Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,
26 Décembre 2019
Étienne qui porte un nom grec (stephanos, le couronné) apparaît parmi les disciples des apôtres dans la première communauté chrétienne de Jérusalem. Quand des disputes (ce sont les premières mais, hélas pas les dernières dans l'histoire de l'Église) s'élèvent au sujet des veuves hellénistes et des veuves juives, on pense tout de suite à lui et il devient le premier des sept diacres chargés du service des tables. Il s'en acquitte à merveille sans pour autant se trouver exclu du service de la Parole. Ce n'est pas en effet pour son service de charité qu'il est arrêté mais bien pour avoir, devant des représentants de la "synagogue des Affranchis", proclamé avec sagesse l'Évangile de Jésus, le Christ. On le conduit devant le sanhédrin. Il parle. On l'écoute longuement sans l'interrompre. Toute la prédication des apôtres défile dans son discours qui se termine par une vision divine: "Je vois les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout à la droite de Dieu." C'en est trop. On se saisit de lui, on l'entraîne, on le lapide sous les yeux d'un certain Saul. Étienne meurt comme son Maître, pardonnant et s'abandonnant entre les mains du Père. Il est le premier martyr et, de ce grain tombé en terre, le premier fruit sera la conversion de Saul sur le chemin de Damas, pour qui le ciel s'est ouvert aussi. Paul en fut aveuglé parce qu'il n'avait pas encore reçu la grâce du Baptême.
Saint Étienne, premier martyr et saint patron du diocèse - Eglise catholique de Seine et Marne - diocèse de Meaux : Étienne est le premier martyr. Aussi son témoignage a-t-il toujours gardé une valeur exemplaire dans l'Église. Choisi comme chef de file des Sept qui devaient décharger les Apôtres des tâches matérielles, il prit aussi sa part dans l'annonce de la Bonne Nouvelle. C'est en témoin du Christ ressuscité et en imitateur de sa passion qu'il mourut lapidé à Jérusalem.
- vidéo sur la webTV de la CEF: 'Comme saint Etienne, portons le Christ au monde', Benoît XVI.
Saint Étienne, témoin courageux (source: VIS 091228 -300):
Le 26 décembre 2009, le Pape a dit que "celui qui se trouve dans la mangeoire, est le Fils de Dieu fait homme, qui nous demande de témoigner avec courage de son Évangile, comme l'a fait saint Étienne".
Premier martyr chrétien "rempli de l'Esprit Saint, il n'a pas hésité à donner sa vie par amour de son Seigneur. Il meurt, comme son maître, en pardonnant ses persécuteurs et nous fait comprendre comment la venue du Fils de Dieu dans le monde donne naissance à une nouvelle civilisation, la civilisation de l'amour, qui ne se rend pas devant le mal et la violence et qui abat les barrières entre les hommes en les rendant frères dans la grande famille des fils de Dieu".
"Le témoignage d'Étienne, comme celui des martyrs chrétiens, montre à nos contemporains souvent distraits et désorientés, sur qui doit reposer leur confiance pour donner un sens à leur vie. Le martyr, en effet, est celui qui meurt avec la certitude de se savoir aimé de Dieu, et, sans rien faire passer avant l'amour du Christ, sait qu'il a choisi la meilleure part". Benoît XVI a ajouté que "l'Église, en nous présentant le diacre saint Étienne comme modèle, nous montre aussi, dans l'accueil et dans l'amour envers les plus pauvres, un des chemins privilégiés pour vivre l'Évangile et témoigner aux hommes de façon crédible du Règne de Dieu qui vient".
Après avoir souligné que la fête de saint Étienne "nous rappelle aussi tous ces croyants qui, à travers le monde, sont mis à l'épreuve et souffrent à cause de leur foi", le Pape a demandé de s'engager "à les soutenir par la prière et à être fidèles à notre vocation chrétienne, en mettant toujours au centre de notre vie Jésus-Christ que nous contemplons, en ces jours, dans la simplicité et l'humilité de la crèche".
Les Églises orientales fêtent Marie, en son mystère d'être la "Theotokos", la Mère de Dieu, la toujours Vierge, le 26 décembre, au lendemain de la Nativité. Elles reportent la célébration de saint Étienne au 27 décembre.
Fête de saint Étienne, premier martyr, vers l'an 34. Homme rempli de foi et d'Esprit Saint, premier des Sept que les Apôtres choisirent comme coopérateurs de leur ministère, il fut aussi le premier des disciples du Seigneur à verser son sang à Jérusalem, portant témoignage au Christ Jésus, qu'il affirma voir debout dans la gloire à la droite du Père et, pendant qu'on le lapidait, il priait pour ses persécuteurs.
