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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

bonne fête aux Saints et Saintes âmes du 16 février

SAINT DU JOUR
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Date 16 février

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

SAINTE JULIENNE DE NICOMÉDIE, MARTYRE EN BITHYNIE

Jeune chrétienne, son père païen, la promet en mariage au préfet Eleusie, lui aussi païen. Elle accepte à condition que l’homme se convertisse. Dénoncée comme chrétienne, elle est arrêtée et torturée, mais ne renie pas sa foi .Elle est décapitée vers 305, au temps de l’empereur romain Maximin.   

Ste Julienne de Nicomédie

vierge et martyre († 310)

Fête le 16 Février
 

Sainte Julienne, vierge et martyre (286-310)

Vierge et martyre à Nicomédie en Asie Mineure, elle fut condamnée par son fiancé lui-même qui présidait le tribunal au nom et sous la pression impériale.

Un martyrologe du moyen âge résume ainsi ses supplices : « Le plomb fondu la laisse intacte. Elle est balancée dans l'espace suspendue par les cheveux - elle puise de nouvelles forces dans l'eau bouillante où elle est plongée. - Faible vierge, elle triomphe des forces infernales - et ne cesse de vivre qu'au moment où sa main cueille la dernière palme. »

 

Sainte Julienne de Nicomédie

Martyre en Bithynie (IVe siècle)

 

Vierge et martyre à Nicomédie en Asie Mineure, elle fut condamné par son fiancé lui-même qui présidait le tribunal au nom et sous la pression impériale. Un martyrologe du moyen âge résume ainsi ses supplices: "Le plomb fondu la laisse intacte. Elle est balancée dans l'espace suspendue par les cheveux - elle puise de nouvelles forces dans l'eau bouillante où elle est plongée. - Faible vierge, elle triomphe des forces infernales - et ne cesse de vivre qu'au moment où sa main cueille la dernière palme."
Sainte Julienne de NicomédieElle vivait à Nicomédie quand ses parents voulurent la marier au préfet de la ville impériale. Mais elle avait donné sa vie au Christ et cette jeune mondaine demeura inflexible. Son amant devint son tortionnaire. Il la fit mettre nue devant lui pour la flageller. "Voici mes caresses." Il la fit pendre par les cheveux qu'elle en eût le cuir chevelu arraché. "Voici ta coiffure." Ses bourreaux eux-mêmes en furent touchés et beaucoup devinrent disciples du Christ. Ils furent sur le champ décapités. Elle-même, à dix-huit ans, eut également la tête tranchée.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, il existait au Val St Germain un pèlerinage très populaire, lié au culte de sainte Julienne. Sainte Julienne de Nicomédie fut martyrisée au troisième siècle en étant plongée dans une cuve de plomb fondu, devenu tiède à son contact, puis elle fut décapitée. Cette sainte était invoquée pour la guérison des fièvres, des épidémies, des maladies infantiles et de la stérilité. (diocèse d'Évry)
Chaque année, des centaines de pèlerins venus des paroisses environnantes venaient au Val-Saint-Germain pour offrir des «souches». Ce sont de gros porte-cierges en général en bois sculptés et peints, témoignages d'un art populaire et naïf.
Illustration: Sainte Julienne au milieu des «souches» des communes.
La légende dorée

Autres Fêtes du Jour
Saint Armentaire  Evêque d'Antibes (Ve siècle)
Saints Elie et ses compagnons  martyrs égyptiens (✝ v. 312)
Saint Honeste martyr à Pampelune (✝ v. 270)
Bienheureuse Isabel Sánchez Romero  martyre de la guerre en Espagne (✝ 1937)
Bienheureux Joseph Allamano   Fondateur (✝ 1926)
Sainte Lucile  (IVe siècle)
Bienheureux Mariano Arciero  prêtre italien (✝ 1788)
Sainte Marie La Nouvelle  A Constantinople (IXe siècle)
Saint Maruthas  Evêque aux frontières de la Perse et de l'Arménie (✝ 420)
Bienheureux Nicolas Paglia  dominicain (✝ 1256)
Saint Pamphile de Césarée  Martyr à Césarée de Palestine (✝ 309)
Bienheureuse Philippa Mareri  Ermite dans la montagne (✝ 1236)
Saint Siméon  Evêque de Metz, honoré dans l'ancienne liturgie de ce diocèse (IVe siècle)
Saint Tétrade  évêque de Bourges (✝ v. 512)
Saint Onésime

