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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne Fête aux : Catherine et Saints, Saintes du Jour

Sainte Catherine Zoé Labouré
Vierge, religieuse des Filles de la Charité
(1806-1876)

 

Fête liturgique : le 28 novembre pour la Famille vincentienne ;

le 31 décembre (dies natalis) pour l’Église Universelle.

 

 

C

atherine Zoé Labouré, neuvième enfant d'une famille de dix-sept, vint au monde le 2 mai 1806, à Fain-les-Moutiers, petit village de la Côte-d'Or. Enfant, elle était surtout connue par son deuxième prénom, Zoé.

À neuf ans, elle perdit sa mère. On la vit alors monter sur une chaise, saisir la statue de Notre-Dame, l'embrasser longuement et la presser sur son cœur en disant : « Je n'ai plus de maman ; soyez vous-même ma maman, bonne Sainte Vierge ! »

À onze ans, la fillette dut remplir l'office de mère au foyer domestique. Prenant la direction intérieure de la ferme paternelle, elle devenait responsable des travaux domestiques. Malgré son peu d'instruction, Catherine s'occupa de former à la piété sa petite sœur et son petit frère. Après son travail, elle se rendait souvent à l'église et priait devant l'autel de la Vierge.

 

En 1830, après un séjour de deux ans chez deux de ses frères qui demeuraient près de Paris, Catherine Labouré fit trois mois de postulat à Châtillon-sur-Seine et entra au Séminaire des Filles de la Charité, rue du Bac, toujours à Paris. Sœur Catherine fut favorisée de grâces exceptionnelles durant les six mois de son noviciat. Au moment de la messe, Notre-Seigneur se manifestait à sa petite servante. Dans sa ferveur, elle désirait voir la Très Sainte Vierge et demanda cette faveur par l'intermédiaire de son ange gardien.

 

Dans la nuit du 18 au 19 juillet 1830, veille de la fête de saint Vincent de Paul, le cœur de ce Saint lui apparut dans la chapelle du couvent. La Ste Vierge lui apparut et lui prédit des souffrances à venir tout en l'assurant du soutien de ses grâces maternelles.

 

Lors de la deuxième apparition de la Reine du ciel, Catherine Labouré reçoit la mission de répandre la médaille miraculeuse par le monde et de faire éclore sur des milliers de lèvres l'invocation : « Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous ! » La prière fut le premier moyen qu'employa la voyante pour remplir sa mission.

 

Sœur Catherine Labouré disait le chapelet avec tant d'onction et de grâce que les anciennes religieuses se faisaient un plaisir d'aller le réciter en sa compagnie. « Aimez bien votre Mère du ciel, avait-elle coutume de dire, prenez-la pour modèle ; c'est la plus sûre garantie du ciel. » Son deuxième moyen pour accomplir infailliblement sa mission de faire glorifier Marie et de sauver les âmes fut la pénitence qu'elle accomplit tout bonnement dans les emplois manuels les plus modestes dans lesquels elle se plaisait : service de la cuisine, soin de la basse-cour, garde de la porte.

 

Son carnet de retraite de 1839 nous révèle son désir de souffrir : « Ô Cœur Immaculé de Marie, sollicitez pour moi la foi et l'amour qui vous attacha au pied de la croix de Jésus. Ô doux objet de mes affections, Jésus et Marie, que je souffre pour vous, que je meure pour vous, que je sois toute à vous, que je ne sois plus à moi ! »

 

En janvier 1831, Catherine Labouré fut transférée à l'hospice d'Enghien, au Faubourg St-Antoine, à Paris. Employée d'abord à la cuisine, puis à la lingerie, elle demeura ensuite affectée pendant près de quarante ans à la salle des vieillards, ajoutant le soin de la basse-cour à cet office.

 

C'est dans cet obscur et généreux dévouement que la mort trouva cette fidèle servante de Dieu, le 31 décembre 1876. Elle trépassa à l'âge de soixante-dix ans. Cinquante-six ans après son décès, lors de l'ouverture de son tombeau, son corps fut trouvé dans un état de parfaite conservation.

Saint Sosthène

Disciple et compagnon de Saint Paul (Ier siècle.)

