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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Hello c'est vendredi premier jour de l'été Revue de Presse +t info de la ville de Paris

Contrepoint
Privatisation des autoroutes : l’aveu de Thomas Porcher

Quel est l’intérêt d’un pays à privatiser une industrie ? À en croire les discussions qui portent sur Aéroports de Paris ou les autoroutes, cet intérêt concernerait en premier lieu les finances publiques.

Par Ferghane Azihari.
Un article de l’Iref-Europe

Aujourd’hui, le gouvernement justifie la cession d’ADP par le besoin de l’État d’élargir ses manœuvres budgétaires. Il est question d’utiliser les recettes de la privatisation pour investir dans un fonds pour l’innovation de rupture. Comme si les hauts fonctionnaires aux revenus et aux patrimoines décorrélés de leurs performances étaient les mieux placés pour réaliser des investissements productifs…

L’état des finances publiques, l’endettement et le fait que le patrimoine des administrations publiques ne cesse de fondre devraient nous conduire à remettre en question cette vision angélique des fonctionnaires en matière d’investissement.

Sans surprise, les opposants aux privatisations rétorquent en se servant également de l’argument budgétaire. Mais est-ce vraiment l’enjeu principal d’une privatisation ?

POURQUOI PRIVATISER ?

La chute des économies socialistes a confirmé ce que l’économiste autrichien Ludwig von Mises écrivait à leur propos. Les économies administrées rendent plus difficile une allocation productive des facteurs de production pour fournir des services compétitifs.

Au-delà de l’argument de la liberté individuelle, la principale motivation en faveur de la privatisation d’une industrie a rarement été de nature budgétaire. En effet, si la prospérité d’un pays était liée à la taille d’un État et sa capacité à extraire le fruit des industries, les pays de l’ex-bloc de l’Est auraient été les contrées les plus opulentes de la planète.

Or, en Europe de l’Est, c’est surtout au nom de la productivité et de la compétitivité de l’économie que les pays ont privatisé leurs entreprises d’État. C’est aussi au nom de ces mêmes critères de bonne gestion que l’IREF a défendu le principe d’aéroports et d’autoroutes soumis au régime de la propriété privée.

LES AVANTAGES DE LA PRIVATISATION : L’AVEU DE THOMAS PORCHER

Se pose alors la question des bons indicateurs à retenir pour conclure à une meilleure allocation des ressources sous le régime de la privatisation. Paradoxalement, l’économiste Thomas Porcher nous donne un premier indice en croyant argumenter contre la privatisation des sociétés concessionnaires d’autoroute. Il déplore notamment que les sociétés d’autoroute aient accru leurs profits en diminuant leur masse salariale de 14 % sur les cinq années qui ont suivi leur privatisation.

L’économiste atterré confirme donc une partie des arguments des sociétés d’autoroute qui se vantent d’une meilleure gestion de la masse salariale et du recours à une plus grande automatisation des péages. Cette automatisation doit bien sûr être saluée. Elle relève d’une destruction créatrice qui permet de libérer de la main- d’œuvre pour la tourner vers la satisfaction d’autres besoins. Elle atteste donc l’existence d’une certaine pression concurrentielle qui incite à optimiser au mieux les facteurs de production en luttant contre le gaspillage.

Cette attitude contraste avec celle des entreprises publiques régulièrement épinglées pour être en sureffectif (cf le rapport Spinetta et la SNCF).

LA QUESTION DU MONOPOLE ET DE L’AUGMENTATION DU PRIX DES PÉAGES

Pour contester une nouvelle fois la privatisation des autoroutes, Thomas Porcher évoque les augmentations de prix pratiquées par les sociétés concessionnaires privées. Il oublie néanmoins de préciser que ces tarifs sont encadrés par l’État et qu’ils sont la contrepartie d’importants investissements réalisés sur les infrastructures.

Sans oublier qu’il n’est pas dit que la puissance publique serait moins « cupide » dans l’hypothèse où elle se mettrait à administrer des péages. Le Canard enchaîné révélait récemment que le prix des autoroutes publiques avait augmenté plus vite que celui des autoroutes privées depuis 2011. Dans un pays où l’État soumet le salarié moyen à des prélèvements obligatoires de plus de 80 % de son salaire net sans que ce dernier puisse dire non, les monopoles ne sont peut-être pas toujours là où on le croit.

