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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux HyppolYte et aux Saintes âmes du 13 août

Saint Hippolyte de Rome

Martyr (✝ 235)

HippolyteLe plus important théologien du IIIe siècle dans l'Église romaine et le premier antipape (217-235). 
S'opposant à saint Calixte 1er, il est exilé en Sicile puis se réconcilie avec l'Eglise avant d'être martyrisé, persécuté par l'empereur Maximin.
Hippolyte de Rome est traditionnellement un prêtre romain mort en martyr avec le pape Pontien en 235. (source: Editions du Cerf)
Mémoire des saints martyrs Pontien, pape, et Hippolyte, prêtre de Rome. Celui-ci, théologien de renom, s'était érigé en chef d'une communauté dissidente. Lors de la persécution de Maximin, tous deux furent déportés en Sicile et soumis ensemble aux travaux forcés et probablement couronnés ensemble du martyre, avant 236. Leurs corps furent ensuite rapportés à Rome: Pontien fut enterré au cimetière de Calliste sur la voie Appiene, et Hippolyte, sur la voie Tiburtine.

Martyrologe romain

 

Saint Bénilde

Frère des Ecoles chrétiennes (✝ 1862)

Pierre Romançon de Thuret, saint 'Bénildus',  reçut le jour de sa prise d'habit des frères de Saint-Jean-Baptiste-de-La-Salle (en juin 1820) le nom de cette jeune sainte espagnole, martyrisée en 853 à Cordoue.
Frère BénildeFrère des Écoles chrétiennes à l'âge de seize ans, il fut toute sa vie instituteur en Auvergne, à Riom, à Aurillac, à Clermont. Tout le monde le louait: M. l'inspecteur, M. le maire, M. le curé. Il vécut humblement au service des jeunes pour leur éducation dans la foi et les connaissances humaines, sans souci du lendemain. 
Ces petits riens de chaque jour, Dieu nous donne de les accepter: 'Notre Père céleste qui est bon aujourd'hui le sera encore demain.' Ce fut là sa sainteté, reconnue par tous ceux qui l'approchèrent. 
'L'humble frère Bénilde' est enterré à Saugues (Haute-Loire) là où il a enseigné pendant la plus grande partie de sa vie. En l'église de Saugues, dans une chapelle latérale, un autel, avec châsse et gisant, a été consacré à saint Bénilde.
"Pierre Romançon est entré sous le nom de frère Bénilde dans la famille religieuse des Frères des Écoles Chrétiennes. Il fut instituteur des campagnes. Son abnégation profonde et son observance rigoureuse de la règle de son institut, transfigurées par son affection pour les enfants, furent la marque de sa sainteté. Il enseigna à Saugues de 1841 à sa mort, le 13 août 1862." (source: diocèse Puy en Velay)
A voir aussi, 'Il fit les choses communes d'une manière non commune' (Pie XII) sur le site de la paroisse Saint Benilde en Limagne.
- LaSalle France, site internet des Frères des Ecoles Chrétiennes:
Saint Frère Bénilde et à découvrir à Saugues. 
- Centre de la Margeride 

Présentation vidéo résumant la vie du frère Bénilde réalisée à l'occasion du 200ème anniversaire de sa naissance par un groupe de jeunes de la paroisse (PowerPoint, 36.5 Mb)
Il a été béatifié en 1948 et canonisé en 1967.
À Saugues près du Puy, en 1862, saint Bénilde (Pierre Romançon), frère des Écoles chrétiennes, qui passa toute sa vie à former la jeunesse.

Martyrologe romain

Il aimait dire: "Sans la foi, ce serait un rude métier que le nôtre. Mais tout change avec la foi." 
"Seigneur, tu as mis au coeur de Saint Bénilde la passion de faire connaître l'Évangile aux enfants; suscite encore dans ton église des éducateurs qui se dévouent tout entiers à la formation humaine et religieuse des jeunes." 
(Propre des fêtes du diocèse du Puy)

Saint Cassien

Légende de la gravure
 
Saint Cassien, maître d’école, est livré à la cruauté de ses élèves, qui le font mourir lentement à coups de stylet.
 
Au fond de la cathédrale d’Imola, à côté du tombeau de saint Pierre Chrysologue, l’illustre archevêque de Ravenne, s’élève un autre tombeau, dont les vastes proportions attirent l’attention des visiteurs. Ce monument, que décorent des sculptures d’un grand mérite, a été restauré par Mastaï Ferretti, évêque d’Imola, qui devait plus tard occuper le siège pontifical, sous le nom vénéré de Pie IX.
 
