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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux:Aimée et à toutes les Saintes âme du 13 septembre

Vendredi 13 septembre 2019

Bonne Fête aux:  Aimé
Dictons
Septembre humide, pas de tonneaux vides.

Saint Aimé

évêque de Sion (✝ v. 690)

ou Amé de Sion (et non de Sens).
Il s'acquitta de ce ministère pastoral avec grand soin, veillant assidûment sur son peuple, et en particulier les plus pauvres et les moins instruits. Il connut la disgrâce et l'exil à Péronne, puis dans un monastère de Flandre. Il accepta cela comme une grâce de Dieu.
- Paroisse Saint-Morand-Saint-Amé à Douai, nos saints patrons
Depuis plus d'un millénaire, Saint Maurand et Saint Amé se trouvent réunis dans la prière des douaisiens qui se confièrent à eux tout au long de leur histoire et de leurs épreuves. Maurand et Amé restent liés aux origines de la ville de Douai, vers la fin du VIIe siècle. Maurand, fils de Sainte Rictrude et notable de Douai, jouissait d'une autorité qui lui avait été conférée par le roi. A ce titre, on lui confie la garde d'un prisonnier, Amé, évêque exilé de sa ville de Sion en raison de sa participation à un complot politique. Amé, condamné à une vie de pénitent, purge sa peine dans la cellule d'une abbaye, conformément aux lois de l'époque. Maurand se laisse impressionner par la vie exemplaire de ce prisonnier: il éprouve à l'égard d'Amé une telle estime qu'il finit par lui confier la responsabilité de ce monastère, celui-là même où il avait été condamné à la réclusion.
A la mort de Maurand, c'est Amé qui reprend la direction du monastère. C'est ainsi que Maurand et Amé furent unis dans la vénération des moines comme leurs communs protecteurs et que cette vénération fut transmise aux douaisiens. En plébiscitant largement Saint Maurand Saint Amé comme patrons de leur paroisse nouvelle, les chrétiens de Douai centre ont manifesté le désir de garder à la source de leur vie chrétienne un puissant triptyque évangélique: un proscrit accueilli; un pénitent rentre en grâce; un prisonnier révèle à son geôlier un chemin de sainteté.

Un internaute nous signale que, lors des invasions normandes, les reliques de saint Amé ont été transférées à Douai, dont il est devenu l'un des patrons. C'est grâce à la vie de sainte Rictrude, écrite par Hucbald de Saint-Amand, au Xe siècle, que nous connaissons relativement bien saint Amé.
Au monastère de Bruel sur la Lys, dans le pays de Thérouanne, vers 690, le trépas de saint Amé, évêque de Sion en Suisse. Envoyé en exil sur l'ordre du roi Théodoric III, il mourut là quelques années plus tard.

Martyrologe romain

Saint Aimé

Ermite à Remiremont - Premier Abbé du Saint-Mont (✝ v. 629)

ou Amé.
Né à Grenoble, il fut d'abord moine à Saint Maurice en Valais puis à Luxeuil. Il rencontra le comte Romaric lors d'une prédication à Metz. Celui-ci lui donna un grand domaine et, ensemble, ils y fondèrent deux abbayes, l'une d'hommes, l'autre de femmes (Remiremont - Romarici Mons) Il y établit l'office perpétuel.
Il passa ses dernières années dans une grotte, au fond d'une crevasse où on lui descendait la nourriture au bout d'une corde.
vitrail - saint Amé - diocèse de Saint-DiéLa localité voisine conserve sa mémoire : 88120 Saint Ame ainsi que 88200 Remiremont.
Voir aussi sur le site internet du diocèse de Saint-Dié , le début de l'évangélisation du pays de Remiremont:
"Amé ou Aimé naît à Grenoble vers 570. Adolescent, il entre à l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune (Suisse). Il y vit pendant trente ans en moine exemplaire, puis se retire comme ermite dans une grotte. Saint Eustase le décide à l'accompagner à Luxeuil.
D'une mission prêchée à Metz, il ramène Romaric. Vers 620, Amé et Romaric gagnent le Mont Habend (futur Saint Mont). Sous la règle de Saint Colomban, ils y fondent deux monastères de moines et de moniales. 'La louange perpétuelle' est assurée par sept chœurs de religieuses. Amé en est le premier abbé.
Il meurt le 13 septembre 629. Romaric, devenu prêtre, lui succède. Il s'éteint à son tour le dimanche 8 décembre 653. Adelphe devient le 3e abbé. C'est le début de l'évangélisation du pays de Remiremont. Le 13 novembre 1049, le pape lorrain Saint Léon IX canonise les 'Corps Saints' par la translation de leurs reliques."
A lire aussi: Saint Amé (Amatus) (vers 560 - vers 628) Moine du monastère de Luxeuil - Ermite au monastère de Saint Maurice d'Agaune (Valais, Suisse) Fondateur avec Romaric du monastère du Mont Habend près de Remiremont (Vosges). (site internet des amis de saint Colomban)
Dans les Vosges, au monastère de Remiremont, vers 629, saint Amé, prêtre et abbé. Célèbre par ses austérités, ses jeûnes et son amour de la solitude, il gouverna dignement le monastère qu'il avait construit à Habend avec saint Romaric.

