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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux André et aux Saints et saintes âmes de ce jour

Bonne Fête aux André
et aux Saints, Saintes du Jour
Dictons
Neige de Saint-André, peut cent jours durer.
A la Saint André les petites bêtes chassent les grosses du pré. (Charentes)
L'hiver peu pressé vient à la Saint André. (Deux-Sèvres)
A la Saint André berger ne doit plus rien garder. (Alpes)
S'il neige à la Saint André l'hiver sera commencé (Saintonge)
Quant en Novembre il a tonné l'hiver est avorté. (Calvados)

 

Bonne Fête aux André et aux Saints et saintes âmes de ce jour

Rien n'a été promis à Pierre et à André par le Maître. Ils quittent leurs biens. Il nous faut considérer plutôt la volonté que la valeur des biens. Il quitte beaucoup celui qui ne garde rien pour lui. Il quitte beaucoup celui qui abandonne tout ce qu'il possède. Pierre et André abandonnèrent l'essentiel : l'un et l'autre renoncèrent au désir de posséder.

Saint Grégoire le Grand - Homélie sur l'Evangile

Patron:
Diocèse de Bordeaux
Pêcheurs
30 Novembre
  
Saint André

Apôtre
(vers l'an 62)

Saint André
Saint André, ApôtreO.D.M. pinxit

Saint André, frère de saint Pierre, est le premier des Apôtres qui ait connu Jésus-Christ, aussitôt après Son Baptême sur les bords du Jourdain. Toutefois son appel définitif ne date que du moment où Jésus le rencontra avec son frère Simon, jetant les filets pour pêcher, dans le lac de Tibériade, et leur dit à tous deux: "Suivez-Moi, Je vous ferai pêcheurs d'hommes."

Après la Pentecôte, André prêcha dans Jérusalem, la Judée, la Galilée, puis alla évangéliser les Scythes, les Éthiopiens, les Galates et divers autres peuples jusqu'au Pont-Euxin. Les prêtres de l'Achaïe prirent soin d'envoyer aux églises du monde entier la relation de son martyre, dont ils avaient été les témoins oculaires. Menacé du supplice de la croix: "Si je craignais ce supplice, dit-il, je ne prêcherais point la grandeur de la Croix." Le peuple accourt en foule, de tous les coins de la province, à la défense de son Apôtre et menace de mort le proconsul. Mais André se montre, calme la foule de chrétiens ameutés, les encourage à la résignation et leur recommande d'être prêts eux-mêmes au combat.

Le lendemain, menacé de nouveau: "Ce supplice, dit-il au juge, est l'objet de mes désirs; mes souffrances dureront peu, les vôtres dureront éternellement, si vous ne croyez en Jésus-Christ." Le juge irrité le fit conduire au lieu du supplice. Chemin faisant, l'Apôtre consolait les fidèles, apaisait leur colère et leur faisait part de son bonheur. D'aussi loin qu'il aperçut la Croix, il s'écria d'une voix forte:

"Je vous salue, ô Croix consacrée par le sacrifice du Sauveur; vos perles précieuses sont les gouttes de Son sang. Je viens à vous avec joie, recevez le disciple du Crucifié. O bonne Croix, si longtemps désirée, si ardemment aimée, rendez-moi à mon divin Maître. Que par vous je sois admis à la gloire de Celui qui par vous m'a sauvé."

Il se dépouilla lui-même de ses vêtements, les distribua aux bourreaux, puis fut lié à une croix d'une forme particulière, appelée depuis croix de Saint-André

. Le Saint, du haut de sa Croix, exhortait les fidèles, prêchait les païens, attendris eux-mêmes.
Une demi-heure avant son dernier soupir, son corps fut inondé d'une lumière toute céleste, qui disparut au moment où il rendit l'âme.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

 

 

 

 

 

 

 

 

Samson

Ancien Testament : Dernier grand juge d'Israël

Lire dans la Bible au Livre des Juges
chap 13 Annonce de la naissance merveilleuse de Samson, libérateur d'Israël (Jg 13, 2-7.24-25a)
chap 14 Premiers exploits de Samson et Samson propose une devinette aux Philistins
chap 15 Vengeance de Samson - Samson et la mâchoire d'âne
chap 16 Samson et les portes de Gaza - Dalila trahit Samson - Dernier exploit et mort de Samson

«Guide-moi pour que je puisse toucher les colonnes qui soutiennent le temple et m'y appuyer.»

