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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Adorons le Seigneur, il est notre Dieu. Il envoie, en avant de lui, ses messagers à nous de choisir

OFFICE DES LAUDES
INTRODUCTION
V/ Seigneur, ouvre mes lèvres,
R/ et ma bouche publiera ta louange.
ANTIENNE INVITATOIRE

Adorons le Seigneur, il est notre Dieu.

PSAUME INVITATOIRE : (94)

1 Venez, crions de joie pour le Seigneur,
acclamons notre Rocher, notre salut !
2 Allons jusqu'à lui en rendant grâce,
par nos hymnes de fête acclamons-le !

3 Oui, le grand Dieu, c'est le Seigneur,
le grand roi au-dessus de tous les dieux :
4 il tient en main les profondeurs de la terre,
et les sommets des montagnes sont à lui ;
5 à lui la mer, c'est lui qui l'a faite,
et les terres, car ses mains les ont pétries.

6 Entrez, inclinez-vous, prosternez-vous,
adorons le Seigneur qui nous a faits.
7 Oui, il est notre Dieu ; +
nous sommes le peuple qu'il conduit,
le troupeau guidé par sa main.

Aujourd'hui écouterez-vous sa parole ? +
8 « Ne fermez pas votre cœur comme au désert,
comme au jour de tentation et de défi,
9 où vos pères m'ont tenté et provoqué,
et pourtant ils avaient vu mon exploit.

10 « Quarante ans leur génération m'a déçu, +
et j'ai dit : Ce peuple a le cœur égaré,
il n'a pas connu mes chemins.
11 Dans ma colère, j'en ai fait le serment :
Jamais ils n'entreront dans mon repos. »

HYMNE : BÉNI DE DIEU

D. Rimaud — CNPL

Béni de Dieu
En qui le Père se complaît,
Tu es venu
baptiser l’homme dans ta mort,
Et le Jourdain baigna ton corps.
Ô viens, Seigneur Jésus !
Justice du Royaume ;
Que nous chantions pour ton retour :

R/Béni soit au nom du Seigneur
Celui qui vient sauver son peuple !

Rocher nouveau
D’où sort le Fleuve de la vie,
Tu es venu
abreuver ceux qui croient en toi,
Et tu laissas s’ouvrir ton cœur.
Ô viens, Seigneur Jésus
Fontaine intarissable ;
Que nous chantions pour ton retour :

R/Béni soit au nom du Seigneur
Celui qui vient sauver son peuple !
ANTIENNE

Envoie ta lumière et ta vérité : qu’elles guident mes pas !

PSAUME : 42

1 Rends-moi justice, ô mon Dieu, défends ma cause
   contre un peuple sans foi ; *
de l'homme qui ruse et trahit,
   libère-moi.

2 C'est toi, Dieu, ma forteresse :
   pourquoi me rejeter ? *
Pourquoi vais-je assombri,
   pressé par l'ennemi ?

3 Envoie ta lumière et ta vérité :
   qu'elles guident mes pas *
et me conduisent à ta montagne sainte,
   jusqu'en ta demeure.

4 J'avancerai jusqu'à l'autel de Dieu,
   vers Dieu qui est toute ma joie ; *
je te rendrai grâce avec ma harpe,
  Dieu, mon Dieu !

R/ 5 Pourquoi te désoler, ô mon âme,
   et gémir sur moi ? *
Espère en Dieu ! De nouveau je rendrai grâce :
   il est mon sauveur et mon Dieu !

ANTIENNE

Tu me guériras, tu me feras vivre, et je chanterai ta louange.

PSAUME : CANTIQUE D'ÉZÉKIAS (IS 38)

10 Je disais : Au milieu de mes jours,
   je m'en vais ; *
j'ai ma place entre les morts
   pour la fin de mes années.

11 Je disais : Je ne verrai pas le Seigneur
   sur la terre des vivants, *
plus un visage d'homme
   parmi les habitants du monde !

12 Ma demeure m'est enlevée, arrachée,
   comme une tente de berger. *
Tel un tisserand, j'ai dévidé ma vie :
   le fil est tranché.

Du jour à la nuit, tu m'achèves ;
13 j'ai crié jusqu'au matin. *
Comme un lion, il a broyé tous mes os.
   Du jour à la nuit, tu m'achèves.

14 Comme l'hirondelle, je crie ;
   je gémis comme la colombe. *
À regarder là-haut, mes yeux faiblissent :
   Seigneur, je défaille ! Sois mon soutien !

15 Que lui dirai-je pour qu'il me réponde,
   à lui qui agit ? *
J'irais, errant au long de mes années
   avec mon amertume ?

17 Oui, tu me guériras, tu me feras vivre : *
mon amertume amère me conduit à la paix.

Et toi, tu t'es attaché à mon âme,
   tu me tires du néant de l'abîme. *
Tu as jeté, loin derrière toi,
   tous mes péchés.

