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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

La page de Notre Pape et info du Vatican

La miséricorde envers celui qui peut seulement recevoir sans rien donner en retour est précieuse aux yeux de Dieu.

 

Marie est une femme qui marche avec la délicatesse et la tendresse d'une mère, elle défait tous les nœuds des nombreuses difficultés que nous pouvons engendrer et nous apprend à nous tenir au milieu des tempêtes.

 

Nous prions pour les catholiques en Chine. Que Notre Dame de Sheshan les aide à témoigner de leur foi, en communion avec l'Église universelle, et à persévérer dans l'unité malgré les blessures et les épreuves, confiants dans l'espérance qui ne déçoit pas.

 

Dieu ne réside pas dans la grandeur de ce que nous faisons, mais dans la petitesse des pauvres que nous rencontrons.

 

Chaque créature a une fonction, aucune n'est superflue. Tout l'univers est un langage de l'amour de Dieu, de son affection sans limites pour nous : terre, eau, montagnes, tout est caresse de Dieu. '

Les 100 ans de l’éparchie de Lungro salués par le Pape
Le Pape François a accueilli les fidèles de l’éparchie de Lungro à l’occasion du centenaire de sa création par Benoît XV. Dans son discours, il a appelé à conserver les traditions de cette communauté, tout comme son appartenance au Christ et à son Église.

L’éparchie de Lungro a été instituée par le pape Benoît XV par la constitution apostolique Catholici fideles il y a cent ans. Son siège est située à Lungro, commune de la province de Cosenza, en Calabre, dans le sud de l’Italie. Elle regroupe 30 000 fidèles italo-albanais de rite byzantin présents dans différentes régions d’Italie. Il existe une autre éparchie en Italie, celle de Pisana des Albanais, en Sicile, qui regroupe 23 000 baptisés.

Dans son discours aux fidèles, le Pape a rappelé «le courageux itinéraire spirituel» et la «fidélité à la tradition, malgré les difficultés et les souffrances» de cette communauté italo-albanaise, qui ont d’ailleurs amené Benoît XV à créer cette éparchie.

«Cet anniversaire est une opportunité pour remercier le Seigneur de ce qu’il a, dans sa bonté et miséricorde, accompli» dans cette communauté au cours des derniers siècles. D’où l’exhortation du Pape à préserver «ses traditions ainsi que l’appartenance au Christ et à son Église» témoignant que «l’amour est plus beau que la haine, que l’amitié est plus belle de l’inimitié, que la fraternité entre nous tous est plus belle que les conflits».

François a évoqué ceux qui «ont transmis la foi par leur vie avant même leurs paroles»exhortant à imiter leur exemple en transmettant aux nouvelles générations le patrimoine spirituel reçu. Le Saint-Père a enfin invoqué «la protection maternelle de la Sainte Mère de Dieu, l’Odegitria», qui en signifie en grec «celle qui indique le chemin» : c’est la représentation byzantine de Marie qui indique avec la main droite l’Enfant Jésus.

SujetsPAPE FRANÇOISPAPE BENOÎT XVÉGLISES ORIENTALES

25 mai 2019, 13:26
Saint Michel Archange

 

Saint Michel Archange, défendez-nous dans le combat
et soyez notre protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu exerce sur lui son empire, nous vous en supplions ;
et vous, Prince de la Milice Céleste, par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan et les autres esprits mauvais
qui parcourent le monde pour la perte des âmes. Amen.

Audience entre le Pape François et les participants au Congrès "Yes to life !" - 25 mai 2019  (Vatican Media)

 

«La vie humaine est sacrée et inviolable», rappelle le Pape François
Ce samedi matin, le Pape a reçu les participants au congrès international “Yes to life! Prendre soin du don précieux de la vie dans la fragilité”, qui s’achève ce 25 mai après deux jours de travaux. Le Saint-Père a redit la valeur inestimable du don de la vie, dont les progrès médicaux facilitent la protection dès la conception. François a également exprimé la ferme opposition de l’Église à l’avortement.

Adélaïde Patrignani – Cité du Vatican

Initiative du Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie et de la fondation italienne à but non-lucratif “Il Cuore in una Goccia” (“le cœur dans une goutte”), ce congrès a rassemblé environ 300 participants, que le Pape a rencontrés dans la salle Clémentine ce 25 mai.