Le Monde
Réductions, chauffeurs, pensions… ce à quoi ont vraiment droit les conjoints des élus

Alors que Brigitte Macron est la cible d’attaques sur ses supposés privilèges, voici un point sur les avantages dont bénéficient les moitiés des présidents, ministres et parlementaires français.

Par  et   Publié hier à 18h53, mis à jour à 09h50

Brigitte Macron photographiée au palais de l’Elysée, le 26 mars 2019. LUDOVIC MARIN / AFP

Les rumeurs sur les privilèges et la rémunération des premières dames n’ont jamais épargné les conjointes des présidents de la République. C’est, sans surprise, aussi le cas de Brigitte Macron, qui fait l’objet de nombreuses rumeurs, comme l’achat de 78 000 euros de crèmes anti-âge, une maquilleuse personnelle prétendument payée 10 000 euros par mois, ou encore le fait que sa rémunération passerait de 440 000 à 538 000 euros par an.

Des informations fausses de bout en bout mais qui en disent beaucoup sur la perception des avantages et supposés tels des conjoints des élus et responsables politiques de notre pays. Voici, en réalité, à quoi celles et ceux qui partagent la vie des élus ont vraiment droit.

Les conjoints des présidents de la République

Contrairement à d’autres pays, la loi française ne définit aucun statut pour les conjoints des présidents de la République. Leur existence n’est donc pas prévue par les textes et les dépenses et moyens matériels affectés à leurs activités ne sont, au sens strict, pas encadrés et à la discrétion du chef de l’Etat. Mais les comptes de l’Elysée sont analysés par la Cour des comptes depuis 2009, qui en rend un rapport public contenant notamment les dépenses liées aux premières dames, même si la Cour ne dispose souvent que d’informations parcellaires. Dans son rapport sur l’année 2017, elle écrit par exemple qu’elle n’a pu « chiffrer la totalité de ces dépenses, en l’absence d’une comptabilité analytique suffisante ».

Dans le rang des critiques figure aussi l’ancien député (1997-2017) de l’Aisne René Dosière, considéré comme un des grands spécialistes des finances publiques et qui a beaucoup travaillé sur les dépenses des élus. Au Monde, il rappelle que l’épouse du chef de l’Etat « n’a pas de statut juridique, elle n’existe pas ». A ce titre, elle n’a aucun droit d’utiliser de l’argent public :

« Les seules personnes capables de manier les deniers publics ce sont ceux qui sont autorisés, comme les comptables, les fonctionnaires. Même si les élus donnent les ordres, ils ne peuvent pas manier directement de l’argent, alors leurs épouses… »

Emmanuel Macron souhaitait lors de la campagne présidentielle définir « un cadre » pour mettre fin à « une hypocrisie française ». Après son arrivée à l’Elysée, la mesure s’est invitée dans les débats sur le projet de loi de moralisation de la vie publique discuté à l’été 2017. Mais le fait de doter la première dame d’un budget propre a rencontré une vive hostilité parmi les députés et l’opinion publique. A défaut d’un réel statut, le rôle public de la conjointe du président de la République est défini depuis août 2017 dans une charte de transparence publiée sur le site de l’Elysée, qui n’a donc valeur ni de loi ni de règlement intérieur.

Brigitte Macron dispose d’un directeur de cabinet et d’un chef de cabinet (membres du cabinet du président), ainsi que de deux secrétaires, dont l’une est aussi affectée au porte-parolat. Sachant que ces quatre personnes consacrent entre la moitié et deux tiers de leur temps pour Mme Macron, le coût annuel lié à la rémunération de ces quatre personnes est de 278 750 euros, selon la Cour des comptes. Dans une réponse aux députés « insoumis » en novembre 2017, celui qui était alors porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, avait cependant précisé un coût lié au personnel de 440 000 euros. Contacté par Le Monde, le cabinet de Brigitte Macron a refusé de commenter ce dernier chiffre ou d’expliquer sa provenance.

Locaux : six bureaux dans le palais de l’Elysée

Les quatre personnes affectées à Mme Macron y sont installées, tout comme les membres du groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) chargés de sa protection.

