« Personne ne peut revenir en arrière dans son passé, mais n’oublions point que le passé lui, peut facilement nous rattraper ! »
Alumacom
Nos rêves,
Nos rêves explorent notre passé, nos histoires imaginaires.
Parfois nos vieilles chimères surgissent sans crier gare.
Elles nous plongent dans nos déserts brûlants.
Ou bien, ce sont les myriades étoilées du firmament de nos espérances.
Le réveil est souvent brutal.
Pourtant…
Nos rêves jalonnent notre vie, ils sont l’essentiel de l’existence. Sans eux irions-nous de l’avant ?
Bien sûr que non.
Les rêves, les yeux ouverts sont l’ambition bien calculée. Quelquefois, pour ne pas dire souvent, avec des soupirs d’incompris, de désirs pas exaucés, ou bien de soulagement dans une situation d’appréhension.
Nos rêves dans le sommeil, sont des promenades dans notre subconscient. Selon nos tourments, nos joies, nos attentes, ils sont beaux, leurs promenades nous emmènent sur le chemin de nos réflexions, pas toujours celles de la journée ou du tourment du moment.
Il arrive que l’on rêve éveillé en regardant une photo souvenir, ou un tableau de maître que l’on aime particulièrement, notre imagination ou nos souvenirs quel qu’ils soient, nos rêves dans le sommeil se personnifient. Ils sont souvent des symboles de nos aspirations, de nos craintes, de nos souhaits merveilleux ou réaliste.
Souvent, nous aimerions que nos rêves de notre sommeil se réalisent, surtout ceux de nos rêves d’ambitieux.
La réalité, elle, rappelle que la vie est un chemin tracé d’avance, semé d’embûches. Lorsque nous réalisons enfin notre rêve principal, c’est avec beaucoup de lutte à la fois intérieur, et extérieur dans notre mental.
La foi en Dieu ou en ce quelque chose auquel nous croyons, est le moteur dans notre projet. Son importance est la puissance dans la réalisation de nos rêves d’avenir réel pas seulement dans nos rêves de marchands de sable.
Alumacom
Le rêve s’évanouit
J’oublie tes mots, tes étincelles
En levant les yeux à ces myriades
Les clignotants couleurs mirabelles.
Je dis, danse, danse, mon cœur
Tu n’attise plus le feu des olympiades
Mais celui de la douceur de mes ardeurs
Dommage, c’est la fin d’un rêve.
Cela devait se terminer ainsi
Elle n’est qu’une page brève
Ces rêves s’envolent au réveil.
Les anges disparaissent, s’effacent.
Au tintamarre de mon réveil.
N’en soit pas attristé mon ami,
Lève les yeux vers les Cieux,
Ton étoile bienveillante ta pistée.
Tu y retrouveras le réconfort,
D’une épaule amoureuse,
Reconnaissante d’un tel effort
Alumacom
24 Janvier 2010
L’IMAGINAIRE N’A PAS DE PLACE
L’imaginaire n’a pas de place
Dans ce monde fadasse.
Cet espace d’idée débridé
À parlementer avec des déridés
Tu t’ingénies, te décarcasse
De mots, tu t’embarrasses
Goulûment tu veux dévorer
Toutes ces crudités décorées.
L’âme dans l’estomac
Allongé dans un hamac
Tu broies dans le noir
Le plan d’un désespoir.
Comment supporter les ardeurs
Impudiques ces délire sur l’odeur.
La force du philosophe
C’est être l’apostrophe
Pour ramener à la raison
Les lointains de l’oraison.
Pourtant il n’est rien de plus doux
Qu’un espace digne de l’indou.
Ces parfums envoûtant de tendresse
Ces désirs à devenir des martyrs
Devenant des modèles de bon ton
Ronronnant en bienheureux chaton.
Le désir reste toujours en gestation
Pour ne pas tomber sous les protestations.
Quel que soit l’emploi des mots
L’espace n’est qu’une dynamo
Bien sûr, rien n’est plus sur
Il exagère l’éphémère d’un mur.
L’idée de cet espace résiste
Il reste la meilleure piste.
Alumacom
Mea-culpa et interrogation
Que m’est-il arrivé ce jour-là.
Une rivière d’eau salée se déverse
Mon cœur aux cent coups
S’angoisse dans les méandres
Du passé et ses malheurs
Refont surface sans crier gare.
Mon esprit sursaute
Tressaute au moindre vent.
Que me valent tous ces signes ?
Peut-être trop de drames passé
Tant de rêve resté en suspend
Sans parvenir pas à me reprendre.
Combien de chemin ai-je pris ?
Deux, trois, probablement plus.
Ces routes m’amène à la seule voie
Suivi dans le labyrinthe de la vie.
De tout temps j’ai tendu la main.
Sans réfléchir pour peu importe quoi.
Un jour pour des raisons évidentes,
Il m'a fallu réfléchir sur le bien-fondé
De mes dons et comment donner
Pour commencer j'ai dû la donner
Pour recevoir un peu d’amour.
Tendre la main me semblait facile.
Seulement un jour il m'a fallu la tendre
Pour non pas donner mais recevoir,
Mais combien est-ce difficile !
De tendre la main c'est l'hésitation
Pour recevoir c’est plus compliquer
Que de prodiguer ses largesses.
Tendre la main à notre ami notre frère
Avec la délicatesse sans jamais le froisser
C'est lui assurer de Lui redonner la dignité
La délicatesse n'est pas seulement nécessaire.
Je réalise qu'avec un coeur et ses gros sabots,
Tous le mal par fait reflexe ont-ils été blessés ?
Tous ces regrets à me pardonner.
Reconnaître également ma culpabilité ?
Une petite voix insistante me susurre
Avance, va, ne crains pas la réparation
Ta conscience te sauve tes amis t'aimes
Cependant le doute reste impétueux.
Pourtant il ne s’agit que d’aimer.
C’est pour cela que c’est difficile
Comment écouter ce que l’ami explique
Reconnaître la douleur dans leurs mots.
Sont-ce des histoires vraies ou fausses ?
Imaginaires selon leur état d’esprit.
De ces amis que faut-il décrypter,
Sans avoir à risquer leur suicide.
Savoir à ne pas se laisser dévaliser,
Sachant qu’il y a d’autres amis
Mendiant l’attention de ma tendresse
Pour trouver la sérénité dans leur âme.
Alumacom
Songe de l’effeuillé
Dans ce songe la sève de deux corps
Prends un tournant brûlant d’effort
Où ils trouvent un grand confort,
Des plaisirs langoureux d’un sport.
Il n’a rien de malicieux ce rapport,
Cet effeuillé dans l’immense Océan d'or.
Sur le sable chaud sous ce soleil,
La plage, dont les odeurs se délayent,
Sous le regard soyeux, qui s’émerveille.
Enfin, à l'aube, c’est le réveil,
Le feu des caresses langoureuses s’enraye,
Le désenchantement illusoire m’effraye.
Quand les songes m’entrainent accompagné,
D’un univers d’une réalité si éloignée,
Au cœur de vagues rêveuses imprégnées
Du guide de cette destinée ensoleillée,
D’un amour s’unissant par l’effeuillé
Au divin plaisir simple de l’estampillé.
Alumacom
Un rêve d’artiste
Du large infini du fruit de la veillée.
Souvenirs des nuits de l’atelier
Où il en a été l’élu, le domicilié.
L’artiste pinceau levé
S’inspire de son souvenir,
De ce rêve éveillé.
Bien lui en pris,
Sa muse est ravie,
Son rêve a pris vie.
Alumacom