Martyrologe romain

Dieu ami des humbles
tu as appelé les saints Amé, Romaric et Adelphe
à mener une vie fraternelle
dans la prière et le partage ;
Fais-nous la grâce de vivre comme eux
attentifs les uns aux autres,
à l'écoute de l'Esprit que tu nous a donné.

Saint Jean Chrysostome
Évêque et Docteur de L'église
(v. 344-407)

J

ean, surnommé Chrysostome, c'est-à-dire Bouche d'Or, à cause de la force et de la beauté de son éloquence, naquit à Antioche, vers l'an 344. Veuve à vingt ans, sa mère n'épargna rien pour lui donner une brillante éducation. Doué d'un génie supérieur, objet de l'admiration universelle, incliné au plaisir, Jean fut ramené à la réalité des choses et conquis à la perfection de l'Évangile par l'amitié fidèle d'un jeune homme de son âge, qui fut saint Basile. Noble exemple de l'apostolat qu'un véritable ami peut exercer dans son entourage ! L'amitié des deux jeunes gens ne fit que s'accroître par l'union désormais parfaite des pensées et des aspirations.
Devenu clerc de l'église d'Antioche, Chrysostome renonce complètement aux vanités du siècle ; il ne paraît qu'avec une tunique pauvre ; la prière, la méditation, l'étude de l'Écriture Sainte, partagent son temps. Il jeûne tous les jours et prend sur le plancher de sa chambre le peu de sommeil qu'il accorde à son corps, après de longues veilles. S'élevant par degré dans les fonctions ecclésiastiques, il devient l'œil, le bras, la bouche de son évêque. Son éloquence est si grande que toute la ville accourt à ses premières prédications où il y a souvent jusqu'à cent mille auditeurs à l'entendre.

À trente ans, Chrysostome fuit, dans la vie monastique, l'épiscopat auquel, plus tard, il ne pourra échapper. C'est en 398, qu'il est emmené de force à Constantinople et sacré patriarche de la ville impériale. Son zèle, l'indépendance de son langage ne furent égalés que par sa charité ; son éloquence séduisante, qui brillait alors de tout son éclat, attirait les foules autour de sa chaire ; il ranimait la foi au cœur des fidèles et convertissait une multitude de personnes. L'éloquence de l'orateur dévoilait le cœur d'un père, d'un apôtre et d'un saint.

Dieu permit que la croix vienne achever en Chrysostome l'œuvre de la perfection. Le courage invincible du Pontife, sa liberté à flétrir les désordres de la cour, lui valurent l'exil. En quittant Constantinople, il fit porter à l'impératrice cette fière réponse : « Chrysostome ne craint qu'une chose : ce n'est ni l'exil, ni la prison, ni la pauvreté, ni la mort, c'est le péché. » Il mourut en exil, victime des mauvais traitements de ses ennemis. Bien qu'il ne porte pas le titre de martyr, il en a tout le mérite et toute la gloire.

Saint Lidoire

Evêque de Tours (✝ 371)

Saint Lidoire fondateur de la première cathédrale de Tours qui vit le sacre de saint Martin et le 'miracle du globe de feu' (*).
A découvrir:
saint Lidoire fondateur de la première cathédrale de Tours.
Liste des Évêques de Tours.
(*) à lire dans la légende dorée de Jacques de Voragine.
À Tours, en 371, saint Lidoire, évêque. De son temps, les chrétiens étaient assez nombreux pour qu'il pût construire la première église dans les murs de la ville.

