Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
27 Août 2019
« Pardonnez-moi, pardonnez-moi mille fois » : l’écrivain brésilien Paulo Coelho a demandé pardon après les insultes et les propos fort peu diplomatiques envers la France de son président Jair Bolsonaro à l’occasion de la crise autour des feux enAmazonie.
« C’est une vidéo un peu triste pour demander pardon à mes amis français pour la crise, je dirais l’hystérisme de Bolsonaro par rapport à la France, au président de la France, à la femme du président de la France », a déclaré en français Paulo Coelho dans une vidéo postée sur son compte Twitter.
COIN-COIN La propriétaire des volailles doit comparaître le 3 septembre devant le tribunal de Dax
Les caquètements de ses canards valent à une Landaise de comparaître le 3 septembre devant le tribunal de Dax pour y répondre de nuisances sonores, rapporte Sud-Ouest. Son voisin, installé depuis un an, a déposé plainte contre elle, qui vit depuis trente-six ans dans ce quartier de Soustons, dans les Landes, sans que ses volatiles aient posé problème jusque-là.
Ayant choisi de s’installer dans cet endroit pour profiter du calme, le voisin incommodé par les canards explique avoir déjà réalisé des travaux d’isolation pour essayer de se prémunir du bruit, mais en vain. Il pointe aussi d’autres nuisances : les volailles pollueraient le ruisseau attenant, et leur présence attirerait rats et mouches sur son terrain.
Les voisins n’ont pas trouvé de solution à l’amiable. La propriétaire assure que l’acousticien qui s’est déplacé chez elle, à la demande du plaignant, n’a « rien trouvé d’anormal ». L’affaire, qui rappelle celle du coq Maurice en Charente-Maritime ou dela mare aux grenouilles en Dordogne, sera donc tranchée devant les tribunaux.
Les fruits et légumes sont-ils un luxe ? Selon le rapport de l'Observatoire du prix des fruits et des légumes de l'association Familles rurales, ils mangent en tout cas une part conséquente du budget alimentation des ménages. Dans un dossier publié ce lundi 26 août pour la treizième année consécutive, l'organisme remarque que l'injonction des "cinq fruits et légumes par jour" s'élève entre 117 et 222 euros par mois pour une famille de quatre personnes en zone rurale. Avec une observation notable : d'une année sur l'autre, le prix des légumes de base, comme la pomme de terre ou les tomates, a augmenté respectivement de 40 et 30%. Explications et conseils avec le président de l'association, Dominique Marmier.
Marianne : Le prix du panier de huit légumes que vous observez a augmenté de 10% entre 2018 et 2019. Comment l'expliquez-vous ?
Dominique Marmier : L'augmentation des prix des légumes est significative cette année. Cette hausse a deux raisons, toutes deux météorologiques. Nous avons eu un printemps avec des aléas climatiques importants. Il y a eu beaucoup de gel, de gros orages de grêle, des tempêtes qui ont rendu la production de légumes assez délicate. Ce printemps a été suivi d'un été caniculaire. Or, chaque période de forte chaleur est favorable à la consommation. Il y a donc eu une forte hausse de la consommation, face à une production qui n'était pas vraiment à la hausse après des aléas climatiques. Ce double facteur explique ainsi en partie la flambée des prix.
Cela fait désormais plus de dix ans que Familles rurales inspecte les étals de fruits et légumes. Quel est le bilan ?
Depuis dix ans, les prix des légumes sont respectueux de l'inflation. Les légumes ont augmenté de 16,6% en moyenne. Mais ce n'est pas le cas des ménages français : ils n'ont pas forcément suivi l'inflation. Ajoutez à cela que certains postes de dépense ont eux aussi fortement augmenté, des nouvelles technologies aux transports. L'alimentation devient alors facilement une variable d'ajustement dans le budget des ménages. Cette dernière a pourtant des conséquences sur la santé de chacun, et des enjeux environnementaux importants. Avec notre rapport, nous souhaitons alerter les familles et les pouvoirs publics et remettre l'alimentation à sa juste place.
Le rapport pointe beaucoup du doigt les produits supposés "bio" proposés dans les supermarchés...
L'intérêt du bio est supposé être double. Fournir un produit de qualité au consommateur, mais aussi avoir des modes de production respectueux de l'environnement. Voir en grande surface des poires identifiées comme "bio" mais emballées à l'unité et venant d'Argentine et les comparer à des poires conventionnelles produites à côté de chez nous… Il est facile de voir lequel de ces deux produits a le meilleur bilan carbone. Nous voulons rappeler que la consommation du bio ne dispense pas de regarder l'origine des produits, ni leur sur-emballage.
"La consommation du bio ne dispense pas de regarder l'origine des produits, ni leur sur-emballage"
Que conseillez-vous aux familles qui veulent respecter l'injonction des "5 fruits et légumes par jour" sans se ruiner ?
Soyons honnêtes : consommer 5 fruits et légumes par jour, soit environ 400 grammes, est assez difficile. En faisant attention, on peut toutefois parvenir à se nourrir relativement correctement. On ne le répètera jamais assez : il faut acheter des fruits et des légumes de saison. Quand on respecte la saisonnalité des produits, on profite de son pic de production. A ce moment-là, les prix sont en général à la baisse. Il est également nécessaire de faire des choix : la cerise, même en pleine saison, est quasiment devenue un produit de luxe. En 2019, son prix a encore augmenté de 27%. La pomme, par comparaison, est un fruit accessible. Il faut aussi faire attention aux surfaces de vente. Le hard-discount est effectivement moins cher. Mais il m'est difficile de conseiller ces surfaces alors qu'existent les marchés. Ils ont l'avantage de mettre en valeur des producteurs locaux et des réseaux courts. En général, la provenance de leurs produits est plus transparente que ceux disponibles en grande surface. Les prix sont certes plus élevés, mais en achetant moins et mieux, on peut parvenir à concilier l'exigence de santé et de budget.