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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Peintre Henri Martin

Henri jean Guillaume Martin

Dit Henri Martin, né à Toulouse le 5 août 1860 et mort à Labastide-du-Vert le 12 novembre 1943.
Il est l'un des peintres postimpressionniste français

Ne pas confondre avec:

Henri Martin, né le 20 février 1810 à Saint-Quentin et mort le 14 décembre 1883 à Passy, est ..... dans l'Internet Archive. Gabriel Hanotaux, Henri Martin, sa vie, ses œuvres, son temps, 1810-1883, Librairie Léopold Cerf, Paris, 1885, vii-340 p.
Nom de naissance‎: ‎Bon-Louis-Henri Martin
Naissance‎: ‎20 février 1810 à Saint-Quentin; S...
Nationalité‎: ‎Français
 

Henri Martin (1927-2015), de son nom complet Clément Ursin Henri Martin, est un militant du parti communiste. En 1950, il apparaît indispensable, surtout pour ses enfants, de démontrer que qu'il n'a jamais été un traître à son pays tout au long de sa vie.

Il a été militaire, résistant et homme politique

Parti politique‎: ‎Parti communiste français (mouvement interne les Républicains)
Date de naissance‎: ‎23 janvier 1927
Nom de naissance‎: ‎Clément Ursin Henri Martin
Lieu de naissance‎: ‎Village de Rosières; .

Henri jean Guillaume Martin

Dit Henri Martin, né à Toulouse le 5 août 1860 et mort à Labastide-du-Vert le 12 novembre 1943. Il est l'un des peintres postimpressionniste français

Henri Jean Guillaume Martin est né le  à Toulouse, au 127 Grand-Rue Saint-Michel, d'Auguste Jean François Martin, ébéniste, et de Marie Victoire Massé, ménagère.

Henri Martin effectue son apprentissage à l’École des beaux-arts de sa ville natale de 1877 à 1879, dans l'atelier de Jules Garipuy. Muni d’une bourse municipale, il part en 1879 pour Paris où il devient l’élève de Jean-Paul Laurens. Le  il épouse à Toulouse Marie Charlotte Barbaroux, pastelliste rencontrée aux Beaux-Arts de cette ville. De leur union naîtront quatre fils dont deux deviendront peintres de paysages et de portraits : René Jean, qui signe ses œuvres Claude-René Martin, né à Paris XIVe le  et Jacques Auguste dit Jacques Martin-Ferrières né à Saint Paul Cap de Joux (Tarn) le . Henri Martin aura lui-même comme élève et comme collaborateur le peintre Henri Doucet. En 1885, il parcourt l’Italie et y étudie les primitifs en compagnie d’Edmond Aman-Jean et d’Ernest Laurent.

Ce voyage marque un tournant dans son art et oriente l’artiste vers une inspiration poétique. Sa technique s’éloigne des modèles académiques, au profit d’un divisionnisme original qui révèle l’influence des néo-impressionnistes mais d’une manière plus spontanée que théorisée : des touches courtes, séparées et parallèles y construisent les formes et la lumière, dans un chromatisme idéalisé et propice au rêve.

Lecteur de Poe, de Dante, de Byron, de Baudelaire et de Verlaine (il souscrit aux Liturgies intimes éditées par la revue Le Saint-Graal en 1892), Henri Martin expose des œuvres à thèmes symbolistes, telles que Chacun sa chimère de 1891 ou Vers l’abîme de 1897 ; et des paysages brumeux peuplés de figures mélancoliques et intemporelles.

Il participe en 1892 aux salons de la Rose-Croix de Joséphin Peladan. Il honore des commandes publiques, ornant tour à tour le Capitole de Toulouse, la préfecture du Lot à Cahors, la Sorbonne en 1908, l’Hôtel de ville de Paris, un cabinet de l’Élysée en 1908, le Conseil d’État en 1914-1922, la mairie du Ve arrondissement en 1935.

Henri Martin, tout en s’éloignant des thèmes symbolistes, en gardera toujours la poésie mystérieuse des attitudes, l’atmosphère secrète et diffuse des paysages et une certaine spiritualisation des formes baignées par la sérénité des figures traditionnelles, de l’allégorie. Sa nature profonde le porte vers une expression apaisée d’un monde idéalisé dans un pointillisme aux touches élargies.

Il installe son atelier à Labastide-du-Vert dans le Lot, où il termine ses jours.

En 1896, il obtient la croix de chevalier de la Légion d'honneur et, en 1914, il est nommé commandeur. Le  il est élu membre titulaire de l'Académie des beaux-arts, section de peinture, au fauteuil de Gabriel Ferrier.

Le musée de Cahors Henri-Martin conserve de nombreuses œuvres de ce peintre.

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