Évêque d'Éphèse
(† 95)

Saint Onésime
Saint Onésime

Esclave d'un citoyen de Colosse nommé Philémon que saint Paul avait converti, Onésime, après avoir mal servi son maître, le vola et s'enfuit. Lorsqu'il eut dissipé tout ce qu'il avait pris, il vint se cacher à Rome; la bonté de Dieu l'y amenait pour le délivrer d'une servitude plus triste que celle dont il avait voulu s'affranchir par la fuite.

Il y rencontra saint Paul, captif. L'Apôtre, qui considérait également les maîtres et les esclaves comme des frères rachetés en Jésus-Christ, lui montra la gravité de sa faute, l'instruisit, le convertit et le baptisa. Depuis ce temps-là, il le regarda toujours comme son fils, d'autant plus cher qu'il l'avait engendré à Dieu dans les chaînes. Voulant le réconcilier avec Philémon, il le lui renvoie avec une lettre où il demande le pardon et même la liberté du fugitif:

"Paul, prisonnier de Jésus-Christ, et Timothée, son frère, à Philémon, notre bien-aimé et coopérateur,... grâce à vous et paix de la part de Dieu notre Père et de Notre-Seigneur Jésus-Christ... La prière que je vous adresse est pour mon fils Onésime, que j'ai enfanté dans mes chaînes... Je vous le renvoie; recevez-le comme si c'était moi-même... Et non plus comme un esclave, mais comme un esclave, devenu un frère... J'avais pensé d'abord à le garder auprès de moi; mais je n'ai rien voulu faire sans votre consentement... S'il vous a fait tort ou qu'il vous soit redevable de quelque chose, mettez-le à mon compte. C'est moi, Paul, qui vous le rendrai... Oui, mon frère, procurez-moi cette joie dans le Seigneur... Que la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ soit avec votre esprit. Ainsi soit-il."

Philémon reçut Onésime avec charité et le renvoya à Rome pour assister saint Paul dont il devint le compagnon fidèle. L'apôtre lui confia, ainsi qu'à saint Tychique, sa lettre aux Colossiens; il le nomma évêque d'Éphèse après la mort de saint Timothée.

Onésime eut le bonheur de saluer à Smyrne, saint Ignace d'Antioche qui se rendait à Rome pour y être exposé aux bêtes. Dans sa lettre aux Éphésiens, le martyr loue la charité de l'évêque d'Éphèse.

Le procureur d'Asie, voyant qu'Onésime, malgré la persécution, prêchait avec courage, le fit arrêter et l'envoya à Tertulle, gouverneur de Rome, ennemi personnel d'Onésime. Celui-ci le soumit à la torture et le fit lapider l'an 95.

Frères des Écoles Chrétiennes, Vie des Saints, p. 72-73

Bx Joseph Allamano

Prêtre et fondateur de deux Congrégations :

« Missionnaires de la Consolata »

« Sœurs Missionnaires de la Consolata »

 

J

oseph (Giuseppe) Allamano naît le 21 janvier 1851 dans une petite ville du nord de l’Italie (Castelnuovo d’Asti, aujourd’hui : Castelnuovo Don Bosco) ; sa mère était la sœur de saint Joseph Cafasso, alors recteur du sanctuaire de Notre-Dame de la Consolata à Turin.

 

Il fréquenta l’école de saint Jean Bosco et devint en 1873 prêtre du diocèse de Turin. Sept ans plus tard, son évêque le nomme recteur du sanctuaire de Notre-Dame de la Consolata et responsable de la formation permanente des prêtres du diocèse. C’est ainsi que l’abbé Allamano se rend compte qu’il y a beaucoup de prêtres en Italie.

 

Dans les années 1890, avec son fidèle collaborateur Jacques Camisassa, il tente de fonder une communauté de missionnaires pour aller évangéliser l’Afrique, mais tous ses projets échouent.

