Le réveil est venu
Devant ton exploit.
S’évanouir au virage
Renaître à la vie.
Valsent l’amour,
Joie des curieux
Galope au ciel,
L’énigmatique.
Sur la selle de la licorne
Il prend ses ailes.
Câline, sensuelle
Chante la tourterelle.
Éternelle idée,
Le flirt de la rivière.
Blottis à ce désire,
Pour me reconquérir.
Vit pour le retour,
Du septième ciel.
La maison du confiseur
Son toit sera en nougatine décorée
Portes et volets verts en macaron
Les vitres en feuilles de gélatines
Les murs en dragées aux amendes
Les pieds de table en bêtise de cambrai
Le dessus de la table en nougat
Les montants du lit en nougatine
Le matelas en cherry
Les draps de dentelles blanches
En ferait un lit douillé.
La fête sera grande ce jour là
Sans s’enivrer, ni forniquer
J’y donnerai tout mon amour
J’y abolirai tous les détours
Il y aura la lumière du plaisantin
Les rires du pantin
Les dansent des elfes
Les chants des anges
Il n’y aura que de joyeux lurons/
Quand j’aurai trouvé mon âme sœur
Le bonheur sera indélébile
Et cette maison trôner sur la cheminée
A côté de la gondole de Venise
Le lampadaire illuminé la fera briller
Cette maison sera le lien de notre amour
Alumacom 2010
Pourtant il vient d’un sentiment
D’être fait pour un devoir
Celui d’une conscience tranquille.
De prévoir un avoir,
Pour ne pas être l’avoir,
De sa famille à revoir.
Il a le devoir de respecter ses parents,
Comme il est de son devoir de revoir,
La question qu’est-ce le devoir.
Leur exemple est un devoir de chaque instant
Aimer ses enfants et le reste de la famille,
C’est le devoir fondamental de l’éducation.
Être l’adepte du devoir électorale,
Notre devoir, réfléchir au bien de tous,
Le devoir s’appelle aussi générosité.
La guerre c’est l’échec des parlementaires,
C’est être responsable en toute chose.
Le devoir c’est aimer de ce fait être solidaire.
Notre devoir c’est d’être :
Non seulement UNI avec notre pays
Mais également réfléchir et actif.
ALUMACOM
Oublier les mauvais garnements.
Nos dilettantes amateurismes.
On se croyait de grands altruismes.
Sans chercher à se voiler la face.
Ne pas occulter, la page préface.
En se fixant en coquin un pacte.
Nous échafaudions des satyres.
Sur un pauvre un gamin martyr.
Puisque, il est de parfaites différences.
Passé simplement sous le silence,
Pour ne pas voir notre insolence,
Cacher, les intrigues à le maltraiter.
Ou d’un bonheur craintif immatériel.
Notre mémoire influence le souvenir.
Entretien confirme, notre devenir.
Apporter l’eau pour le partage.
Se chargeant de nos sentiments.
Souvent fébrile à chaque moment.
Nos frasques de l’adolescence,
Nos aventures sentimentales,
Ramènent à cet âge fatal.
Ne changera en rien notre avenir.
Se souvenir de nos bons gestes,
Oblige à demeurer bon, modeste.
De ne plus être ce qui fut l’offense.
Notre pardon empêche la démence.
Ainsi, l’esprit reçoit enfin la clémence.
Le ciel est sombre
Le parapluie à l’épaule
La petite valise roule.
De mon pas cadencé,
Rapide presque paniquée
J’arrive à l’arrêt du bus
C’est le dernier bus nocturne !
Bien sûr trop en avance
Enfin ! Il arrive,
Moi qui me croyais en retard !
A la gare d’Austerlitz soulagement
Mon train m’attend
Disons que je suis en avance
Je me croyais en retard
Je trouve ma place, Ouf je m’assois
Déception ma place côté vitre
Ce n’est pas sur le paysage
Seule dans la cabine
Je croyais avoir l’inspiration !
Page blanche, tête vide
Je me suis endormie
Premier arrêt la cabine se remplie
Plus de sommeil, pas plus de pensées
Pas même pour mon oncle qui nous a quittés
Tout est vide, triste, sans larme.
Enfin une prière monte dans ma tête
Je descends mon cousin m’accueille
Je croyais écrire seule cette page vierge
Je dû refouler mon désarroi.
Alumacom
Dès le premier instant
Je me suis lovée
Dans une douce chaleur
Au ciel j’étais
Dans tes couvertures
Je suis là
De tout l’univers
Je te regarde
Ta voix m’engourdi
Je suis amour
Me rassure
Je suis aux anges
Sans rien comprendre
Tout ce qui fut
Et qui n’est plus.
Il est toujours mon émoi
Bien que souvent désarroi
Il est toujours mon roi
D’entendre ta voix
De voir cet enfant
Un jour tu seras de retour
Hélas, le passé souffle
Le vent froid m’assaille
Tout réapparaît si réel.
Ce film devant mes yeux
M’interdit son oublie
Tu files telle la souris.
Dans ce monde si grand
Je le voudrais tout blanc
Immaculée comme la neige.
Ce que j’étais dans l’ombre
Sans horizon limpide
Ne me quitte plus maintenant.
Sans rien comprendre
Tout ce qui fut
Et qui n’est plus