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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Nous fêtons les Saintes âmes du 22 fèvrier

SAINT DU JOUR
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Date 22 février

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint-Siège

 

Née en 1247, pauvre paysanne, amante d’un noble de Montepulciano, dont elle a un fils. Après la mort de l’amant, elle se retrouve à la rue. Attirée par la vie franciscaine, elle se convertit, consacre sa vie aux malades et ouvre le premier hôpital pour les pauvres de Cortone où elle meurt en 1297.  

Sainte Marguerite de Cortone

Pénitente
(1249-1297)

Sainte Marguerite de Cortone
Sainte Marguerite de Cortone

Sainte Marguerite de Cortone était une enfant du peuple. La négligence de ses parents, sa rare beauté, les occasions dangereuses, l'engagèrent en des liens coupables pendant neuf ans. Aveuglée par ses passions, elle avait le sentiment de sa vie criminelle et aspirait à en sortir; mais elle n'en avait pas le courage. La mort violente et tragique de son séducteur fut pour elle le coup de grâce.

Ardente au bien comme elle l'avait été au mal, elle fit l'aveu de ses fautes, et, après trois ans d'épreuves, reçut l'habit du Tiers-Ordre de Saint-François. Notre-Seigneur lui fut prodigue, comme autrefois à Madeleine, de Ses faveurs les plus singulières. La terre froide et nue est son lit, une pierre ou un morceau de bois son oreiller; son sommeil est souvent interrompu par ses soupirs et par ses larmes; sa beauté d'autrefois n'est plus aujourd'hui pour elle qu'un objet d'horreur; elle se défigure par les jeûnes et par de sanglantes meurtrissures.

La plus insigne grâce de sa vie depuis sa conversion, c'est sa participation aux souffrances de la Passion:

"Prépare-toi, lui dit Jésus-Christ, à être purifiée par les tribulations, les tentations, les infirmités, les douleurs, les larmes, les craintes, la faim, la soif, le froid, les privations de toutes sortes; Je serai avec toi.

-- O Seigneur, dit Marguerite, je m'offre avec allégresse pour souffrir avec Vous."

Elle eut bientôt une participation aussi grande que possible aux douleurs de Jésus, qu'elle vit et qu'elle endura toutes les unes après les autres. Quand elle sortit de cet état surnaturel, pâle et livide, elle demeura longtemps sans parole et glacée d'un froid mortel.

Dieu donna à Marguerite une grâce puissante pour obtenir la conversion des pécheurs et la délivrance des âmes du purgatoire. Elle eut, avant sa mort, à soutenir de terribles combats contre l'ennemi des âmes; mais Dieu fut avec elle, et elle vit un ange descendre du Ciel pour la fortifier.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

SAINT MAXIMIEN, ÉVÊQUE DE RAVENNE ET CONFESSEUR

Istrien de naissance, Maximilien fut nommé premier archevêque de Ravenne par l’empereur Justinien mais pendant dix ans il assuma aussi la charge de Primat d’Italie en l’absence du pape. Il est l’auteur des chefs d’œuvre telles que les églises Saint Michel et Saint Vital et la défaite de l’arianisme.  

 

Autres Fêtes du Jour
Saint Abilius   évêque d'Alexandrie (✝ v. 97)
Saint Athanase  Confesseur (✝ 826)
Saint Baradate  Confesseur (✝ 460)
Chaire de Saint Pierre
Vénérable Domingo Lázaro  prêtre marianiste espagnol (✝ 1935)
Bienheureux Jacques Carvalho  Martyr au Japon (✝ 1624)
Bienheureux Jean le Saxon  moine (✝ v. 895)
Sainte Marguerite de Cortone  Pénitente laïque italienne (✝ 1297)
Bse Marie de Jésus (Émilie d'Outremont) fondatrice de la société de Marie Réparatrice (✝ 1878)
Saint Maximien  Evêque de Ravenne et confesseur (✝ 556)
Saints neuf enfants martyrs de Kola
9 enfants lapidés par les païens dans le village de Kola en Géorgie (VIe siècle)
Saint Papias  Evêque et martyr en Phrygie (✝ 163)
Saint Paschase  Evêque et confesseur (✝ 310)
Bienheureux Richard Henkes prêtre martyr (✝ 1945)
Saint Télesphore  Pape (8e) de 125 à 136 et martyr (✝ 136)
Saint Thalassa  et saint Limnée, confesseurs (Ve siècle)