Transport : deux véhicules, dont un pour la sécurité

Deux véhicules de la flotte présidentielle sont affectés à la première dame : un pour ses déplacements et un autre pour les membres du GSPR.

  • Valérie Trierweiler (2012-2014)

Personnel : cinq collaborateurs pour 236 904 euros annuels

Dans une réponse à une question posée à l’Assemblée nationale le 12 mars 2013, le premier ministre Jean-Marc Ayrault déclare que « cinq collaborateurs sont affectés au service de Madame Valérie Trierweiler : deux agents contractuels et trois fonctionnaires mis à disposition de la présidence de la République. Le total des rémunérations mensuelles nettes de ces cinq personnes est de 19 742 euros. »

  • Carla Bruni-Sarkozy (2008-2012)

Personnel : huit collaborateurs pour 437 376 euros annuels

Dans la même réponse à l’Assemblée nationale en mars 2013, Jean-Marc Ayrault a fait savoir que huit collaborateurs étaient affectés à Carla Bruni-Sarkozy en janvier 2012.

Locaux : tout ou partie de l'aile ouest de l'Elysée, appelée « aile Madame »

Les huit collaborateurs travaillaient dans l’aile ouest de l’Elysée, au rez-de-chaussée, au même endroit où toutes les premières dames successives ont disposé de leur personnel. La seconde épouse de Nicolas Sarkozy n’était, cependant, pas spécialement présente à l’Elysée, selon René Dosière ; en effet, Carla Bruni-Sarkozy a gardé son domicile du 16arrondissement parisien pendant le restant du mandat de son mari.

Extra : un site Internet à 410 000 euros

Dans la même réponse, M. Ayrault affirme qu’à ces dépenses de personnel « s’ajoutaient tous les mois les facturations de deux prestataires externes assurant pour la première dame la gestion d’un site Internet pour un montant de 25 714 euros, soit une dépense mensuelle totale de plus de 60 000 euros ». Au total, le site de Mme Bruni-Sarkozy a coûté environ 410 000 euros, provoquant à l’époque une vive polémique.

  • Bernadette Chirac (1995-2007)

Personnel : vingt et un collaborateurs pour 960 000 euros annuels

Selon René Dosière, Mme Chirac disposait d’un nombre record de vingt et une personnes affectées à son cabinet personnel. « Un conseiller technique, une collaboratrice, quatre secrétaires, deux responsables du secrétariat particulier, des rédacteurs, sans compter les membres du service social et deux chauffeurs », avait-il rapporté en mai 2013.

Locaux : tout ou partie de l'aile ouest de l'Elysée, appelée « aile Madame »

Il est probable que tout ou partie des collaborateurs de Mme Chirac ait aussi travaillé dans l’aile ouest de l’Elysée, au rez-de-chaussée.

Transport : deux chauffeurs, en excluant la sécurité

Mme Chirac disposait de deux chauffeurs affectés à ses déplacements, sans toutefois que l’on connaisse le nombre de véhicules de la flotte de l’Elysée qui lui était affecté.

Les conjoints des ministres

Tout comme les premières dames, aucun texte ne prévoit l’existence des conjoints des ministres et secrétaires d’Etat. « Dans les ministères aussi, l’épouse n’existe pas, rien n’est prévu pour elles, car elles ne sont dotées d’aucune mission particulière et ne bénéficient donc dans les textes d’aucun avantage particulier », explique René Dosière.

De ce fait, elles n’ont pas d’autorisation à dépenser de l’argent public. Des abus sont cependant possibles, puisqu’il n’existe aucun contrôle strict sur les dépenses engagées par les membres du gouvernement ; la mise au jour de dépenses injustifiées se fait souvent grâce aux indiscrétions publiées dans la presse : en 2009, Le Canard enchaîné avait par exemple révélé que Pénélope Fillon avait utilisé un jet de la flotte gouvernementale, un trajet estimé à 10 000 euros ; en 2016, Le Point révélait que Véronique Cazeneuve, épouse du ministre de l’intérieur, a bénéficié de trois chauffeurs armés.

Contacté par Le Monde, aucun membre du gouvernement n’a déclaré un quelconque avantage de quelque nature que ce soit pour son conjoint.