Dans son discours, le Pape a d’abord soutenu qu’«aucun être humain ne peut être incompatible avec la vie, jamais, ni en raison de son âge, ni de ses conditions de santé, ni pour la qualité de son existence». «Chaque enfant qui s’annonce dans le sein d’une femme est un don, a-t-il poursuivi, et cet enfant a besoin d’être accueilli, aimé et soigné. Toujours !»

Face au dépistage de la maladie, craintes et espoirs

Après avoir souligné la profondeur du lien qui unit la mère et son bébé dès la grossesse, le Pape a reconnu les inquiétudes que soulève le diagnostic de malformations et pathologies. «Le sentiment de solitude, d’impuissance, et la peur de la souffrance de l’enfant et de la famille entière émergent comme un cri silencieux, un appel à l’aide dans l’obscurité d’une maladie, dont personne ne sait prédire l’issue certaine», a-t-il estimé.

Malgré tout, «il y a une chose que la médecine sait bien: les enfants, dès le sein maternel, s’ils présentent des conditions pathologiques, sont de petits patients». Et le Saint-Père de mettre en avant plusieurs thérapies médicales, aux «résultats surprenants en termes cliniques et d’assistance», et qui «fournissent un soutien essentiel aux familles qui accueillent la naissance d’un enfant malade»

Les devoirs des médecins

D’après François, il est important de «diffuser une approche scientifique et pastorale d’accompagnement compétent». Les médecins sont les premiers concernés. Il doivent toujours avoir présent à l’esprit «non seulement l’objectif de la guérison, mais la valeur sacrée de la vie humaine, dont la protection reste la fin ultime de la pratique médicale». Comme l’a affirmé le Souverain Pontife, la «profession médicale est une mission, une vocation à la vie», et ceux qui l’accomplissent devraient faire preuve des qualités suivantes: être «capables d’entrer en relation, de prendre en charge les vies des autres, proactifs face à la douleur, capables de tranquilliser, de s’engager à toujours trouver des solutions respectueuses de la dignité de toute vie humaine».

Parfois, malgré les efforts du corps médical, les soins apportés pendant la grossesse se révèlent insuffisants. Dans le cas des enfants mort-nés ou morts peu de temps après l’accouchement, «le soin pourrait sembler une utilisation inutile de ressources  et une souffrance supplémentaire pour les parents». Mais la «signification authentique de cette effort, voué à porter à son achèvement l’amour d’une famille», ne doit pas être dénié. Soigner ces enfants aide «les parents à élaborer leur deuil et à le concevoir non comme une perte, mais comme une étape sur un chemin parcouru ensemble». «Tant de fois, a ajouté le Pape, ce peu d’heures pendant lesquelles la maman peut bercer son enfant, laissent une trace dans le cœur de cette femme, qui ne l’oublie jamais».

Non à l’avortement, oui à l’accompagnement

Le Pape a enfin déploré que «la crainte et l’hostilité face au handicap conduisent souvent au choix de l’avortement, en le constituant comme une pratique de “prévention”». L’enseignement de l’Église sur ce point «est clair», a insisté François, «la vie humaine est sacrée et inviolable et l’utilisation du diagnostic prénatal à des fins sélectives doit être dissuadé avec force, car il est l’expression d’une mentalité eugénique inhumaine, qui retire aux familles la possibilités d’accueillir, d’embrasser et d’aimer leurs enfants plus faibles».

À ceux qui disent aux catholiques que leur refus de l’avortement «est le problème de [leur] foi», le Saint-Père réplique que c’est plutôt «un problème pré-religieux, (…) un problème humain». Improvisant son discours, François a formulé deux questions en guise d’arguments. «Est-il licite d'éliminer une vie humaine pour résoudre un problème ?», et «est-il licite de louer un tueur à gages pour résoudre un problème ?». «N’allons pas sur le terrain religieux pour une chose qui concerne l’humain», a-t-il ensuite demandé, avant d’exhorter à ne «jamais, jamais éliminer une vie humaine ni louer un tueur à gages pour résoudre un problème».

«L’avortement n’est jamais la réponse que cherchent les femmes et les familles», a-t-il poursuivi avec force, ce sont plutôt «la peur de la maladie et la solitude qui font hésiter les parents». Face à cela, sans renier les difficultés «d’ordre pratique, humain et spirituel», le Pape préconise des «actions pastorales plus incisives», afin de «soutenir ceux qui accueillent des enfants malades». En pratique, a conclu le Souverain Pontife, il est nécessaire de «créer des espaces, des lieux et des “réseaux d’amour” auxquels les couples puissent s’adresser, et aussi dédier du temps à l’accompagnement de ces familles».

25 mai 2019, 12:40

 

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