Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
31 Août 2019
GROUPE UDI-MODEM ÉRIC AZIÈRE, PRÉSIDENT DU GROUPE
Quelle pagaille sur nos trottoirs ! Dix-huit mois après l’arrivée des vélos en flotte libre de toutes origines, et alors que les trottinettes électriques de toutes couleurs ont envahi nos rues et nos trottoirs depuis un an, les Parisiens subissent chaque jour l’accumulation de ces engins qui, quand ils ne vous frôlent pas à vive allure sur les trottoirs, sont négligemment laissés à l’abandon sur l’espace public, dans un mikado de tubes métalliques. Face à l’arrivée massive de nombreux opérateurs, la mairie de Paris a privilégié le laisser-faire plutôt que l’encadrement. Consciemment ou non, la Ville cherche à faire oublier ses échecs répétés en matière de mobilité douce, qu’il s’agisse du fiasco du nouveau Vélib’, de l’abandon d’Autolib’ ou des retards conséquents du Plan vélo, dont à peine un quart des pistes cyclables prévues sont ouvertes, en oubliant les piétons.
De fait, par son inaction, la maire de Paris a une nouvelle fois réussi à dresser des Parisiens les uns contre les autres, usagers des nouvelles mobilités contre piétons excédés, contribuant à la pagaille de l’espace public plutôt qu’à son partage. Si le groupe UDI-MoDem a demandé à plusieurs reprises que soit mis en place un règlement, rien n’a été fait, ou si peu, la Ville se réfugiant derrière la loi sur les mobilités en cours d’élaboration, prétextant n’avoir aucun autre moyen d’action. Et puis soudainement, l’échéance électorale approchant et alors même que cette loi est toujours en discussion au Parlement, la maire a enfin signé mi-mai avec les opérateurs la charte de bonnes pratiques attendue depuis près d’un an et commencé à verbaliser, à grand renfort de communication, les usagers indélicats. Cette réaction tardive ne suffira pas à masquer l’échec de la maire de Paris dans l’intégration de ces nouveaux modes de déplacement, lesquels peuvent pourtant, bien encadrés, devenir des acteurs utiles de la mobilité parisienne, dans une Ville dense au réseau de transports en commun sursaturé. Ce nouveau revers vient un peu plus alourdir le bilan de la maire de Paris en matière de déplacements, lequel restera, à n’en pas douter, comme le principal boulet de cette mandature.
GROUPE LES RÉPUBLICAINS ET INDÉPENDANTS FLORENCE BERTHOUT, PRÉSIDENTE DU GROUPE
Avec la Région, des solutions pour réduire la pollution En matière de développement durable, il n’y a pas de progrès sans adhésion. La bataille contre la pollution ne se gagnera pas à coup d’interdictions mal comprises, mais en bâtissant des solutions attractives pour privilégier les comportements vertueux. Seule une politique volontariste de développement des transports en commun permettra d’endiguer la pollution automobile. Depuis bientôt quatre ans, la Région Île-de-France accomplit un véritable plan Marshall sous l’impulsion de Valérie Pécresse pour rendre les transports attractifs. Ce sont d’abord des transports plus confortables et plus fiables grâce au remplacement ou à la rénovation de tout le matériel roulant d’ici 2021. Ce sont plus de 1200 bus propres, électriques ou GNV, qui vont être déployés dans Paris et sa proche couronne pour mettre au rebut les bus Diesel commandés jusqu’en 2013 par la précédente majorité régionale. Ce sont des transports plus sûrs et plus propres, avec 8 M€ supplémentaires pour renforcer les ac-tions de propreté et 700 agents de sécurité en plus sur les réseaux RATP et SNCF. Ce sont enfin des transports qui s’adaptent au rythme de vie des Parisiens. A la rentrée prochaine, l’expérimentation de l’ouverture du métro la nuit sera lancée un samedi par mois sur les lignes 1, 2, 5, 6, 9 et 14. Depuis 2016, le réseau de bus de nuit Noctilien a été renforcé avec 11 nouvelles lignes. Cela faisait soixante-dix ans que le plan du réseau de bus parisien n’avait pas été modifié. Depuis le 20 avril dernier, à l’issue d’une importante concertation, les cinq nouvelles lignes et les cinquante lignes modifiées répondent mieux aux attentes des usagers. Centdix bus supplémentaires ont été déployés et 700 chauffeurs recrutés pour accroître la fréquence des bus. La Région développe aussi des solutions pour limiter l’usage de la voiture dans Paris : création de 1000 places de stationnement à tarif préférentiel aux portes de Paris, développement de consignes à vélo sécurisées, mise en place d’une aide innovante au covoiturage. > Retrouver le détail de nos propositions sur notre site : groupelri.p