Les conjoints des parlementaire

  • Les facilités de transport

Epoux et épouses de députés et de sénateurs disposent de certains droits. Les conjoints des sénateurs peuvent demander à les accompagner ou les rejoindre à Paris dans le cadre de manifestations officielles, dans la limite de six allers-retours aériens par an, selon un arrêté de décembre 2017. Le transport des conjoints et enfants mineurs des sénateurs d’outre-mer à Paris peut, pour les besoins du mandat, être pris en charge à hauteur de 30 % du montant. Les déplacements des conjoints et enfants mineurs des sénateurs représentants les Français établis à l’étranger sont aussi pris en charge, à hauteur de 50 %.

Les conjoints des députés disposent de droits analogues sur les transports, comme une carte SNCF offrant 50 % de réduction pour 21,6 euros par mois ou six voyages aller-retour par an entre Paris et la circonscription d’élection. Ceux des députés d’outre-mer ont le droit à deux allers-retours par an entre Paris et le DOM-COM, tandis que ceux des députés des Français de l’étranger peuvent bénéficier de 30 % (maximum) du crédit annuel alloué aux déplacements desdits députés (soit quatre allers-retours).

  • Les pensions de réversion

Les conjoints d’anciens députés décédés ont, quant à eux, le droit à une pension de réversion plafonnée à 50 % de ce que le défunt aurait perçu, à la condition que le mariage ait été contracté au moins un an avant l’obtention de la pension, ou quatre ans avant le décès du député. Ces conjoints perdent ce droit lorsqu’ils se remarient ou vivent de nouveau en concubinage avec quelqu’un. Si plusieurs conjoints il y a eu, la pension est partagée entre ceux-ci au prorata de la durée de chaque mariage. Le même système, plus avantageux, existe au Sénat : le conjoint d’un ancien sénateur peut percevoir jusqu’à 66 % de la pension du défunt.

  • Les allocations funéraires

Enfin, il faut savoir que l’Assemblée nationale et le Sénat, qui sont budgétairement autonomes, financent une partie des obsèques des parlementaires ou des anciens parlementaires et de leurs conjoints. Du côté des députés, une allocation de 2 350 euros est versée au conjoint en cas de décès de l’élu, ou à l’élu en cas de décès du conjoint ; plafonnée en mars 2018, elle pouvait atteindre plus de 18 000 euros auparavant. Les sénateurs, en revanche, n’ont pas limité cette allocation funéraire et perçoivent environ 17 000 euros par obsèques, un montant relativement décorrélé des prix réels.

  • Les conjoints du président de l’Assemblée nationale

Comme tout conjoint de député, le conjoint du président de l’Assemblée peut bénéficier d’une carte SNCF demi-tarif moyennant une cotisation mensuelle de 21,6 euros, et elle a la possibilité d’utiliser douze fois par an une ligne aérienne régulière sur le territoire métropolitain, faculté qu’elle n’a en l’espèce jamais utilisée. Aucun dispositif de sécurité ne leur est affecté (le président dispose d’une protection assurée par le ministère de l’intérieur).

Mais hormis ces droits relatifs au transport et aux pensions de réversion (et éventuellement au personnel de sécurité), les conjoints des parlementaires ne jouissent d’aucun avantage ou d’aucune rémunération fondés sur des textes législatifs ou réglementaires. Si l’on excepte les emplois d’assistants parlementaires confiés parfois de façon peu scrupuleuse aux membres de la famille des élus (et qui sont désormais interdits), les conjoints des parlementaires, comme de tous les autres élus de la République, ne font l’objet d’aucun traitement particulier et ne peuvent légalement recevoir une quelconque rémunération.

Les conjoint·e·s des maires

A l’image des autres conjoints d’élus de la République, les proches des élus municipaux ne bénéficient d’aucun statut juridique. Ils peuvent, en revanche, bénéficier d’une protection ainsi que leurs enfants et ascendants directs.

Depuis la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003 pour la sécurité intérieure, les conjoints bénéficient de la protection de la commune lorsque les préjudices qu’ils connaissent résultent de la fonction élective de leur parent. Ils peuvent ainsi bénéficier de la protection de la collectivité lorsqu’ils seront victimes de menaces, violences, voies de fait, injures ou outrages à raison de la qualité d’élu de leur parent. A noter que cette protection peut être également accordée aux conjoints en cas de décès de l’élu municipal dans l’exercice de ses fonctions ou du fait de ses fonctions, si les faits à l’origine de son décès sont directement liés à son exercice politique.