Jg 16, 26

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La femme de Manoach, jusqu'alors stérile, apprend de l'ange de Dieu qu'elle enfantera un fils qui délivrera Israël des Philistins. Cet enfant devra être consacré à Dieu, dès sa naissance, en tant que « Nazir». Les lois relatives au nazir impliquent notamment que le rasoir ne passe jamais sur sa tête et qu'il ne consomme jamais d'alcool. L'homme « à l'apparence d'ange » reparaît pour confirmer à Manoach et à sa femme qu'ils auront un enfant qui devra suivre les lois du nazir. L'ange disparaît alors dans les flammes et ils reconnaissent que c'était un ange de Dieu. Samson naît et grandit

Le chapitre 14 du Livre des Juges commence avec la demande du jeune Samson à ses parents de prendre pour femme une jeune fille philistine. Leur réaction est : « N'y aurait-il pas assez de femmes dans notre peuple que tu ailles en chercher une parmi les Philistins incirconcis ? »
Mais « parce qu'elle lui plaît », Samson et ses parents partent demander la main de la jeune fille. Sur le chemin, Samson tue un lion à mains nues. Lorsqu'il revient pour épouser la jeune fille, des abeilles ont commencé à fabriquer du miel dans le cadavre du lion.
Lors de la cérémonie du mariage, inspiré par la vision de la ruche dans le corps du lion, il parie 30 parures à ses 30 convives qu'ils ne sauront pas résoudre l'énigme suivante : « De celui qui mange est issu ce qui se mange, et du fort est issu le doux. »
Les convives persuadent la femme de Samson pour qu'elle obtienne la réponse et qu'elle la leur révèle. Après 7 jours d'insistance, elle obtient la réponse et les 30 compagnons répondent correctement à l'énigme grâce à ses indications : « Quoi de plus doux que le miel et de plus fort que le lion ? »
De fureur, Samson tue 30 hommes d'Ashkelon pour les dépouiller de leurs habits et retourne vivre auprès de ses parents.
Quand il revient chercher sa femme, celle-ci a été donnée à un autre homme. Samson se venge en faisant brûler les champs des Philistins. Ceux-ci brûlent alors la jeune femme et Samson se venge à nouveau en les battant.
Lorsque 1 000 Philistins viennent chercher Samson dans sa retraite, les Judéens le livrent (avec son accord). Samson défait ses liens et, armé d'une mâchoire d'âne, il défait les 1 000 Philistins. Après cette victoire, Samson devient juge d'Israël pendant 20 ans.

L'épisode le plus célèbre est sa séduction par Dalila. Dalila est sollicitée par les Philistins, ennemis d'Israël, afin qu'elle les aide à découvrir le secret de la force de Samson. Elle séduit alors Samson et essaie par trois fois de lui soutirer son secret. À chaque fois, Samson lui répond par un mensonge. Lorsque Dalila lui demande pour la quatrième fois de partager avec elle son secret, Samson finit par lui révéler que sa force lui vient de sa chevelure de nazir, car il est consacré et dévoué à Dieu.
Dalila le trahit. Après avoir fait couper ses sept tresses par une de ses suivantes, elle appela des Philistins pour crever les yeux de Samson, privé de sa force et du secours de Dieu.
Enfermé par ses ennemis à Gaza, Samson est sorti du cachot pour divertir ses ennemis, lors d'un sacrifice à leur dieu Dagon, alors que ses cheveux ont commencé à repousser. Placé entre deux colonnes, il implore Dieu de le rendre assez fort, puis se suicide en écartant les colonnes du palais pour le faire s'écrouler. Il tue ainsi environs 3000 Philistins. Son corps est retrouvé et enterré auprès de sa famille.

un passage de la bible .