Saint Marcellin de Carthage

Martyr en Tunisie (✝ 413)

Quand les empereurs romains persécutaient les chrétiens, beaucoup sacrifièrent leur vie ou leur liberté pour la foi. Mais il y en eut, même des prêtres, qui renièrent le Christ, la mort dans l'âme sans doute, mais par peur ou par faiblesse de caractère. Quand revint la paix de l'Église, on se posa la question suivante: fallait-il réintégrer dans l'Église et dans le sacerdoce ceux qui avaient abjuré leur foi sous la menace? Les donatistes (du nom de leur meneur, Donat) jugeaient que non. Quand l'Église choisit de faire miséricorde, ils firent sécession. Un siècle plus tard, la guerre civile entre catholiques et donatistes durait toujours dans la province d'Afrique. L'empereur Honorius chargea alors le légat impérial Marcellin d'organiser une conférence contradictoire entre les deux partis. C'était un homme très cultivé et ce fut pour répondre à ses questions que saint Augustin écrivit plusieurs de ses ouvrages comme "De la rémission des péchés". La conférence de 410 à Carthage, que Marcellin préside avec équité malgré les pressions, condamne les donatistes. Ils ne lui pardonneront pas. Peu après, ils accusèrent le fidèle fonctionnaire romain de complot contre l'empereur. Malgré les intervention de saint Augustin, son ami qui lui dédie "la Cité de Dieu", le légat sera exécuté à Carthage en 413.
À Carthage, en 413, saint Marcellin, martyr. Tribun, légat de l'empereur Honorius, ami de saint Augustin et de saint Jérôme, homme de grande piété, il fut impliqué dans la révolte du comte d'Afrique Hilarien et condamé comme criminel d'État ; en réalité, il était poursuivi par les donatistes en raison de sa défense de la foi catholique et fut mis à mort, alors qu'il était innocent.

Martyrologe romain

Saint Nectaire

évêque d'Autun (VIe siècle)

 

ou Nectarius.
Evêque d'Autun, successeur d'Agrippin, et ami de saint Germain de Paris qu'il nomma abbé de Saint Symphorien d'Autun.

13 Septembre
  
Saint Maurille

Évêque d'Angers
(336-426)

Saint Maurille
Saint Maurille

Saint Maurille, né aux environs de Milan, fut attiré à Tours par les vertus de saint Martin, auprès duquel il exerça pendant plusieurs années les fonctions de chantre aux divins offices; puis, élevé à la prêtrise, il se dévoua au salut des âmes. Son zèle le conduisit près d'Angers, où, par ses prières, il fit descendre le feu du ciel sur un temple païen, et construisit ensuite à la place une église de Jésus-Christ. Il bâtit même à côté un monastère; bientôt vint se fixer alentour une population qui donna naissance à la ville de Chalonne.

A la mort de l'évêque d'Angers, Maurille lui succéda, par le choix de saint Martin lui-même. Au jour de sa consécration, une colombe descendit visiblement sur sa tête. Quelques années plus tard, un fait étrange arriva. Pendant la consécration de la Messe célébrée par le pontife, on apporta en toute hâte un enfant mourant, pour qu'il reçut la Confirmation; le Saint attendit la fin du Sacrifice, mais pendant ce temps l'enfant mourut, et Maurille en conçut un si grand chagrin, qu'il s'enfuit sans avertir personne et s'embarqua pour l'Angleterre, où il se gagea comme jardinier chez un riche seigneur.

Ses diocésains, dont la douleur était inconsolable, le firent si bien rechercher, qu'on découvrit sa retraite; mais il refusa de revenir au milieu de son troupeau, disant: "Je ne puis; car ayant perdu sur mer les clefs des reliques de ma cathédrale, que j'avais emportées par mégarde, j'ai fait serment de ne plus paraître à Angers avant de les avoir retrouvées. – Les voici, lui dirent les envoyés; pendant notre traversée, un poisson fut jeté sur le pont du navire par la vague, et dans son ventre on a trouvé ces clefs." Maurille obéit à la Volonté du Ciel. A son retour, il se fit conduire au tombeau de l'enfant, et, les yeux baignés de larmes, il demanda à Dieu de lui rendre la vie. Le petit ressuscité reçut, à cause de cette seconde naissance, le nom de René, et fut le successeur de Maurille sur le siège d'Angers.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

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