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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Guérison de la belle-mère de Pierre

PREMIÈRE LECTURE
« Parle, Seigneur, ton serviteur écoute » (1 S 3, 1-10.19-20)

En ces jours-là,
    le jeune Samuel assurait le service du Seigneur
en présence du prêtre Éli.
La parole du Seigneur était rare en ces jours-là,
et la vision, peu répandue.
    Un jour, Éli était couché à sa place habituelle
– sa vue avait baissé et il ne pouvait plus bien voir.
    La lampe de Dieu n’était pas encore éteinte.
Samuel était couché dans le temple du Seigneur,
où se trouvait l’arche de Dieu.
    Le Seigneur appela Samuel, qui répondit :
« Me voici ! »
    Il courut vers le prêtre Éli, et il dit :
« Tu m’as appelé, me voici. »
Éli répondit :
« Je n’ai pas appelé. Retourne te coucher. »
L’enfant alla se coucher.

    De nouveau, le Seigneur appela Samuel.
Et Samuel se leva. Il alla auprès d’Éli, et il dit :
« Tu m’as appelé, me voici. »
Éli répondit :
« Je n’ai pas appelé, mon fils. Retourne te coucher. »
    Samuel ne connaissait pas encore le Seigneur,
et la parole du Seigneur ne lui avait pas encore été révélée.

    De nouveau, le Seigneur appela Samuel.
Celui-ci se leva. Il alla auprès d’Éli, et il dit :
« Tu m’as appelé, me voici. »
Alors Éli comprit que c’était le Seigneur qui appelait l’enfant,
    et il lui dit :
« Va te recoucher,
et s’il t’appelle, tu diras :
“Parle, Seigneur, ton serviteur écoute.” »
Samuel alla se recoucher à sa place habituelle.
    Le Seigneur vint, il se tenait là
et il appela comme les autres fois :
« Samuel ! Samuel ! »
Et Samuel répondit :
« Parle, ton serviteur écoute. »

    Samuel grandit.
Le Seigneur était avec lui,
et il ne laissa aucune de ses paroles sans effet.
    Tout Israël, depuis Dane jusqu’à Bershéba,
reconnut que Samuel était vraiment un prophète du Seigneur.

            – Parole du Seigneur.

PSAUME
(Ps 39 (40), 2abc.5ab, 7-8a, 8b-9, 10)
R/

Me voici, Seigneur,
je viens faire ta volonté.

D’un grand espoir, j’espérais le Seigneur :
il s’est penché vers moi
Heureux est l’homme
qui met sa foi dans le Seigneur.

Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice,
tu as ouvert mes oreilles ;
tu ne demandais ni holocauste ni victime,
alors j’ai dit : « Voici, je viens.

« Dans le livre, est écrit pour moi
ce que tu veux que je fasse.
Mon Dieu, voilà ce que j’aime :
ta loi me tient aux entrailles. »

J’annonce la justice
dans la grande assemblée ;
vois, je ne retiens pas mes lèvres,
Seigneur, tu le sais.

ÉVANGILE
« Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies » (Mc 1, 29-39)

En ce temps-là,
    aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm,
Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean,
dans la maison de Simon et d’André.
    Or, la belle-mère de Simon était au lit,
elle avait de la fièvre.
Aussitôt, on parla à Jésus de la malade.
    Jésus s’approcha,
la saisit par la main
et la fit lever.
La fièvre la quitta,
et elle les servait.

    Le soir venu, après le coucher du soleil,
on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal
ou possédés par des démons.
    La ville entière se pressait à la porte.
    Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies,
et il expulsa beaucoup de démons ;
il empêchait les démons de parler,
parce qu’ils savaient, eux, qui il était.

    Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube.
Il sortit et se rendit dans un endroit désert,
et là il priait.
    Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche.
    Ils le trouvent et lui disent :
« Tout le monde te cherche. »
    Jésus leur dit :
« Allons ailleurs, dans les villages voisins,
afin que là aussi je proclame l’Évangile ;
car c’est pour cela que je suis sorti. »

    Et il parcourut toute la Galilée,
proclamant l’Évangile dans leurs synagogues,
et expulsant les démons.

            – Acclamons la Parole de Dieu.

Guérison de la belle-mère de Pierre

“Et Jésus lui toucha la main et la fièvre la quitta…”  Ses gestes, ses mains, son regard, toute sa personne trahissent son amitié devant cette femme malade. Sa puissance est au service de sa bonté. “Il commanda à la fièvre, qui la quitta; et s'étant levée aussitôt, elle les servait.”

il parcourut toute la Galilée, proclamant l'Évangile dans leurs synagogues, et  

expulsant les démons.
 

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Méditation de l'Evangile du mercredi 15 janvier

Une courte méditation sur les attitudes de Jésus, face à un malade qu'il rencontre, au hasard de ses courses.

Dans l'incident de la guérison de la belle-mère de Pierre, les trois évangélistes ont noté, chacun à leur manière, les gestes qui trahissent cette divine et impatiente bonté devant la maladie et le malheur.

“Or la belle-mère de Simon était au lit avec de la fièvre. Sans plus attendre on parle à Jésus de la malade.”

On connaît sa bonté et on lui parle de la malade. Matthieu, lui, souligne que cette maladie ne lui avait pas échappé car il savait voir. Son regard n'est jamais indifférent devant la maladie. Il voit et ses gestes trahissent le désarroi de son cœur. Il a vu la belle-mère de Pierre, couchée, il a vu son abattement et sa fièvre brûlante.

“Jésus étant venu dans la maison de Pierre, vit sa belle-mère couchée et avec de la fièvre.”

Le malheur des autres ne le laisse donc pas indifférent, et chacun des évangélistes traduit à sa manière cette amicale attention :

“Et se penchant au-dessus d'elle…”
(Lc)

“Et s'approchant Il la fit lever, en lui prenant la main…”
(Mc)

“Et Il lui toucha la main et la fièvre la quitta…”
(Mt)

Ses gestes, ses mains, son regard, toute sa personne trahissent son amitié devant cette femme malade. Sa puissance est au service de sa bonté.

“Il commanda à la fièvre, qui la quitta; et s'étant levée aussitôt, elle les servait.”

Il n'y a pas que les paroles qui guérissent.

Père Gabriel

 

 

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