Bienheureuse Isabelle de France

Dictons
Le temps qu'il fait le jour de la Sainte-Isabelle dure jusqu'aux Rameaux.
religieuse clarisse, soeur de Saint Louis (✝ 1270)

 

Ce n'est pas une princesse de légende. Nous avons d'elle le portrait vivant qu'a écrit l'une de ses dames d'honneur, Agnès d'Harcourt, qui deviendra par la suite abbesse de Longchamp. Dès son plus jeune âge, cette sœur du roi saint Louis fut attirée par les choses célestes. Elle était gracieuse et belle en sa jeunesse, mais de santé chétive. Près de sa mère, elle tint son rang au palais royal, mais passait beaucoup de temps avec les pauvres. Elle réussit à ne point se laisser marier à Conrad, le fils de l'empereur Frédéric II, malgré les instances du Pape. La bienheureuse Isabelle (1225-1270)Après la mort de Blanche de Castille elle résolut de vivre à l'écart du monde et passa le reste de sa vie dans une petite maisonnette, près du couvent de Longchamp qu'elle avait bâti à Paris pour les clarisses et qu'elle consacra à "l'Humilité de Notre-Dame." Elle y mena une vie d'austérité et de prière, sans prononcer pour autant des vœux de religion.
Fêtée au propre de France le 22 février et que Paris fête le 24 février…
La bienheureuse Isabelle (1225-1270), sœur de saint Louis, est née à Paris de Louis VIII et de Blanche de Castille. Dès son plus jeune âge, elle fut attirée par les choses célestes. Près de sa mère, elle tint son rang au palais royal, mais passait beaucoup de temps avec les pauvres... (diocèse de Nanterre)
Sœur du roi 
saint Louis, elle resta à la cour tant que vécut sa mère Blanche de Castille. Elle y tint son rang avec simplicité mais aussi avec dignité. Elle s'occupait surtout des pauvres, des malades et des lépreux. Puis elle fonda le monastère des religieuses clarisses "Notre-Dame de l'humilité", sur la plaine de Longchamp, grâce à l'appui royal. Saint Bonaventure rédigea la règle de ces moniales. Isabelle resta simple laïque, habitant à côté du monastère dans la piété, l'austérité et la prière.
À Longchamp aux environs de Paris, en 1270, la bienheureuse Isabelle, vierge. Sœur du roi saint Louis, elle refusa des noces princières, méprisa les délices du monde et fonda un couvent de Sœurs Mineures, avec lesquelles elle vécut pour Dieu dans l'humilité et la pauvreté.

 

Martyrologe romain

Bse Marie de Jésus (Émilie d'Oultremont)
Veuve Van der Linden D'Hooghvorst
Religieuse et fondatrice des
« Sœurs de Marie Réparatrice (SMR) »

M

arie de Jésus, dans le siècle Émilie d'Oultremont, naît le 11 octobre 1818 à Wégimont, près de Liège ; ses parents appartiennent à la noblesse belge. Avec ses deux frères elle reçoit une solide formation dans tous les domaines et une excellente éducation.

Dotée d’une riche personnalité, elle a du charme et de la volonté. Son père étant ambassadeur de Belgique auprès du Saint-Siège, Émilie l’accompagne dans ses voyages à travers l’Europe. Très jeune, elle se sent fortement attirée par l’absolu de Dieu et va découvrir la personne et la spiritualité St Ignace de Loyola (1491-1556).En elle grandit le désir de la vie religieuse.

