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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Paris : la police repousse 160 migrants porte de la Chapelle

Paris : la police repousse 160 migrants porte de la Chapelle

Les agents présents en permanence sur le site depuis l’évacuation du 7 novembre sont chargés d’éviter la reconstitution de campements.

 Le 7 novembre dernier, avenue du Président-Wilson (Seine-Saint-Denis). Plus de 1 600 migrants installés dans des camps de fortune ont été évacués.

 

La police occupe le terrain. C'est le message qu'elle envoie, et la mission qu'elle s'est donnée : éviter toute nouvelle implantation de campements de migrants porte de la Chapelle (XVIIIe).

Cette nuit de lundi à mardi, les services de police, qui sont en mission de surveillance permanente sur ce secteur du nord de Paris, ont massivement repoussé 160 migrants.

Des gardes toute la nuit

Quatre jours après l'opération du 7 novembre, des policiers en tenue et en civil, dont certains montent la garde toute la nuit, surveillent et guettent l'installation de tentes, contrôlent les identités des migrants et interpellent si besoin.

Le 7 novembre, à l'aube, 1 606 migrants installés dans des camps de fortune entre porte de la Chapelle (XVIIIe) et la Seine-Saint-Denis, ont été évacués et transportés vers des gymnases parisiens. L'opération a mobilisé 600 policiers. Selon le comptage de la police, il y avait alors 982 tentes installées sur ce secteur.

Cette nuit de lundi à mardi, plusieurs vagues de contrôles ont eu lieu. Lundi, à 17 h 40, une trentaine de migrants ont été évincés « sans incidents », selon la police. A 0 h 50, un individu a été contrôlé avec 20 cailloux de crack et 865 € en liquide. Il a été placé en garde à vue. A 5 h 30, vingt migrants avec dix tentes ont été repoussés.

Sept obligations de quitter le territoire

Le dernier contrôle de police de ce mardi matin, à 6 heures, fait mention de « 20 individus évincés sans incident ».

Au total, sur 160 personnes contrôlées, quatorze ont été interpellées, deux ont été placées en garde à vue. Sept ont fait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français et six ont été placées en rétention administrative. Ce lundi matin, il n'y avait selon la police aucune tente.

Le « jeu du chat et de la souris »

Michel Cadot, le préfet de région, Anne Hidalgo, la maire (PS) de Paris et Didier Lallemand, préfet de police, ont déclaré le 7 novembre qu'il fallait « reconquérir normalement l'espace public » et prévenu qu'il y aurait « un maintien de la présence policière permettant d'éviter la reconstitution de ces campements ».

« C'est le jeu du chat et de la souris, déplore une source proche du dossier. Les policiers font du barriérage ! ».

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