Un jour, les chefs philistins se rassemblèrent pour fêter leur victoire et offrir un grand sacrifice à leur dieu Dagon. Ils chantaient :
« Notre dieu a livré entre nos mains
Samson, l'ennemi des Philistins. »
24 En voyant son dieu, le peuple l'acclamait aussi en ces termes :
« Notre dieu a livré entre nos mains
Samson, l'ennemi des Philistins,
le fléau de notre nation,
qui décimait notre population. »
25 Comme ils étaient d'humeur joyeuse, ils réclamèrent qu'on fasse venir Samson pour les amuser. On tira Samson de la prison et les gens se divertirent en le voyant. Lorsqu'on le plaça entre les colonnes du temple, 26 il demanda au garçon qui le conduisait par la main : « Guide-moi pour que je puisse toucher les colonnes qui soutiennent le temple et m'y appuyer. »
27 Or le temple était rempli d'hommes et de femmes. Les cinq chefs philistins étaient là et environ trois mille personnes se tenaient sur la terrasse pour se divertir à la vue de Samson. 28 Alors Samson adressa cette prière au Seigneur : « Seigneur Dieu, souviens-toi de moi ! Redonne-moi de la force, rien que cette fois, ô Dieu, afin que d'un seul coup, je puisse me venger des Philistins pour la perte de mes deux yeux. » 29 Samson palpa ensuite les deux colonnes centrales sur lesquelles reposait le temple ; il appuya sa main droite contre l'une des colonnes et sa main gauche contre l'autre. 30 Il s'écria : « Que je meure en même temps que les Philistins ! » Il poussa de toutes ses forces et le temple s'effondra sur les chefs et sur tous les gens qui s'y trouvaient. Ceux qu'il entraîna avec lui dans la mort furent plus nombreux que ceux qu'il avait tués pendant toute sa vie.
31 Ses frères et toute sa famille vinrent chercher son corps. Ils l'emportèrent et le déposèrent dans le tombeau de son père Manoa, entre Sora et Èchetaol.
Samson avait été à la tête des Israélites pendant vingt ans.

Saint Joseph Marchand
Missionnaire m.e.p. et martyr

J

 oseph Marchand naît à Passavant (Doubs) le 17 août 1803. Après avoir fait ses études à l'école ecclésiastique d'Orsans et au grand séminaire de Besançon, il entra sous-diacre au Séminaire des M.-E. le 25 décembre 1828.

Élevé au sacerdoce le 4 avril 1829, il partit le 24 du même mois pour la Cochinchine. Il apprit la langue annamite au collège de Lai-thieu, commença sa vie apostolique par un long voyage dans les chrétientés des provinces de Mi-tho, Vinh-long, Chau-doc, et remonta jusqu'à Phnom-penh, la capitale du Cambodge.

Revenu à Lai-thieu, il y instruisit quelques élèves, tout en administrant plusieurs chrétientés ; puis il fit un second voyage analogue au premier. On le chargea ensuite du district qui comprenait toute la province du Binh-thuan, d'où la persécution le chassa au commencement de l’année 1833.

Après s'être caché dans différentes localités de la Basse-Cochinchine, il se réfugia près de Mac-bac. Un chef des rebelles l'y découvrit et l'emmena avec lui à Cho-quan, puis l'interna dans la citadelle de Saïgon, et voulut l'obliger à pousser les chrétiens à la révolte contre le persécuteur Minh-mang. Joseph refusa absolument de se prêter à ce désir. Il resta dix-huit mois enfermé dans la citadelle, donnant ses soins à quelques fidèles qui se trouvaient près de lui.

Lorsque les troupes royales eurent pris Saïgon, le 8 septembre 1835, le père Joseph fut immédiatement arrêté et accusé d'avoir participé à la rébellion.

Conduit à Hué et incarcéré, on le soumit à la question et on lui fit endurer le cruel supplice des tenailles rougies au feu. Ne pouvant lui faire avouer qu'il avait aidé les rebelles, et ne trouvant aucun témoignage sérieux pour appuyer cette fausse accusation, les juges lui ordonnèrent de renoncer au catholicisme et de marcher sur la croix mais il repoussa cette proposition avec horreur.

Il fut condamné au cruel supplice des cent plaies. Il le subit avec un héroïque courage le 30 novembre 1835 à Tho-duc, près de Hué au Vietnam. Après sa mort, son corps coupé en quatre fut jeté à la mer, et sa tête, après plusieurs jours d'exposition, fut broyée dans un mortier et réduite en une poussière que l'on jeta également à la mer.

Joseph Marchand a été déclaré :
Vénérable, le 19 juin 1840, par le pape Grégoire XVI (
Bartolomeo Cappellari, 1831-1846) ;
Bienheureux, le 27 mai 1900, par le pape
Léon XIII, (
Vincenzo Pecci, 1878-1903) ;
Saint, le 19 juin 1988, par
saint Jean-Paul II (Karol Józef  Wojtyła, 1978-2005).

Sainte Maxence

Princesse irlandaise (date ?)