Ce riche mausolée renferme les reliques d’un confesseur de la Foi, dont les poètes ont chanté le glorieux martyre, et que l’Eglise honore à la date du 13 août, sous le nom de saint Cassien.
 
Saint Cassien, martyrisé durant la dixième persécution, pour avoir ouvert une école où il enseignait, avec les règles de la grammaire, les premiers préceptes de la religion chrétienne ; est le patron des maîtres chrétiens persécutés. On doit donc l’invoquer avec plus de ferveur à ce moment où Satan prétend s’emparer de l’enfance, au moyen des écoles sans Dieu. Sa mort glorieuse est un encouragement et un exemple et elle montre à tous ceux qui ont consacré leur vie à l’éducation et à la conservation de l’enfance que si, sur la terre, ils sont parfois en butte au mauvais vouloir et à l’ingratitude des hommes, ils sont appelés à recevoir la récompense plus solide et plus durable que Dieu ne refuse pas à ses serviteurs.
 
Si l’on en croit le témoignage de certains chroniqueurs, saint Cassien aurait été évêque de Brescia. Chassé de son siège épiscopal par la persécution, il aurait été obligé de se retirer à Imola et il aurait ouvert une école, dans cette ville encore païenne. L’iconographie s’emparant de ces traditions confuses, a souvent représenté le saint avec les insignes épiscopaux, et la vieille gravure dont nous donnons le facsimile, fait intervenir un ange qui tient entre ses mains la palme et la mitre, signe qu’on n’attribue qu’aux pontifes martyrs.
 
Cependant nous croyons plus probable que la similitude de nom a fait confondre le martyr d’Imola avec un autre Cassien, évêque de Brescia, qui lui aussi a subi le martyre durant la persécution de Dioclétien.
 
Quelle que soit l’opinion que l’on adopte, le saint voyant que, malgré toutes les prédications, le peuple d’Imola restait obstinément attaché au culte des idoles, résolut de sauver au moins les âmes des enfants, et, dans ce but, il ouvrit une école.
 
Sa réputation de grammairien attira autour de lui une grande affluence de disciples et le maître, dont tout le monde vantait la science et le dévouement, put bientôt exercer un sérieux apostolat en inculquant avec les préceptes de la rhétorique les premières vérités de la Foi.
 
Cependant l’œuvre de l’éducation ne peut point s’accomplir sans labeur et sans fatigue, et, dans l’exercice de ses fonctions, le professeur eut à éprouver bien des difficultés de la part de son auditoire. Bien souvent il se vit contraint de recourir aux réprimandes et aux punitions, et ces mesures de rigueur soulevèrent contre lui la foule des paresseux et des mauvais écoliers.
 
Impatient de s’affranchir d’un joug insupportable, ceux-ci résolurent de se débarrasser d’un maître qu’ils trouvaient trop sévère, et à l’instigation des instituteurs païens, dont les écoles avaient été désertées, ils n’hésitèrent pas à ourdir un abominable complot contre le saint.
 
A ce moment, des édits de persécution venaient d’être portés contre les chrétiens, et sur tous les points de l’empire les disciples du Christ, pourchassés comme des bêtes fauves, étaient condamnés aux plus cruels supplices.
 
Les écoliers, jaloux de satisfaire leurs mesquines vengeances, ne refusèrent pas de jouer le rôle infâme de délateurs et, se portant en foule au tribunal, ils accusèrent leur maître de professer la religion chrétienne.
 
Cette seule dénomination équivalait à un arrêt de mort.
 
Le proconsul qui avait exécuté dans toute leur rigueur les édits de persécutions, jugea que la prison, les chevalets, les verges, les tourments ordinaires ne suffiraient pas à faire expier à Cassien le crime qu’on lui reprochait. Voyant l’acharnement que mettaient ces enfants à poursuivre le saint, il imagina un nouveau supplice dont la seule description fait frémir d’épouvante.
 
Par son ordre, Cassien est attaché dans l’école même où il donnait ses leçons à des disciples indociles, et ceux mêmes qui se sont faits ses accusateurs sont appelés à remplir l’office de bourreau. Et comme les instruments qu’on a l’habitude d’employer pour torturer les autres condamnés ne prolongeraient pas assez le supplice, on arme les mains encore débiles des écoliers, du stylet dont ils se servent pour transcrire les leçons du professeur, et on les jette sur leur maître, enchaîné et impuissant.
 
La gravure que nous avons reproduite dépeint cette scène dans toute son horreur. Les écoliers excités par les sicaires du proconsul s’acharnent avec une joie sauvage sur le maître, qu’ils n’ont plus à redouter, et ils se font un plaisir de cribler son corps de blessures.
 