Elle a dix huit ans quand ses parents, selon la coutume de l’époque, lui parlent de mariage. Après un temps d’hésitation, elle épouse, le 19 Octobre 1837, Victor d’Hooghvorst. C’est un mariage de raison qui va devenir un mariage d’amour et sera comblé avec la naissance de quatre enfants, deux garçons et deux filles.
La vie d’Émilie se partage entre sa famille, le service des pauvres et ses engagements mondains. À Rome, un jour, en plein milieu d’un grand bal, Dieu se révèle à elle comme l’Unique. Jaillit en elle la réponse: « Maître, vous seul dans ma vie ! » « À dater de ce moment, je compris qu’il y aurait entre Lui et moi une union que plus rien ne briserait. »
Le bonheur d’Émilie et de Victor sera de courte durée : Victor contracte une grave maladie et meurt prématurément le10 août 1847.

Émilie se retrouve veuve à vingt-neuf ans, avec quatre enfants de deux à neuf ans qu’elle éduque avec amour. Mais le désir d’appartenir totalement à Jésus prend de plus en plus possession de son cœur. Ses parents meurent dans les quatre ans qui suivent la mort de son mari. Elle prend alors de la distance vis-à-vis de sa famille, décide de mettre ses fils au collège en France, fait des démarches pour venir habiter à Paris et quitte définitivement la Belgique en 1854. Mais avant son départ, une de ses tantes l’invite dans son château de Bauffe. Là, Dieu l’attendait.

Le 8 Décembre 1854, au moment précis où le dogme de l’Immaculée Conception est proclamé à Rome, Émilie se trouve en prière dans la chapelle de Bauffe. Elle vit là une forte expérience spirituelle qui va l’illuminer pour toujours.
Émilie relate cette expérience comme une rencontre  avec Marie. Celle-ci lui  confie le désir secret de son cœur maternel. Marie l’appelle à aimer Jésus, et les membres de son Corps, « avec la délicatesse d’amour qui se trouve dans le cœur d’une mère », et à être ainsi « Marie pour Jésus ». C’est une invitation  à collaborer à la mission de rédemption et de réparation du Christ. Elle y répond sans réserve : « Je promis tout à Marie. »

Émilie se sent poussée à une vie de « réparation », selon un courant spirituel propre au XIXe siècle, et  à une époque où l’on est sensible aux profanations de l’Eucharistie. Elle mesure le poids de la tendresse de Dieu pour le monde, et a conscience de l’urgence d’y répondre par le don de sa vie.
Pour Émilie, réparer,  c’est vouloir sans cesse être tourné vers le Christ, désirer le servir et le faire connaître, accepter de le suivre jusque dans sa passion, en vivant une solidarité effective avec l’humanité éprouvée, poser des gestes de communion et être artisans de paix. « À côté de Marie et par son cœur, tout dans notre vie sera pour Dieu, sa Gloire et la Réparation. »

Entourée de quelques jeunes femmes de diverses nationalités et aidée par plusieurs jésuites, Émilie commence peu à peu une expérience de vie religieuse La première communauté officielle est ouverte à Strasbourg le 1er Mai 1857.
Émilie prend le nom de « Marie de Jésus ». Parallèlement à cette fondation, elle continue à s’occuper de l’éducation de ses enfants.
Dès les origines, l’unité du groupe se fait autour de l’Eucharistie, vécue dans sa double dimension d’adoration et d’annonce de la Parole dans le souci d’un équilibre entre prière et activité apostolique.
L’Institut n’a que deux années d’existence quand Mère Marie de Jésus est sollicitée pour une fondation en Inde.
C’est le début de l’expansion de la Congrégation qui va rapidement s’étendre en France, en Inde, en Angleterre, en Belgique, à l’île de La Réunion, en Italie, à l’Ile Maurice, en Irlande et en Espagne. Ce développement rejoint les aspirations missionnaires de la fondatrice : « Sans crainte ni des dangers, ni de la souffrance, ni de la fatigue, nous irons partout où la charité de Jésus-Christ voudra bien nous appeler, et, protégées par Marie notre Mère… nous traverserons les mers pour redire aux contrées les plus lointaines le nom de Jésus, sa miséricorde et son amour ». (Lettre du 2 juillet 1862)

