Souvenir d'un de mes messages reçus

⦁    Ma  vision du 22 mars 2017

J’étais dans mon lit d’hôpital. Seule dans ma chambre au mur blanc. J’étais opérée depuis la veille. Mon épaule est douloureuse. J’écoute radio Notre Dame.
Ne sachant que faire, je ferme les yeux et je commence à prier
- Notre Père qui est aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel, donne aujourd’hui notre pain de ce jour et ne nous soumet pas à la tentation mais délivre-nous du mal.
Je vous salue Marie pleine de grâce, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus le fruit de vos entrailles est bénis. 
À ce moment je ferme les yeux et je continue en chantant mentalement :
Entre tes mains Seigneur jésus je remets mon esprit, Entre tes mains je remets mon cœur.
Je suis toujours ta servante, que voulez-vous que je fasse ?
Il y a quelques années j’ai accepté d’être l’une de vos prophètes quel que soit les conséquences maintenant sur cette terre.
Maintenant quel est votre nouveau message ?
Entre tes mains Seigneur Jésus, je remets mon esprit
Entre tes mains Seigneur Jésus, je remets mon âme.
Un immense puzzle en cuivre noir sur sa base et très large. Il monte doucement ; je vois le puzzle se rétrécir, il devient couleur cuivre, puis il est brillant, au fur et à mesure de la montée ce tapis de puzzle dont les pièces sont de forme humaine de toutes tailles sans noms, ni visages, il devient de plus en plus clair. Enfin ils terminent leurs courses couleur or au centre et argent sur les bords. Ils arrivent dans la lumière blanche si puissante quelle est indescriptible et magnifique.
Mon regard se porte sur ce petit trône, avec beaucoup de monde autour. Je ne sais ce qu’ils disent, ils semblent heureux. Pourtant tout est silencieux. Certains puzzles s’arrêtent avant et bifurques sans tomber. Ils sont arrivés... peut-être. Le purgatoire ?
La montée continue jusqu’à l’étage suivant il ne reste que quelques-uns. UN autre trône accueille certains des puzzles reste. Il est blanc également et plus grand. Il y a moins de monde et ils chantent. Je ne connais pas ce chant il est mélodieux. Sur le trône il y a une forme bizarre resplendissante et agréable au regard. Serait-ce Saint Pierre ?
Enfin j’arrive au troisième étage. Le trône est immense, trois êtres brillent intensément. Je ne distingue pas les formes. Mais elles sont douces et agréable, malgré la puissance de cette lumière. C’est le terminus, les puzzles n’arrivent que trois puzzles or à la fois. Enfin, ils se séparent et chacun prend sa place séparément.

Je termine ma prière ainsi :
Comme je chante le Seigneur: je chante comme David, je chante, je chante comme David
Quand je danse pour le Seigneur. Je danse comme David, je danse, je danse comme David
Quand je prie le Seigneur, je prie comme David, je prie, prie, je prie comme David.

Seigneur que ta volonté s’accomplisse, selon tes desseins. Je suis votre servante.
Par cet ordre vous avez pardonné mes erreurs à moi si petite et si faible. Que pourrai-je faire de plus, que d’accepter vos contraintes sur cette terre dans ce monde dépravé et pourtant d’amour et d’espoir.
Je me pose des questions, est-ce le résultat de l’anesthésie ? Mais non les images restent au fond de ma mémoire.
 Est-ce l’œuvre des ténèbres pour me tromper ? 
Je fus soulagée quand j’ai lu l’article de La Croix, c’était ma réponse ; dans l’année 501 personnes décédées dans la rue, des hommes, des femmes, des enfants ; mon cœur c’est soulevé, des larmes ont coulées sur mes jouent. J’ai prié pour le pardon de leurs erreurs, ou pire pour ces victimes innocentes qui ont été amené dans la rue mourant de froid, de chaleurs, de faim, de violences diverses.
Seigneur entend leurs plaintes, leurs souffrances. Pardonne-leur et dirige les dans ta maison.
Seigneur exauce moi, que ta volonté d’amour s’accomplisse et non la mienne. Amen
Je termine par un notre Père chanté.
 

Emounah

22 mars 2017