Le saint en butte aux outrages et aux coups de cette vengeance sans pitié voit couler son sang goutte à goutte, ses forces s’épuisent, son courage seul ne faiblit point, son visage conserve toujours la même expression de douceur, de tristesse, et de résignation ; et le maître, déplorant l’égarement de ceux qui ont si mal profité de son enseignement, se console de l’ingratitude qu’il rencontre sur cette terre en pensant à la gloire immortelle qui l’attend dans les cieux.
 

SOURCE : http://viedessaints.free.fr/vds/cassien.html
 

martyr en Emilie (✝ v. 300)

Il instruisait les enfants qui ne l'aimaient qu'à moitié à cause des châtiments qu'ils recevaient durant leurs études. Découvert comme chrétien, le gouverneur d'Imola le condamna à mort, donnant ce pouvoir aux enfants. Leur supplice fut cruel, car, à cause de leur faiblesse, ces enfants ne purent le tuer qu'en multipliant des coups maladroits et dans un long espace de temps.
Au Forum de Cornelius [Imola] en Émilie, vers 300, saint Cassien, martyr. Maître d'école, il avait refusé d'adorer les idoles et fut livré à ses élèves pour qu'ils le lacèrent à mort avec leurs poinçons, de façon que, plus faibles étaient leurs mains, plus longue fut la torture du martyr.

Martyrologe romain

Saint Pontien

Pape (18e) de 230 à 235 et martyr (✝ 235)

Un pape qui eut à s'affronter à saint Hippolyte qui s'opposait aux réformes entreprises par l'évêque de Rome. Mais l'empereur les réconcilia dans le martyre. Hippolyte fut condamné aux mines en Sicile. Et à quelque temps de là, saint Pontien le fut également, et tous deux, rendirent ainsi ensemble le témoignage de l'unique foi en Jésus-Christ. 
Mémoire des saints martyrs Pontien, pape, et Hippolyte, prêtre de Rome. Celui-ci, théologien de renom, s'était érigé en chef d'une communauté dissidente. Lors de la persécution de Maximin, tous deux furent déportés en Sicile et soumis ensemble aux travaux forcés et probablement couronnés ensemble du martyre, avant 236. Leurs corps furent ensuite rapportés à Rome: Pontien fut enterré au cimetière de Calliste sur la voie Appienne, et Hippolyte, sur la voie Tiburtine.

Martyrologe romain

13 Août
  
Sainte Radegonde

Reine de France
(519-587)

Sainte Radegonde
Sainte Radegonde

Radegonde, fille d'un roi de Thuringe, fut prise par Clotaire, roi des Francs, dans une guerre entre la Thuringe et la France. Clotaire traita la jeune captive avec beaucoup d'égards, la fit instruire dans la religion chrétienne et lui fit conférer le saint Baptême.

Elle eût voulu consacrer à Dieu sa virginité; mais elle dut épouser le roi qui avait massacré sa famille vaincue. Radegonde profita des richesses du trône pour orner les églises, assister les pauvres. Six années passées sur le trône n'avaient point fait renoncer Radegonde à l'espérance de la vie du cloître. L'assassinat de son frère par le roi son époux lui fournit une occasion favorable; Clotaire, fatigué de ses larmes, lui permit de partir.

Elle se rendit d'abord à Noyon, et, comme l'évêque hésitait à recevoir ses voeux, elle se coupa les cheveux elle-même, revêtit la bure des religieuses, déposa ses ornements royaux sur l'autel, et fut consacrée au Seigneur. De là, Radegonde se rendit aux environs de Poitiers et se livra à tous les exercices d'une vie austère; elle ne vivait que de pain de seigle et d'orge, d'herbes et de légumes, et ne buvait pas de vin.

Son vêtement était un cilice, son lit de la cendre; elle servait les pauvres de ses mains, pansait elle-même les malades atteints de la gale et de la teigne, lavait les plaies des lépreux et souvent délivrait les malheureux de leurs infirmités par des miracles. Un cierge reçu d'elle et allumé près d'un malade suffisait à le guérir; en passant par ses mains, les fruits et les aliments prenaient une vertu dont l'effet merveilleux ne tardait pas à se faire sentir. Elle mourut en 587, à l'âge de 68 ans. C'est une des Saintes les plus populaires de la France.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Sainte Radegonde de Wellenbourg

Vierge (✝ 1330)

