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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

bonne fête aux Faustine et aux très Saintes âmes du 5 octobre

Voir l'article spéciale Ste Faustine Kowalska

Sainte Faustine

Marie Faustine - Hélène Kowalska - religieuse à Cracovie (✝ 1938)

Miséricorde divine"Sœur Marie Faustine, apôtre de la Miséricorde Divine, compte aujourd'hui parmi les Saints les plus célèbres de l'Église. Par son intermédiaire, le Seigneur Jésus transmet au monde entier Son grand message de la Miséricorde Divine et montre un modèle de perfection chrétienne fondée sur la confiance en Dieu et sur une attitude miséricordieuse envers le prochain." sa vie, site du Vatican
Canonisation de la bienheureuse Maria Faustyna Kowalska, Homélie du pape Jean Paul II, le dimanche 30 avril 2000.
Voir aussi Sainte Faustine (1905 - 1938) Une sainte pour notre temps (site de l'Église catholique en France)
Illustration: tableau de Jésus miséricordieux, "Par cette image j'accorderai beaucoup de grâces; que chaque âme ait donc accès à elle" (PJ 570) Congrégation des Sœurs de Jésus Miséricordieux.
Sainte Marie-Faustine (Hélène Kowalska), vierge, de la Congrégation des Sœurs de la Vierge Marie de la Miséricorde, fut très empressée à faire connaître le mystère de la miséricorde divine à Cracovie.

Jubilé de la miséricorde

Si nous demandions à sainte Faustine: dis-nous quel est ton secret, le secret de ta vie, de ton cheminement spirituel, je pense qu'elle répondrait immédiatement: l'amour de Jésus.

Mgr Albert-Marie de Monléon, évêque de Meaux, coordinateur du Congrès national de la Miséricorde en France.

Saint Jaïro

canonisé par la tradition populaire (Ier siècle.)

ou Jaïre.
Chef de la synagogue qui demanda à Jésus de guérir sa fille. En fait, elle était morte et Jésus, à la demande de son père, la ressuscita. (Marc 5.22 et ss).
Ce prénom est parfois donné en Amérique Latine, principalement en Colombie et au Vénézuéla.
Jaïre est ainsi canonisé par la tradition populaire, en raison sans doute de la mortalité infantile très fréquente autrefois dans ces régions.

Saint Placide

Disciple de saint Benoît de Nursie (VIe siècle)

Pendant cinq siècles, les bénédictins l'honorèrent comme un saint serviteur de Dieu. Il ne fut ni évêque, ni martyr. Saint Grégoire le Grand, dans ses "Dialogues" nous apprend qu'il avait été confié très jeune à saint Benoît qui l'emmena avec lui à Subiaco puis au Mont-Cassin où il serait mort dans son lit. Mais au XIIe siècle, d'autres bénédictins de Sicile voulurent en faire un martyr sicilien, lui inventèrent une "passion". Placide serait venu du Mont-Cassin à Messine où des pirates envahirent son monastère et torturèrent les moines. A la fin du XVIe siècle, parmi des squelettes découverts à Messine, l'on attribua l'un ou l'autre à ces pauvres moines. L'histoire est plus sobre. Saint Placide mourut bien au Mont-Cassin.
Commémoraison des saints Maur et Placide, moines, qui furent, dès leur enfance, des disciples très chers de l'abbé saint Benoît, au VIe siècle.

Martyrologe romain

Saint Placide et ses Compagnons

Martyrs
(518-542)

Saint Placide et ses Compagnons
Saint Placidesauvé par saint Maur

Saint Placide appartenait par sa naissance à une des plus anciennes et des plus célèbres familles de Rome. Il fut confié, âgé de sept ans, à saint Benoît, pour être élevé à Subiaco, sous sa conduite. On le voit dès lors pratiquer rigoureusement les exercices de la vie monastique. L'obéissance l'ayant envoyé un jour chercher de l'eau dans le lac voisin, il tombe et est entraîné par les flots. Benoît, du fond de son monastère, a la connaissance miraculeuse de ce malheur; il appelle son disciple Maur: "Courez vite, mon frère, lui dit-il, l'enfant est tombé à l'eau." Maur s'élance, muni de la bénédiction de l'abbé, marche sur les eaux, saisit par les cheveux l'enfant, qui surnage encore, et le ramène sur le bord.

Depuis ce temps, Placide fit des progrès plus grands encore, au point que saint Benoît lui-même en était dans l'admiration. Le saint abbé envoya plus tard son bien-aimé disciple en Sicile pour y établir un monastère. Son austérité y devint de plus en plus étonnante et allait beaucoup au-delà des prescriptions de la Règle; il ne buvait jamais que de l'eau, faisant Carême en tout temps et souvent ne mangeant que trois fois la semaine et du pain seulement. Pour vêtement il portait un cilice; son siège était son unique lit de repos; son silence n'était interrompu que par les saintes exigences de la charité. Par sa vertu d'humilité, il attirait à lui tous les coeurs.

Ses innombrables miracles le rendirent presque l'égal de saint Benoît: un jour, en particulier, il guérit par sa bénédiction tous les malades de son île réunis près de lui.

Placide et ses religieux furent faits prisonniers, dans leur couvent, par des pirates cruels qui les maltraitèrent affreusement. Le Saint animait ses compagnons à la persévérance. Le tyran, outré de dépit à la vue de l'inébranlable constance des martyrs, les fit, à différentes reprises, fustiger très cruellement; mais Notre-Seigneur vint fermer et guérir leurs plaies. Placide exhortait le tyran et ses bourreaux à se convertir au christianisme; c'est alors qu'on lui brisa les lèvres et les mâchoires à coups de pierres et qu'on lui coupa la langue jusqu'à la racine. Mais le martyr parla aussi bien qu'auparavant. Le bourreau, n'étant nullement touché du prodige, inventa un nouveau supplice; il fit coucher le saint moine à terre et lui laissa toute une nuit sur les jambes des ancres de navire avec d'énormes pierres. Tous ses efforts vinrent échouer devant cet invincible défenseur de la foi. Placide et ses compagnons eurent enfin la tête tranchée.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

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