Enfin, à l’échelon intercommunal, les dispositions garantissant la protection de la collectivité aux élus et à leurs familles ne sont applicables qu’aux membres des communautés d’agglomération, communautés urbaines et métropoles.

Crédits iconographie : Mint Shirt, Icon Island Enshia et Ziyad Al junaidi

LeParisien

La terre a tremblé à Nantes et Angers

Une secousse de magnitude 5,1 a été enregistrée. Un niveau rarement atteint parmi le millier de séismes qui touche chaque année la France métropolitaine.

D'Angers, Cholet, Tours, Nantes, Saintes, La Rochelle et même d'Angoulême, les messages affluent sur Twitter, signalant… un séisme. La terre a tremblé en France métropolitaine, et ce n'est pas dans le sud-est, mais au carrefour des régions Pays de la Loire, Centre Val de Loire et Nouvelle Aquitaine.

Le bureau central sismologique a enregistré à 8h50 une forte secousse d'une magnitude de 5,1 et l'épicentre se trouverait à 25 km de Bressuire. Selon le Centre sismologique euroméditerranéen (CSEM), la magnitude est de 4,9

Chaque année, d'après le Réseau national de surveillance des séismes (ReNaSS), un millier de séismes se produisent en France métropolitaine. Mais à peine une douzaine est ressentie par la population.

Les secousses dépassant 5 sur l'échelle ouverte de Richter sont extrêmement rares. Le 28 avril 2016, cette puissance avait été atteinte en Charente-Maritime. Il n'y avait eu ni victime ni dégât.

 

Ville de Paris
Bastille : un nouveau sens de circulation pour la place 

Dans le cadre du réaménagement de la place de la Bastille qui s’achèvera à l’automne 2019, le plan de circulation de la place change définitivement à partir du 18 juin. 

A partir du 18 juin, le plan de circulation de la place de la Bastille évolue. Ce changement s'inscrit dans le cadre du réaménagement en cours de la place.

Quel est va être le nouveau sens de circulation? 
Que faire pour circuler pendant la mise en place du nouveau tracé ?

Nos conseils aux automobilistes : évitez le secteur de la Bastille le 17 juin à partir de 21 heures jusqu’au 18 juin dans la matinée. Adaptez votre itinéraire en amont afin d’éviter le secteur de la Bastille le temps de cette mise en place. Des plots en béton seront posés afin de délimiter les contours de la future presqu’île piétonne qui s’étendra de la colonne de Juillet au port de l’Arsenal.

Les sens de circulation des rues débouchant sur la place seront progressivement modifiés au cours de la nuit. 

Quelles conséquences pour les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir ?

Attention : les automobilistes arrivant sur la place de la Bastille depuis le boulevard Beaumarchais ou le boulevard Richard Lenoir ne pourront plus aller directement dans l’est parisien depuis la place. Il faudra adapter votre itinéraire en amont. Seuls les bus pourront se rendre directement dans l’est depuis la Bastille.

Voici les itinéraires possibles à partir du 18 juin pour les automobilistes arrivant sur la place depuis les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir.
La rue de Lyon est mise à sens unique

Le sens de circulation de la rue de Lyon est modifié : les automobilistes ne pourront plus l’emprunter pour sortir de la place de la Bastille en direction de la gare de Lyon.

Quels sont les nouveaux itinéraires conseillés? 
Pour se rendre à la gare de Lyon, à Nation ou à l’hôpital Saint-Antoine : 

 

  • depuis la place de la République : privilégiez le boulevard Voltaire en amont (pour Nation ou l’hôpital Saint-Antoine) puis le boulevard Ledru-Rollin (pour la gare de Lyon);
  • depuis les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir : empruntez la voie Mazas par le boulevard Bourdon, puis le tunnel Van Gogh (pour la gare de Lyon). et le boulevard Diderot (pour Nation ou l’hôpital Saint-Antoine).

 

Pour se rendre à l’hôpital des Quinze-Vingts : 

Depuis les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir : empruntez l’avenue Ledru-Rollin par le boulevard Voltaire puis la rue de Lyon afin de rejoindre la rue de Charenton.

 

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