Radegonde ou Radiane.
Elle fut toute sa vie simple servante au château de Wellenbourg (diocèse d'Augsbourg), et c'est dans cette humble condition, au milieu des travaux, des fatigues et des peines qui en étaient inséparables, qu'elle pratiqua la vertu la plus pure.
Contente de son état de pauvreté et de dépendance envers ses maîtres, elle se trouvait encore plus heureuse qu'une infinité d'autres, et en remerciait souvent le Seigneur dans la sincérité de son coeur. Son premier soin, avant tous les autres, était de remplir avec une scrupuleuse exactitude les devoirs attachés à son service, non en vue des hommes, mais en vue de Dieu, dont elle savait que ses devoirs exprimaient la volonté à son égard. Quant au temps libre qui lui restait, elle l'employait soit à la prière, soit à l'exercice des oeuvres de charité envers les malheureux du pays; elle faisait même toutes les économies qui lui étaient possibles pour en soulager un plus grand nombre. Elle fut accusée auprès de son maître de faire du bien aux pauvres à ses dépens; mais le Seigneur prit soin de la justifier lui-même, et dès lors elle jouit non seulement de la confiance la plus entière, mais encore de l'estime et du respect de tous les habitants du château.
On avait construit depuis peu, à quelque distance de Wellenbourg, un lazaret pour les lépreux, les malades, les pauvres et les voyageurs privés de secours. Sainte Radegonde allait fréquemment leur donner ses soins, et appliquait ses propres gages à l'adoucissement de leurs misères. Comme il fallait traverser, pour s'y rendre, une forêt qui le séparait du château, elle y fut attaquée un jour par des loups, qui la déchirèrent de telle sorte qu'elle en mourut trois jours après. Son maître, désolé, la fit enterrer au côté du lazaret, et fit construire une chapelle sur son tombeau. En 1521, l'archevêque de Salzbourg fit remplacer la chapelle par une très-belle église, qu'il dédia en son honneur. 
(source Histoire universelle de l'Eglise catholique)

St Maxime le Confesseur

père de l’Église († 662) 

Fête le 13 Août

Saint Maxime le Confesseur
Père de l'Église d’Orient
(580-662)

M

axime, auquel la Tradition chrétienne attribua le titre de Confesseur en raison du courage intrépide avec lequel il sut témoigner - « confesser » -, également à travers la souffrance, l'intégrité de sa foi en Jésus Christ, vrai Dieu et vrai homme, Sauveur du monde, naquit en Palestine, la terre du Seigneur, autour de 580.

Dès l'enfance, il fut destiné à la vie monastique et à l'étude des Écritures, également à travers les œuvres d'Origène, le grand maître qui au troisième siècle était déjà parvenu à « fixer » la tradition exégétique alexandrine.

Vers 613-614, il laissa volontairement son poste de haut dirigeant dans l’administration royale,  pour embrasser la vie monastique, en entrant dans le monastère de Chrysopolis, situé sur le détroit du Bosphore, devant Constantinople, puis il passa en Egypte.

En 649, il prit activement part au Concile du Latran, convoqué par le Pape Martin I pour défendre les deux volontés du Christ, contre l'édit de l'empereur, qui - pro bono pacis - interdisait de débattre de cette question. Le Pape Martin paya cher son courage : bien que de santé précaire, il fut arrêté et traduit en justice à Constantinople. Jugé et condamné à mort, il obtint la commutation de sa peine en un exil définitif en Crimée, où il mourut le 16 septembre 655, après deux longues années d'humiliations et de tourments.

Quelques temps plus tard, en 662, ce fut le tour de Maxime, qui, s'opposant lui aussi à l'empereur, continuait à répéter : « Il est impossible d'affirmer dans le Christ une seule volonté! » (cf. PG 91, cc. 268-269). Ainsi, avec deux de ses disciples, tous deux appelés Anastase, Maxime fut soumis à un procès exténuant, alors qu'il avait désormais dépassé l'âge de 80 ans.

Le tribunal de l'empereur le condamna, avec l'accusation d'hérésie, à la mutilation cruelle de la langue et de la main droite - les deux organes avec lesquels, à travers la parole et les écrits, Maxime avait combattu la doctrine erronée de l'unique volonté du Christ. Pour finir, le saint moine fut exilé en Colchide, sur la Mer Noire, où il mourut, épuisé par les souffrances endurées, le 13 août de cette même année 662.

Pour approfondir, lire la Catéchèse du Pape Benoît XVI :
>>>  Saint Maxime le Confesseur
[Allemand, Anglais, Croate, Espagnol, Français, Italien, Portugais]

St Maxime le Confesseur
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