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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Sainte et Saints du jour

13 Février
  2 Février
Sainte Catherine de Ricci

Vierge
(1522-1590)

Sainte Catherine de Ricci
Sainte Catherine de Ricci

La vie de cette Sainte est l'une des plus prodigieuses, par les ravissements, les extases, les grâces extraordinaires de tout genre qui la remplissent. Catherine naquit à Florence en 1522.

Dès l'âge de trois ans, on la voyait s'exercer à la prière, rechercher la solitude et le silence pour s'y livrer plus à l'aise, et sa prière était si recueillie, qu'elle y paraissait l'esprit absorbé en Dieu, et comme plongée dans la contemplation de Ses mystères.

La Passion de Jésus-Christ était déjà l'objet des vives ardeurs de son amour, et elle préludait par ses exercices enfantins à cette admirable dévotion envers Jésus crucifié, qui est le caractère le plus éclatant de sa vie.

Elle prit le voile à treize ans, chez les Dominicaines. C'est à l'âge de dix-neuf ans qu'elle reçut cette grâce inouïe de voir changer par Notre-Seigneur son coeur en celui de Marie.

Quelques mois après, elle eut une mémorable extase de la Passion, qui dura vingt-huit heures, et dans laquelle elle assista successivement au détail de toutes les scènes de la Passion du Sauveur, paraissant elle-même, par ses gestes, subir chacun des supplices dont elle était témoin. Ce spectacle devait se renouveler toutes les semaines pendant les douze dernières années de sa vie. On entendait, dans ces extases, la Sainte pousser des exclamations de douleur et d'amour. Quelle impression pour les innombrables témoins de ces merveilles!

Le cachet de la vertu véritable, c'est l'humilité; un seul fait montrera que Catherine était bien conduite par l'esprit de Dieu. Elle avait appris que ses soeurs s'étaient plu à écrire, pour en garder le souvenir, la relation de toutes les grâces et faveurs extraordinaires dont le Ciel l'avait comblée. Elle n'eut point de repos avant d'avoir mis la main sur tous ces écrits. Un jour, pendant que ses soeurs étaient à l'office, elle entra dans leurs cellules, s'empara de tous les manuscrits qu'elle put rencontrer, les mit dans un sac, et, le portant à la soeur boulangère, qui chauffait le four: "Tenez, lui dit-elle, brûlez vite tout ceci, car malheur à nous si on le trouvait dans la maison!"

Sa dernière prière fut le Pater noster. Le couvent retentit alors des chants harmonieux des anges. En différents lieux, de saints personnages eurent la vision d'une magnifique procession de Saints et de Saintes; au bout du cortège, Jésus conduisait en triomphe Sa glorieuse épouse.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Gilbert

évêque de Meaux (✝ v. 1009)

Originaire du Vermandois, il fut d'abord chanoine à Saint Quentin, puis évêque de Meaux. Nous connaissons peu de chose de ses actes épiscopaux, mais nous le voyons souscrire à une charte en faveur de l'abbaye de Saint Denis. Il signe des donations à plusieurs autres abbayes en Ile de France et dans le pays chartrain.Saint Gilbert, évêque de Meaux - ville de Ham 
<- Illustration: "Saint Gilbert, évêque de Meaux, est né à Ham le 30 septembre 950. Chanoine de Saint-Quentin puis archiprêtre de Meaux, il fut nommé évêque de Meaux en 995. Il mourut dans cette ville en 1015 et fut enseveli dans sa cathédrale." (les hamois célèbres - ville de Ham - 80400)
Un internaute nous signale: "Selon Dom Toussaints du Plessis (Histoire de l'église de Meaux, 1731) et Mgr Allou (Chronique des évêques de Meaux, 1875), Gilbert a été nommé évêque en 995, à la mort d'Archanrad qui l'avait nommé archidiacre de son église. Il apposa son sceau sur une charte en faveur de l'abbaye de St Denis (998 puis 1008), sur une charte du roi Robert en faveur de l'abbaye Saint-Pierre de Melun (1005) et partagea les biens de l'église de Meaux entre l'évêque et son chapitre, accédant ainsi à la demande des chanoines (12 mars 1005, confirmée en 1049 par le pape saint Léon IX). Gravement malade, il fit venir à lui ses amis Leotheric, archevêque de Sens, et Fulbert, évêque de Chartres. Il mourut un 13 février 1015 selon Du Plessis, 1009 ou 1010 selon les Bollandistes ou le Propre du diocèse de Meaux. Plusieurs miracles s'opérèrent à son tombeau (il fut inhumé devant le maître autel de sa cathédrale). Ses reliques furent pillées par les Huguenots en 1562."
À Meaux, en 1009, saint Gilbert, évêque, qui donna l'exemple d'une parfaite humilité.

Martyrologe romain

Bienheureux James Alfred Miller

frère des Écoles Chrétiennes martyr au Guatemala (✝ 1982)

James Alfred Miller, frère des Écoles Chrétiennes, né le 21 septembre 1944 à Stevens Point, USA, il fut martyrisé à l’âge de 37 ans, le 13 février 1982 à Huehuetenango, Guatemala.
- décret de reconnaissance de son martyre le 7 novembre 2018, en italien.
En religion Léo William, connu également sous le nom de Santiago. 
- Frère James Miller (site des Lasalliens)
En 1959, il entre chez les frères des écoles chrétiennes (lassaliens) et enseigne à Cretin High School. Après ses vœux perpétuels en 1969, il est envoyé enseigner au Nicaragua. Il construit de nouvelles écoles dans les zones rurales...
En 1979, il rentre aux Etats-Unis à cause du danger de la révolution puis repart en mission en 1981 au Guatemala où il enseigne à Huehuetenango et travaille également dans les zones rurales avec de jeunes indiens mayas, les formant à l'agriculture.
Le 13 février 1982, il est abattu par 3 hommes cagoulés...
Un fonds 'Brother James Miller' contribue à la poursuite de son œuvre envers les pauvres et pour la justice sociale.

Saint Syméon le Myroblite

ermite orthodoxe (✝ 1200)

Originaire du Montenegro qui se trouvait alors sous la dépendance latine,

Etienne Némanja rejoignit la Serbie avec ses parents qui le firent baptiser
dans l'Église orthodoxe.
Gouverneur d'une province, il devint par la suite grand-prince de toute
la Serbie en 1165, qu'il réussit à unifier en un seul royaume devenant
ainsi le fondateur de la dynastie des Némanides qui régna sur le peuple
serbe pendant deux cents ans. 
Lorsqu'il eut affirmé son indépendance vis-à-vis de Constantinople,
il se retira sur la sainte Montagne, sous le nom de Syméon,
où il restaura les ruines du monastère de Chilandar.

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