Martyrologe romain
On ignore si saint Étienne fut disciple de Jésus-Christ ou s'il fut converti par les prédications des Apôtres; mais il est certain qu'il se fit promptement remarquer par ses vertus, et mérita d'être le chef des sept diacres élus par les Apôtres pour les aider dans les fonctions secondaires de leur ministère. Le récit de son élection, de sa prédication et de son martyre lui attribue cinq plénitudes. Il était plein de foi, parce qu'il croyait fermement tous les mystères et qu'il avait une grâce spéciale pour les expliquer. Il était plein de sagesse, et nul ne pouvait résister aux paroles qui sortaient de sa bouche. Il était plein de grâce, montrant dans tous ses actes une ferveur toute céleste et un parfait amour de Dieu. Il était plein de force, comme son martyre en fut la preuve éloquente. Enfin il était plein du Saint-Esprit, qu'il avait reçu au cénacle par l'imposition des mains des Apôtres.
Tant de vertus ne tardèrent pas à produire dans Jérusalem d'abondants fruits de salut. Étienne, élevé à l'école de Gamaliel, dans toute la science des Juifs, avait même une autorité spéciale pour convertir les prêtres et les personnes instruites de sa nation. Ses miracles ajoutaient encore au prestige de son éloquence et de sa sainteté. De tels succès excitèrent bientôt la jalousie; on l'accusa de blasphémer contre Moïse et contre le temple.
Étienne fut traîné devant le Conseil, répondit victorieusement aux attaques dirigées contre lui, et prouva que le blasphème était du côté de ses adversaires et de ses accusateurs. A ce moment le visage du saint diacre parut éclatant de lumière comme celui d'un ange. Mais il avait affaire à des obstinés, à des aveugles. Pour toute réponse à ses paroles et au prodige céleste qui en confirmait la vérité, ils grinçaient des dents contre lui et se disposaient à la plus noire vengeance. Afin de rendre leur conduite plus coupable, Dieu fit un nouveau miracle; le ciel s'entr'ouvrit et le Saint, levant les yeux en haut, s'écria avec ravissement: "Je vois les cieux ouverts et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu." A ces mots ses ennemis ne se contiennent plus; ils poussent des cris de mort, entraînent le martyr hors de la ville et le lapident comme un blasphémateur. Étienne, calme et souriant, invoquait Dieu et disait: "Seigneur, recevez mon esprit!... Seigneur, ne leur imputez point ce péché." Saul, le futur saint Paul, était parmi les bourreaux. "Si Étienne n'avait pas prié, dit saint Augustin, nous n'aurions pas eu saint Paul."
Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950
Saint Étienne
Premier Martyr
(Ier siècle)
É |
tienne fut-il disciple de Jésus-Christ ou converti par les prédications des Âpôtres ? On l’ignore, mais il est certain qu'il se fit promptement remarquer par ses vertus, et mérita d'être le chef des sept diacres élus par les Âpôtres pour les aider dans les fonctions secondaires de leur ministère.
Le récit de son élection, de sa prédication et de son martyre lui attribue cinq plénitudes :
Tant de vertus ne tardèrent pas à produire dans Jérusalem d'abondants fruits de salut. Étienne, élevé à l'école de Gamaliel, dans toute la science des Juifs, avait même une autorité spéciale pour convertir les prêtres et les personnes instruites de sa nation. Ses miracles ajoutaient encore au prestige de son éloquence et de sa sainteté. De tels succès excitèrent bientôt la jalousie ; on l'accusa de blasphémer contre Moïse et contre le temple.
Étienne fut traîné devant le Conseil, répondit victorieusement aux attaques dirigées contre lui, et prouva que le blasphème était du côté de ses adversaires et de ses accusateurs. À ce moment le visage du saint diacre parut éclatant de lumière comme celui d'un ange. Mais il avait affaire à des obstinés, à des aveugles. Pour toute réponse à ses paroles et au prodige céleste qui en confirmait la vérité, ils grinçaient des dents contre lui et se disposaient à la plus noire vengeance.
Afin de rendre leur conduite plus coupable, Dieu fit un nouveau miracle ; le ciel s'entrouvrit et le saint, levant les yeux en haut, s'écria avec ravissement : « Je vois les cieux ouverts et le Fils de l'homme debout à la droite de Dieu. »
À ces mots ses ennemis ne se contiennent plus ; ils poussent des cris de mort, entraînent le martyr hors de la ville et le lapident comme un blasphémateur. Étienne, calme et souriant, invoquait Dieu et disait : « Seigneur, reçois mon esprit !... Seigneur, ne leur impute point ce péché. »
Saul, le futur saint Paul, était parmi les bourreaux. « Si Étienne n'avait pas prié, dit saint Augustin, nous n'aurions pas eu saint Paul. »
Sœur Agnès Phila et Sœur Lucie Khambang de la Congrégation des Amantes de la Croix - Agathe Phutta, mère de famille - Cécile Butsi, 16 ans - Viviane Hampai, 15 ans - Marie Phon, 14 ans.
Béatifiées avec Philippe Siphong Onphitak par Jean-Paul II le 22 octobre 1989.
À Song-Khon en Thaïlande, l'an 1940, les bienheureuses martyres Agnès Phila et Lucie Khambang, vierges des Sœurs Amantes de la Croix, ainsi que Agathe Phutta, Cécile Butsi, Bibiane Hampai et Marie Phon. Pour avoir refusé de renier la foi chrétienne, elles furent fusillées dans le cimetière du village.
Martyrologe romain