Le 29 janvier 1900, il guérit miraculeusement d’une maladie grave et son évêque lui dit : « C’est pour que tu fondes un institut missionnaire ! »

Joseph Allamano se met tout de suite à la tâche et, en mai 1902, le premier groupe de quatre missionnaires (dont un laïque) part pour le Kenya.

En 1910, il fondera un deuxième institut, les « Sœurs Missionnaires de la Consolata ».

 

Il passe le reste de sa vie à diriger ses deux instituts missionnaires, à coordonner la pastorale au sanctuaire de Notre-Dame de la Consolata et à la formation des prêtres de son diocèse.

Il meurt à Turin le 16 février 1926.

 

Dans son homélie à la messe de la béatification de Joseph Allamano, le 7 octobre 1990, Saint Jean-Paul II a déclaré :

« En ce moment où il est accueilli parmi les bienheureux, Joseph Allamano nous rappelle que, pour rester fidèles à notre vocation chrétienne, nous devons savoir partager les dons reçus de Dieu avec nos frères et sœurs, sans discrimination de race ou de culture. »

 

 

Saint Pamphile de Césarée

Martyr à Césarée de Palestine (✝ 309)

Martyr à Césarée de Palestine (fêté le 1er juin).
Un savant qui étudia à Alexandrie et enseigna à l'école fondée par Origène à Césarée. Il y réunit une extraordinaire bibliothèque pour l'époque, avec plusieurs milliers de livres où Eusèbe viendra puiser pour son "Histoire ecclésiastique". Arrêté, il fut oublié en prison pendant deux ans, ce qui lui permit d'écrire une "apologie" d'Origène. Eusèbe, qui raconte son martyre, avait une telle vénération pour lui qu'il accola le nom de Pamphile au sien.
Saint Pamphile
et ses compagnons, Porphyre, Valens, Paul et Séleucus, martyrs en Palestine (fêtés le 16 février).
Originaire de Béryte, l'actuelle Beyrouth, Pamphile vient à Alexandrie pour étudier les Saintes Ecritures. Devenu prêtre à Césarée de Palestine, il y dirige l'école théologique locale, créée par Origène. Parmi ses élèves se trouve Eusèbe de Césarée, futur historien de l'Eglise. En 310, éclate la persécution de Maximin Daïa. Pamphile est arrête. On tente en vain de lui faire renier sa foi, en lui faisant subir divers sévices. Pendant deux ans, il demeure en prison. Eusèbe vient visiter son maître; ils parlent de théologie. A cette époque, la pensée de leur maître Origène commence à être suspectée d'hérésie. Pamphile et Eusèbe rédigent une défense de la théologie d'Origène, dans laquelle ils montrent qu'on a durci et déformé des hypothèses formulées comme des suppositions par le théologien alexandrin du siècle précédent. Cependant Pamphile refuse toujours de sacrifier aux idoles. Il finit par être supplicié avec plusieurs compagnons.

Saint Siméon

Evêque de Metz, honoré dans l'ancienne liturgie de ce diocèse (IVe siècle)

Juif originaire de l'île de Crète, converti au Christ, son tombeau fut longtemps honoré de beaucoup de miracles et de guérisons.
châsse de Saint Siméon évêque7e évêque de Metz
Les Reliques de Saint Siméon (7e Évêque de Metz après St Clément et second Protecteur de l'Abbaye de Senones) retrouvèrent leur place dans la chapelle qui lui a été consacrée en 1895, le dimanche 27 février 2011 à l'église de Senones.
A l'origine le corps de Saint Siméon reposait dans une petite chapelle, détruite à ce jour, édifiée sur la colline aux alentours de Senones: colline de Saint-Siméon. En 785, la translation des Reliques de Saint Siméon s'effectua vers l'église St Pierre (Abbaye de Senones), où le corps reposa dans une châsse de bois et d'argent, châsse qui disparut et fut remplacée par un reliquaire...
(diocèse de Saint-Dié)
Il succéda à Saint Victor; ses reliques étaient vénérées à l'abbaye de Senones où elles avaient été transportées en 770. (source)
Il siégea 30 ans et c'est tout ce qu'on sait de lui. (source

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