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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Info Vatican: Gêne, et Yemen Message journalier du Pape

Demandons la grâce de nous rappeler chaque jour que nous ne sommes pas oubliés de Dieu, que nous sommes ses enfants bien-aimés, uniques et irremplaçables : nous souvenir de lui nous donne la force de ne pas nous rendre devant les adversités de la vie.

1:30 PM · 14 août 2019Oui grâce à ce fait indéniable, notre force dans la foi est incontournable, même si parfois nous avons quelques secondes de doute. Un père, d'amour, ne renie jamais son enfant, même s'il est turbulent de temps en temps.

 

 

C’est seulement quand nous expérimentons le pardon de Dieu que nous renaissons vraiment. De là on repart, du pardon ; là nous nous retrouvons nous-mêmes : dans la confession de nos péchés.

1:30 PM · 13 août 2019C'est tellement vrai, seul l'expérience du pardon nous fait mesurer cette force magnifique, qui éclaire notre vie après le pardon.
 
Messe de commémoration à Gênes:
«La lumière peut jaillir des décombres»

 

Un an après l'effondrement tragique du pont
Morandi à Gênes dans le nord de l’Italie,
l’heure est aux commémorations sur la
péninsule, mercredi 14 août 2019. En présence
des plus hautes autorités politiques, civiles et
militaires de l’État italien, le cardinal Angelo
Bagnasco, archevêque de la capitale ligurienne,
a délivré une lumineuse homélie, axée sur
«l’espérance pouvant jaillir des décombres».

Delphine Allaire – Cité du Vatican

 «Dans la lumière et les bras de Dieu, prions pour les
anges de la ville, Gênes ne les oubliera jamais…
».
Les mots du cardinal Bagnasco, archevêque de Gênes,
ont ému l’Italie, encore traumatisée par l’effondrement
du pont autoroutier Morandi du nom de l’architecte qui
l’a conçu dans les années 1960, axe essentiel pour les
échanges avec la France mais aussi pour les trajets
locaux. 

La douleur

L’archevêque de Gênes a retracé le fil de
«cette apocalypse», ce moment, où le 14 août 2018,
une portion de 80 mètres de l’autoroute reliant le sud
de la France à la cité italienne tombait dans le vide,
provoquant la mort de 43 personnes et en blessant
16 autres. «Cela nous a laissé à bout de souffle
comme si tout était tombé dans l’obscurité», 
a
affirmé le cardinal Bagnasco. 

«Tous, avec humilité et respect, nous voulons
maintenant serrer les familles des victimes dans nos
bras
», a-t-il assuré, avant de s’arrêter sur l’espérance
pouvant naître de cet océan de douleur.

La lumière des sauveteurs

«Nous avons imprimé dans l'âme une lumière qui a
défié l'obscurité de ce moment funeste; c’est la lumière
des sauveteurs qui ont émergé de partout!»,
 a-t-il
rappelé, non loin des lieux du drame où s’est déroulée
la messe. 

«Miraculeusement présent et opérationnels les
sauveteurs ont bien représenté cette lumière de
l’amour jaillissant des décombres. Pompiers,
bénévoles, autorités ont exprimé l'âme de Gênes,
sa force de ne pas se plier, de ne pas abandonner,
la volonté coriace de renaître»,
 a détaillé le cardinal
italien.  

Démolition, reconstruction

Il y a donc eu cet espoir, «la croyance en un avenir
proche
». Et l’archevêque de la métropole de plus de
580 000 habitants de poursuivre: «La démolition de
la partie restante du pont ressemblait à
l’écroulement définitif de tout un pan d'histoire,
mais la ville se penche vers l'avenir, un avenir que
nous devons regarder ensemble avec honnêteté et
détermination».

Dans un tel contexte, Mgr Bagnasco a invité à
contempler l’Évangile du jour où le Christ affirme
que «là où deux ou trois sont rassemblés en mon
nom, je suis au milieu d’eux».

Ainsi la clé semble résider dans le fait d’espérer, de
travailler et marcher ensemble, en regardant le
bien commun. «Règle d'or pour la Ville», et
«moyen d'honorer les morts, et de garantir la plus
grande présence de l’amour de Dieu
», a-t-il relevé. 
Le pont Morandi sera reconstruit par le fameux
architecte italien Renzo Piano, lui-même originaire
de la cité portuaire.  

Minute de silence

Non seulement la cité portuaire de Ligurie, mais la
péninsule tout entière ont commémoré cet
anniversaire tragique. «J'invite tous les citoyens de
Gênes à participer à la cérémonie en mémoire des
victimes du pont Morandi. Et je demande à ceux
qui ne pourront pas participer, d'observer une
minute de recueillement, où qu'ils soient, à 11H36",
l'heure où le pont s'est écroulé
», avait lancé le
maire de la ville Marco Bucci.

Les cloches de toutes les églises de Gênes ont
ensuite sonné, jointes aux sirènes du port.

14 août 2019, 15:44
Yémen:
Une guerre civile dans la guerre civile?

La ville d'Aden

Le calme semble être revenu à Aden, la grande ville du sud,
après une semaine d’affrontements meurtriers qui ont
opposé les séparatistes sudistes, soutenus par les Émirats
arabes unis, à des soldats du gouvernement de Mansour
Hadi, appuyés par l’Arabie saoudite. Analyse d’un conflit
qui se complexifie.
 

Entretien réalisé par Manuella Affejee- Cité du Vatican

Les combats qui ont débuté mercredi dernier auraient fait une
quarantaine de morts et plus de 250 blessés, dont une majorité de civils.
Ils ont culminé samedi et dimanche avec la prise du palais présidentiel
d’Aden par les séparatistes et les frappes de représailles menées par
l’Arabie saoudite. La force sécessionniste sudiste, appelée «cordon de
sécurité», se dit aujourd’hui prête à respecter un cessez-le-feu et à
participer à une réunion de paix.

Ces combats, qui ne sont pas le premiers du genre, révèlent la grande
complexité de la question yéménite. Depuis l’éclatement du conflit en
2015, les séparatistes qui luttent depuis des années pour l’indépendance
du sud du Yémen, -qui fut autrefois un État indépendant-, ont été
contraints de s’allier avec les Yéménites du Nord contre un ennemi
commun : les Houthis.

Tous appartiennent donc, en théorie, au même camp, celui de la
coalition pro-gouvernementale pilotée par Ryad. Mais les divisions,
ainsi que les rivalités, se font jour, notamment entre l’Arabie Saoudite
et les Émirats arabes unis. Les deux ambivalents partenaires devraient
toutefois réussir à faire taire leurs divergences,  et pour cause : leur
alliance demeure cruciale pour la conduite de la guerre.

L’analyse de Franck Mermier, directeur de recherche au CNRS et ancien
directeur du Centre français d’études yéménites à Sanaa.

 

Le pays vit depuis 4 ans au rythme d’un conflit meurtrier qui a généré
la pire crise humanitaire au monde : des dizaines de milliers de morts,
3,3 millions de déplacés, et 24,1 millions d'habitants, soit 80% de la
population, ayant besoin d'assistance. La malnutrition et les épidémies
de choléra sévissent également au Yémen, menaçant particulièrement
les plus vulnérables, personnes âgées et enfants. 

13 août 2019, 08:45
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