18 La mort ne peut te rendre grâce,
ni le séjour des morts, te louer, *
Ils n'espèrent plus ta fidélité,
ceux qui descendent dans la fosse.

19 Le vivant, le vivant, lui, te rend grâce,
   comme moi, aujourd'hui. *
Et le père à ses enfants
   montrera ta fidélité.

20 Seigneur, viens me sauver ! +
Et nous jouerons sur nos cithares,
   tous les jours de notre vie, *
auprès de la maison du Seigneur.

ANTIENNE

Heureux ton familier, ton élu, il habite ta demeure.

PSAUME : 64
2 Il est beau de te louer,
Dieu, dans Sion, *
de tenir ses promesses envers toi
3 qui écoutes la prière.

Jusqu’à toi vient toute chair
4 avec son poids de péché ; *
nos fautes ont dominé sur nous :
toi, tu les pardonnes.

5 Heureux ton invité, ton élu :
il habite ta demeure ! *
Les biens de ta maison nous rassasient,
les dons sacrés de ton temple !

6 Ta justice nous répond par des prodiges,
Dieu notre sauveur, *
espoir des horizons de la terre
et des rives lointaines.

7 Sa force enracine les montagnes,
il s’entoure de puissance ; *
8 il apaise le vacarme des mers,
le vacarme de leurs flots
et la rumeur des peuples.

9 Les habitants des bouts du monde sont pris d’effroi
à la vue de tes signes ; *
aux portes du levant et du couchant
tu fais jaillir des cris de joie.

10 Tu visites la terre et tu l’abreuves,
tu la combles de richesses ; *
les ruisseaux de Dieu regorgent d’eau :
tu prépares les moissons.

Ainsi, tu prépares la terre,
11 tu arroses les sillons ; *
tu aplanis le sol, tu le détrempes sous les pluies,
tu bénis les semailles.

12 Tu couronnes une année de bienfaits ; *
sur ton passage, ruisselle l’abondance.
13 Au désert, les pâturages ruissellent, *
les collines débordent d’allégresse.

14 Les herbages se parent de troupeaux +
et les plaines se couvrent de blé. *
Tout exulte et chante !
PAROLE DE DIEU : (1 TH 5, 4-5)
Frères, puisque vous n’êtes pas dans les ténèbres, le jour du Seigneur ne vous surprendra pas comme un voleur. En effet, vous êtes tous des fils de la lumière, des fils du jour ; nous n’appartenons pas à la nuit et aux ténèbres.
RÉPONS

R/ En toi est la source de la vie,

 

* Par ta lumière, nous voyons la lumière.

 

V/ Seigneur, qu’il est précieux, ton amour. *

 

Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit. R/

ANTIENNE DE ZACHARIE

Changez votre cœur, devenez comme des enfants, et vous entrerez dans le Royaume.

CANTIQUE DE ZACHARIE ( LuC 1)

68 Béni soit le Seigneur, le Dieu d'Israël,
qui visite et rachète son peuple.

69 Il a fait surgir la force qui nous sauve
dans la maison de David, son serviteur,

70 comme il l'avait dit par la bouche des saints,
par ses prophètes, depuis les temps anciens :

71 salut qui nous arrache à l'ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,

72 amour qu'il montre envers nos pères,
mémoire de son alliance sainte,

73 serment juré à notre père Abraham
   de nous rendre sans crainte,

74 afin que, délivrés de la main des ennemis, +
75 nous le servions dans la justice et la sainteté,
en sa présence, tout au long de nos jours.

76 Et toi, petit enfant, tu seras appelé
   prophète du Très-Haut : *
tu marcheras devant, à la face du Seigneur,
   et tu prépareras ses chemins

77 pour donner à son peuple de connaître le salut
par la rémission de ses péchés,

78 grâce à la tendresse, à l'amour de notre Dieu,
quand nous visite l'astre d'en haut,

79 pour illuminer ceux qui habitent les ténèbres
   et l'ombre de la mort, *
pour conduire nos pas
   au chemin de la paix.

INTERCESSION

Par le Fils, et dans l’Esprit,
adressons notre prière au Père qui nous aime :


R/

Fais-nous vivre de ton Esprit.

 

Au matin du monde,
ton Esprit sur les eaux éveillait la vie.
— Éveille-nous à ta louange, pour ton service.

 

À l’aube du salut,
ton Esprit en Marie formait le Messie. 
— Forme-nous à l’obéissance, pour ton règne.

 

Au jour de la Pentecôte,
ton Esprit parlait par la bouche des Apôtres. 
— Mets sur nos lèvres la parole qui sauve.

 

Au matin de ce jour,
l’Esprit travaille en nous. 
— Qu’il habite nos prières et féconde nos efforts.