Mère Marie de Jésus connaît les joies et les difficultés, les temps de lutte et les moments de tranquille assurance d’une fondatrice. En 1863, elle obtient du Bx Pie IX (Giovanni Maria Mastai Ferretti, 1846-1878) une reconnaissance canonique et un premier encouragement. La maison généralice est établie à Rome en 1865. Avec l’aide du P. Ginhac, s. j, la Fondatrice poursuit l’élaboration des Constitutions, qui ne seront approuvées définitivement qu’après sa mort, en 1883 par le pape Léon XIII (Vincenzo Gioacchino Pecci, 1878-1903).
Infatigable, passionnée, Mère Marie de Jésus fondera encore après Strasbourg et Paris vingt communautés dans huit pays.
Elle meurt sereinement à Florence, juste avant midi, le 22 Février 1878.

Saint Jean-Paul II (Karol Józef  Wojtyła, 1978-2005) l’a proclamée Vénérable le 23 décembre 1993 et Bienheureuse le 12 octobre 1997, sur la Place St Pierre à Rome.

 

Saint Papias

Evêque et martyr en Phrygie (✝ 163)

Disciple de saint Polycarpe de Smyrne et de saint Ignace d'Antioche, il était évêque de Hiérapolis. Il écrivit beaucoup et dans ce qui reste des fragments de son livre intitulé "Les discours du Seigneur", nous avons des renseignements précieux concernant les auteurs des quatre évangiles.
À Hiérapolis en Phrygie, au IIe siècle, saint Papias, évêque, homme vénérable, dit saint Irénée, auditeur de Jean l'Ancien, familier de saint Polycarpe et qui donna son interprétation des paroles du Seigneur. (martyrologe romain)

Martyrologe romain

Saints neuf enfants martyrs de Kola

9 enfants lapidés par les païens dans le village de Kola en Géorgie (VIe siècle)

Gouram, Adarnassé, Bakhar, Vatché, Bardzim, Datchi, Djvanchère, Ramaz et Pharrsam.
neuf enfants martyrs de Kola, GéorgieL'Eglise orthodoxe géorgienne célèbre neuf enfants martyrs du VIe siècle au village de Kola à la source de la rivière Mtkvari (Koura). Leurs noms sont: Guram, Adarnerse, Baqar, Vaché, Bardzim, Dachi, Juansher, Ramaz et Parsman. Ils étaient païens, mais un jour ils sont allés à l'église pour demander le baptême et de recevoir la Sainte Communion. Leur ferme décision de persévérer dans leur foi dans le Christ et le refus répété du culte des idoles païennes leur a coûté leur vie, et, bien qu'à un âge précoce, ils ont gagné la palme du martyre.
Leurs parents athées prirent des pierres et les jetèrent sur eux jusqu'à ce que le trou soit complètement rempli. Puis ils sont allés battre à mort le prêtre, l'ont volé et ont divisé le butin entre eux.
'Nous sommes chrétiens, et nous allons mourir pour Celui en qui nous avons été baptisés!' ont proclamé les saints martyrs, les neuf enfants de Kola, avant d'offrir leurs âmes à Dieu.
Illustration: Les saints neuf enfants de Kola (VIe siècle)
Ils sont fêtés le 22 février dans l'ancien calendrier et le 7 mars dans le nouveau.
"De nombreux martyrs ont versé leur sang pour l'Evangile, lorsque professer la foi chrétienne était un délit passible de la peine de mort: des neuf enfants martyrs de Kola à saint Shushanik, à saint Eustache de Mtskheta, à Abo de Tbilissi, jusqu'à la reine Ketevan. En raison de son histoire et de sa culture chrétienne, la Géorgie mérite la reconnaissance de l'Eglise universelle."
(discours du Saint-Père au palais patriarcal de Tbilissi le 8 novembre 1999)

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