J’ai espéré un miracle, hélas…
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Vers le bonheur
Me faisant glaneur
Je prie en confiance
Sans défiance
La peur s’en alla
Perdue dans l’Au-delà
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Le chant monte
Le soleil remonte
Le ciel s’ouvre
L’âme se découvre
Devant la magie
Où je me réfugie
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
L’espoir n’est pas vain
Pour l’écrivain
Il a cet effroi
Qui lui fait froid
Le jugement du lecteur
Plus que de l’éditeur
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Comme l’artisan
Il est présent.
En se détournant
Caché par le paravent
De la rue des nues
Au bureau des ingénues
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Espoir de guérison
Sortir de sa prison
Vivre son amour
Sur le banc sans détour
Ce banc n’est pas accusé
Seulement un peu usé
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Le banc d’incertitude
Le doute une habitude
Le cœur en chamade
C’est la promenade
D’un amour en altitude
Des mots en multitude
J’espérais un miracle
Ce fut la débâcle
Alumacom
Une histoire difficile à vivre
Cela est une bien curieuse histoire.
Que ce mets essaie de nous faire croire.
Il met chapeau bas devant la maie.
Les fromages ont cessé désormais,
De plaire allergie oblige en mai.
Mes amis sont tristement désolés
Mon compagnon prêtant tout savoir
Il encense sans vergogne le mausolée,
Pourfendre ses ennemis qu’il croit voir
Flatteur incorrigible bêtement se dévoile.
Son état de santé affaibli son attention,
Son caractère a changé devient coléreux,
Il réagit ne supporte pas sa condition,
Il voudrait redevenir le mari heureux,
Qu’il était, il a perdu ses ambitions.
Dans cet état maladif sa liberté est perdue,
L’état de grâce s’abroge de lui-même.
Son indisponibilité son esprit tordu
Fait de lui un pervers au passé idem,
Il s’est régénéré en voyant sa situation perdue.
Dans un ballon il rêve d’un voyage à Bethléhem.
Alumacom
11 juin 2018.
L’AMOUR UN SIMPLE JOYAU?
L’amour n'est pas un simple joyau
Il extirpe ce sentiment de noyau
D'une cerise juteuse sur le paillot
De ma fenêtre mon arbre est là
Imperturbable dressé tel un prélat
Il me fait face c’est son apostolat.
Face à lui s'efface les chagrins
Au printemps il n’y a qu'un grain
Pour chantonner ce joyeux refrain.
Pourtant j’avoue que quelquefois
Ou plutôt de nombreuses fois
Je remets en cause si souvent ma foi.
Mes joyaux sont multitude de couleur
Parfois je les prends pour des leurres
Leurs éclats ne se font pas pâleurs
La tristesse de certains sentiment
Tant de fois et fabuleusement
Semblable à un enfantement
L’important d’aimer n'est pas paresse
La finalité affective est demanderesse
De l'absolu don d’un amour tendresse
Un jour sera la fête de notre amour
Il sera tendresse avec un certain humour
Sur le tapis rouge une pomme-d' amour.
L’amour n’a pas de mesure conventionnelle
Le temps de l’usure transforme en fraternel
Il reste toujours l'éclat d'un cœur intemporel
A la Saint Valentin la recherche d’un joyau
Sonne les cloches de sentiments loyaux
D’une union dont le futur ne peut-être vieillot
Alumacom
23 mars 2019