perquisition, la clé-USB contenant le dossier Caillé/Javeau était caché dans la lampe de chevet dans sa chambre d'hôtel.
Grâce au lieutenant Couperin et ses amis d’Interpol spécialisé sur les réseaux sociaux, l’enquête a pu être rondement mené.
Philippe résume ainsi.
Répond le capitaine souriant. Il fait venir Alain
- Messieurs, nous vous remercions pour votre participation éclairée. Elle a permis de boucler notre enquête rapidement.
-- Nous n’avons fait que notre devoir
Répond Alain.
En sortant de la gendarmerie, Philippe annonce.
En réponse à l’invitation
Surprise joyeuse de Philippe
Répond Alain.
Demande Philippe
Rétorque Alain en riant
Ils arrivent à l’hôtel, quel bonheur, plus de policiers, plus de journalistes, une clientèle parsemée, quel soulagement. Les journalistes sont à la gendarmerie et la plupart à Angers, ils ont suivi, les voitures transportant les coupables. Ils rentrent à l’hôtel par la porte normale. Quelle tranquillité, de ne plus se sentir espionné. Ils montent quatre à quatre les marches. Philippe frappe à la porte d’Inès. Tous le deux tombent dans les bras de l’un de l’autre. Catherine les attendait. Philippe est aussi impatient qu’Inès, alors il va dans la chambre d’Alain
Alain légèrement soupçonneux et taquin
Les jeunes gens éclatent de rire. Bonsoir monsieur, Nous vous attendions, pour vous dire au revoir. J’espère vous revoir dans d’autres circonstances.
On frappe à la porte, Philippe s’empresse d’ouvrir. Alain entre avec son dossier. Sur ce dossier il y a les armoiries de : Les Trois Renards. Voyant la chemise-classeur, Inès bondit de bonheur, comme une petite fille à qui l’on a promis une friandise.
Répond malicieusement, en lui faisant la révérence
Dit-elle en riant
À l’hôtel Philippe et Inès annoncent
Seul deux journalistes sont restés et ils participent à la fête. Ils tiennent un scoop, alors qu’ils voulaient se reposer. !
L’heure de la réunion franco américaine est arrivée. Chacun s’installe dans la salle de réunion climatisée.
Le débat est animé. Chacun à une réponse différente cependant complémentaire, tout semble simple à première vue. Mais il y a un hic qui a tué John Hiller et Louis Morbilleux ? Ils sont d’accord, c’est le même tueur. Mais qui et pourquoi ? Qui en est le ou la mandataire ? À cette dernière question, chacun à une idée, mais personne ne la soumet.
L’adresse est localisée dans un Cyber-café clandestin ! Ses amis lui ont promis de l’appeler dès qu’ils arrêteront le, la ou les délinquants. Elle leur fait confiance, car ce n’est pas la première fois qu’ils collaborent.
Philippe est heureux. Inès est en sécurité avec cette femme lieutenant. Il vient lui rendre compte de ce qu’il a établi pour la mise en conformité de son héritage vis-à-vis de la fiscalité avec Maître Rondineau. La demande au ministère de reconnaître ce lieu historique, avec la protection que cela inclus pour la restauration de cette propriété. Pourtant, il s’interroge sur l’avenir.
Elle lui répond sans détour
S’inquiète Philippe.
Philippe est surpris. Il pensait qu’elle allait vendre la propriété.
Elle explique dans les grandes lignes son idée.
En entendant le projet d’Inès sa curiosité et l’intérêt qu’elle lui porte
demande Catherine joyeuse.
Après hésitation