Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
22 Avril 2019
Les enfants ont fait une bonne récolte d’œufs, hier? Avec ce soleil, nous retrouvons un peu de forme
Un jour de soleil
Ce fut un jour de soleil,
Celui de la récolte.
Il n’y a pas son pareil,
Dans le désinvolte.
Remplir la grande corbeille,
Celui de la révolte.
Des fruits rouges à l’oreille
Sans un faux-colt.
Des fleurs au cou pour pare-soleil,
Celui en giga volt.
Les oiseaux chantent sur la treille,
S’élancent, virevoltent.
Le parfum embaume la corbeille
Celui de nos mégas-volts.
La balle de l’univers est la bouteille,
Elle tourne à l’archivolte.
Mon Dieu, elle est la merveille,
Parmi ces micromètres volts.
8 juin 2015
C’était un été
C’était un été,
Un certain amour,
Un certain soleil glamour,
Pour un feu Saint Amour
Ce fut un certain été.
C’était un été
Où tout était
Dans la jetée
C’était…
Un curieux été.
C’était un été,
La coupe est soufflée
Le four emmitouflé
La pub gonflée,
Se trouve habilité.
C’était un été,
Un soleil tireur,
Sans être pleureur,
Ni même rieur,
Pas même en ébriété.
C’était un été,
Avec le fameux fantasme,
D’un certain orgasme,
Rêve sans sarcasme,
Ni même contrariété.
C’était un été
Comme jadis sur les plages,
Les corps à l’étalage,
Protège aussi leur pelage,
Sans tourment avec gaité.
C’était un été
Il n’était qu’un songe,
Sans un mensonge,
Pourtant il éponge
Sans même s’inquiéter.
Alumacom
La vie est comme une fleur
La vie est la fleur si précieuse
On se doit être précautionneuse.
Quelquefois maligne et rigoureuse
Surprenante souvent peureuse
Lorsqu’elle se meurt langoureuse.
Elle présage son heure l’ambitieuse,
Dans les vapeurs de la jouisseuse
En maraude elle se fait entremetteuse.
Ses extases prospères de l’encenseuse
Dont l’âme frondeur est chanceuse
Elle attend l’heure de la ramasseuse.
Celle de la croqueuse finisseuse.
Lorsque le bouquet fragile se meurt,
Son élan en est pour cette heure
La superbe vivacité d’une primeur.
Son état dans une certaine humeur,
Porte la douce larme du réparateur
Il est magistral avec son sécateur.
Une larme perlée glisse sur le tuteur
Venue suite à la coupe de l’initiateur.
La fleur de la vie s’active près du créateur,
Elle est fierté de son soigneur.
Elle est joie de son Seigneur
Le net devient son navigateur
Le navire porte la voile du porteur
Il est flèche de son routeur.
La vie suit son administrateur
Elle honnit les blasphémateurs
Alumacom
12 octobre 2017