 

Princesse irlandaise et chrétienne, Maxence se réfugie en Gaule pour tenter d'échapper à un prétendant païen. Celui-ci parvient pourtant à la rejoindre. Maxence est assassinée près de Senlis, en Ile-de-France, dans les premiers siècles du christianisme. Une église lui est dédiée à Pont-Sainte-Maxence.
Correspondance d'un internaute:
"Lorsque nous avons appelé notre fils Maxence, voilà ce que nous avons trouvé sur la légende de Sainte-Maxence :
Pont-Sainte-Maxence a pris son nom du martyre de Sainte Maxence à la fin du Vème siècle. Maxence était la fille de Malconus, roi des Scots (aujourd'hui des Ecossais); convertie à la foi par Saint Patrice, apôtre d'Irlande, elle se voua à la religion, quoiqu'elle eut été promise à un prince barbare et païen nommé Avicin. Maxence voulant éviter ses poursuites s'enfuit du palais paternel avec Barbentius, son serviteur et Rosélie, sa servante; parvenus au bord de la mer, ils se mirent aussitôt en prières et dès qu'ils eurent terminé, ils aperçurent un navire qui les transporta en France.
La princesse arriva au pays du Beauvaisis et chercha une retraite dans un site agréable; elle arriva à la rivière de l'Oise. On prétend qu'au lieu de traverser le pont, ou peut-être parce que ce passage lui fut refusé, elle jeta dans la rivière trois grosses pierres au moyen desquelles elle parvint sur l'autre rive; la légende ajoute que l'on n'a jamais pu retirer ces pierres, malgré plusieurs tentatives pour dégager le lit de la rivière, et qu'elles y seraient encore.
Cependant Avicin arriva bientôt sur les bords de l'Oise, il essaya d'abord de vaincre par des prières la résolution de la jeune vierge et de séduire ses serviteurs à prix d'argent, mais ayant échoué dans ses tentatives, son affection se changea en fureur et saisissant la princesse par les cheveux, il lui trancha la tête avec son épée, puis tua Barbentius et Rosélie. La légende ajoute que le corps de la vierge se leva de terre et prenant sa tête entre ses mains, la transporta du lieu de son martyre au lieu de sa sépulture où quelque temps après on édifia une église.
Cette église fut visitée par Charlemagne qui lui fit de nombreuses dotations. La légende fixe le martyre de Sainte Maxence au 20 Novembre, l'année en est incertaine."

Saint Tugdual

Evêque de Tréguier (✝ 558)

Tudwal ou Thual ou Pabuth ou Pabu.
Originaire du Devonshire en Angleterre, il débarque en Armorique avec plusieurs moines et plusieurs membres de sa famille dont sa mère sainte Pompaïa. Saint Tugdual - Cathédrale de TréguierIl fonde l'abbaye de Lann-Pabu dans le Léon, Trebabu-29217. Là, il retrouve de nombreux émigrés du Devonshire qui fuyaient l'invasion des Angles.
Il devient évêque de Tréguier vers 540 et il rayonne sur toute la province.
Illustration: Saint Tugdual - Cathédrale de Tréguier (photo envoyée par un internaute)
"Originaire de Domnonée insulaire, Tudual fut, avec Budoc, sur l'île Maudez, disciple du grand maître monastique que fut saint Maudez...  'il fut un exemple pour les moines'. Connu sous les divers noms de Tudual, Tual, Tudy (peut-être aussi Tudec), Pabu et Paban, il est certainement l'un des grands évangélisateurs de la Cornouaille au VIe siècle, principalement du Cap, d'une partie de la Bigoudénie et de la région quimpéroise: ses divers ermitages jalonnent tout ce territoire. Le monastère de Locmaria-Quimper, qui fut probablement à l'origine de l'évêché de Cornouaille, aurait été fondé par lui. Son ermitage à Lampabu (aujourd'hui Trébabu) et son influence sur le Tréguier en font l'un des grands saints du diocèse actuel...." (diocèse de Quimper et Léon - Saint Tudual 1er décembre)
Un internaute nous signale: "Saint Tugdual (Tugal) est le patron de la ville de Laval (diocèse du même nom). Il y est fêté le 1er décembre, solennité dans la ville et mémoire facultative dans le diocèse (il est également fêté à cette date dans les diocèses de Saint-Brieuc et de Quimper)."
"Il sème partout la parole de Dieu, prodiguant les miracles et multipliant les conversions. Les princes qu'il convertit lui manifestent leur reconnaissance en lui donnant des domaines et des revenus qui lui servent à fonder et à doter des monastères... Il consacre les derniers instants de son existence à fortifier les bonnes dispositions des fidèles et à former ses disciples bien-aimés." (Saint Tugdual - Fondateur de l'évêché de Tréguier - diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier)
- 
la statue de st Tugdual à La Clarté.
En Bretagne, au VIe siècle, saint Tugdual (Tual), surnommé Pabu, abbé et évêque, qui établit un monastère au pays de Tréguier.

Martyrologe romain

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