NOTRE PÈRE
ORAISON

Dieu qui ouvres ton Royaume aux petits et aux humbles, donne-nous de marcher avec confiance sur les pas de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, pour obtenir ainsi la révélation de ta gloire.

 

LECTURES DE LA MESSE
PREMIÈRE LECTURE
« Des peuples nombreux viendront à Jérusalem chercher le Seigneur » (Za 8, 20-23)

Lecture du livre de Zacharie le prophète

Ainsi parle le Seigneur de l’univers :
Voici que, de nouveau, des peuples afflueront,
des habitants de nombreuses villes.
    Les habitants d’une ville iront dans une autre ville
et diront :
« Allons apaiser la face du Seigneur,
allons chercher le Seigneur de l’univers !
Quant à moi, j’y vais. »
    Des peuples nombreux et des nations puissantes
viendront à Jérusalem
chercher le Seigneur de l’univers
et apaiser sa face.
    Ainsi parle le Seigneur de l’univers :
En ces jours-là, dix hommes de toute langue et de toute nation
saisiront un Juif par son vêtement et lui diront :
« Nous voulons aller avec vous,
car nous avons appris que Dieu est avec vous. »

            – Parole du Seigneur.

PSAUME
(Ps 86 (87), 1-3, 4, 5, 6-7)

R/ Dieu est avec nous. (cf. Za 8, 23)

Elle est fondée sur les montagnes saintes.
Le Seigneur aime les portes de Sion
plus que toutes les demeures de Jacob.
Pour ta gloire on parle de toi, ville de Dieu !

« Je cite l’Égypte et Babylone
entre celles qui me connaissent. »
Voyez Tyr, la Philistie, l’Éthiopie :
chacune est née là-bas.

Mais on appelle Sion : « Ma mère ! »
car en elle, tout homme est né.
C’est lui, le Très-Haut, qui la maintient.

Au registre des peuples, le Seigneur écrit :
« Chacun est né là-bas. »
Tous ensemble ils dansent, et ils chantent :
« En toi, toutes nos sources ! »

ÉVANGILE
« Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem » (Lc 9, 51-56)

Alléluia. Alléluia.
Le Fils de l’homme est venu pour servir,
et donner sa vie en rançon pour la multitude.
Alléluia. (cf. Mc 10, 45)

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Comme s’accomplissait le temps
où il allait être enlevé au ciel,
Jésus, le visage déterminé,
prit la route de Jérusalem.
    Il envoya, en avant de lui, des messagers ;
ceux-ci se mirent en route
et entrèrent dans un village de Samaritains
pour préparer sa venue.
    Mais on refusa de le recevoir,
parce qu’il se dirigeait vers Jérusalem.
    Voyant cela, les disciples Jacques et Jean dirent :
« Seigneur, veux-tu que nous ordonnions
qu’un feu tombe du ciel et les détruise ? »
    Mais Jésus, se retournant, les réprimanda.
    Puis ils partirent pour un autre village.

            – Acclamons la Parole de Dieu.

Jésus, sauveur de tous les hommes

Méditation de l’Evangile du mardi 1er octobre

Jésus est venu sauver. Il continuera donc sa route vers un autre bourg. Les apôtres veulent une efficacité immédiate, réduire les opposants, et Lui, le Seigneur, regarde l’échec supporté, sans vengeance, comme le chemin de la victoire. Dieu n’est pas pressé.

Un jour, éreinté par la route, Il est mis à la porte par les Samaritains qui ne veulent pas Le recevoir, parce qu’Il faisait route vers Jérusalem !… Jacques et Jean veulent sur-le-champs tirer vengeance de l’insulte, et Lui, trouve dans son cœur cette réponse :

« Vous ne savez pas de quel esprit vous êtes : le Fils de l’homme n’est pas venu perdre, mais sauver les âmes des hommes »

Nous touchons du doigt ce qu’est pour le Seigneur l’efficacité du salut. Elle n’est pas la réussite – On ne le reçoit pas…Il refuse toute action violente qui perdrait les âmes.

Il est venu sauver. Il continuera donc sa route vers un autre bourg. Les apôtres veulent une efficacité immédiate, réduire les opposants, et Lui, le Seigneur, regarde l’échec supporté, sans vengeance, comme le chemin de la victoire. Dieu n’est pas pressé.

Face au salut des hommes, Jésus ne tient pas compte des injures. Il refuse catégoriquement de se servir de sa puissance pour se venger des Samaritains qui n’ont pas voulu le recevoir. Par contre, comme nos réactions et nos paroles ressemblent fort à celles de Jacques et de Jean, les fils du tonnerre…

« Seigneur, veux-tu que nous disions qu’un feu descende du ciel et les consume ? »

Et comme eux, nous méritons les reproches du Seigneur : « Vous ne savez pas de quel esprit vous êtes, »

Nous perdons au lieu de sauver, éternels redresseurs de torts, plus enclins aux croisades qu’à la patience.


Père Gabriel

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