Disciple de l'apôtre saint Paul qui en fait mention dans sa lettre aux Corinthiens (1ère lettre aux Corinthiens 1. 1 à 3). Dans le livre des Actes des Apôtres, on mentionne aussi un chef de synagogue qui porte ce nom et qui a laissé parler Saint Paul, et pour cela fut battu par les juifs de Corinthe.
"Alors, ils se saisirent tous de Sosthène, le chef de la synagogue, et se mirent à le frapper devant le tribunal, tandis que Gallion demeurait indifférent." (Ac - 18 : 17) - Bible de la liturgie
Saint Sosthène et les disciples de saint Paul : Apollos, Céphas, Tychique, César, Epaphrodite furent des coopérateurs fidèles de l'Apôtre à Corinthe, Ephèse ou Philippes. Nous les connaissons par les lettres de saint Paul et le livre des Actes des Apôtres.

Saint Jacques de la Marche

Franciscain
(1391-1476)

Saint Jacques de la Marche
Saint Jacques de la Marche

Ce grand religieux était originaire de la Marche d'Ancône; son berceau fut entouré d'une vive lumière qui présageait d'une manière évidente son glorieux avenir. Quand il fut en âge de choisir un état de vie, sa première pensée fut de se faire Chartreux: mais quelques relations qu'il eut avec les Franciscains le décidèrent à entrer dans leur Ordre. Il fut, dès son noviciat, le modèle des vertus héroïques. Il ne donnait que trois heures au sommeil et passait le reste de la nuit à prier au pied du crucifix, pendant que des larmes inondaient son visage.

C'est dans la méditation des souffrances de son Sauveur qu'il puisa cette énergie surhumaine dont il montra de si beaux exemples durant ses courses apostoliques. Jamais il ne mangeait de viande; un peu de pain et quelques herbes étaient sa nourriture. Tous les jours il se donnait la discipline jusqu'au sang, et, pendant dix-huit ans, il porta sur sa chair nue un cilice avec une cotte de mailles armée de pointes de fer aiguës. Telle fut la préparation de l'apôtre.

Il eut d'immenses succès, en Allemagne, contre les hérétiques; dans une seule ville, deux cents jeunes gens, entraînés par ses exemples embrassèrent la vie religieuse. Une fois, les hérétiques tentèrent de l'empoisonner; mais voyant le plat se briser, au seul signe de la Croix fait par le Saint, ils s'écrièrent: "Le doigt de Dieu est là", et ils se convertirent. En Norvège et en Danemark, il administra le Baptême à deux cent mille personnes. La Bohème était la proie de l'hérésie. A Prague, les hérétiques, pleins d'admiration pour l'éloquence de l'apôtre, lui promirent de se convertir s'il faisait un miracle. Après avoir invoqué Dieu et fait le signe de la Croix, il avala un breuvage empoisonné sans en ressentir aucun mauvais effet.

De retour en Italie, ayant affaire à un batelier qui refusait de lui faire traverser le Pô, Jacques n'hésita pas, étendit son manteau sur le fleuve et vogua heureusement vers l'autre rive. Un jour qu'il avait combattu avec véhémence le vice de l'impureté, un auditeur, qui s'était cru visé personnellement, alla se poster sur son passage, dans un sanctuaire dédié à Marie, pour l'assassiner; mais il entendit une voix irritée qui lui cria: "Malheureux! Que fais-tu en Ma présence? Tu veux faire mourir Mon serviteur et le serviteur de Mon Fils!" Le coupable, demi-mort de peur, renonça à son criminel dessein. Le prodige le plus étonnant de l'illustre apôtre fut la découverte et la résurrection d'un enfant assassiné par un Juif et coupé en morceaux.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

Saint Hilaire et Quieta

Epoux à Dijon (✝ 450)

Hilaire et Quieta, son épouse.
Ils vécurent et moururent à Dijon, unis par une tendre affection. D'une patience infatigable, ils furent des parents attentifs un modèle pour les époux chrétiens. Une belle légende, qui est significative de leur amour, nous est rapportée par l'historien saint Grégoire de Tours. Lorsqu'on déposa, dans la tombe, le corps de Quiéta à côté de celui de son époux, une belle légende rapporte que celui-ci, mort un an auparavant, leva sa main droite, la passa autour du cou de sa femme et l'attira sur son cœur. L'assistance s'écria: 'Voyez comme ils s'aimaient puisqu'ils s'embrassent jusque dans la tombe'.

Dictons
S'il neige à la Saint-Hilaire, il fera froid tout l'hiver.
St André Trân Van Trông

martyr († 1835)

Fête le 28 Novembre

Martyrologe Romain : À Khan Duong en Annam, l’an 1835, saint André Trân Van Trông, martyr. Catéchiste enrôlé comme soldat, il refusa de fouler aux pieds la croix ; il subit alors la bastonnade, puis la prison pendant deux ans avec d’atroces tortures et enfin il eut la tête tranchée, à l’âge de dix-huit ans, sous l’empereur Minh Mang.

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