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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

SAINT DU JOUR

Dimanche 2 février 2020

Bouquet spirituel:
«Si quelqu'un veut vous contraindre à faire avec lui mille pas, faites-en deux autres mille.»
Mt. 5, 41
La Présentation de Jésus au Temple

et la Purification de Marie

La fête de ce jour a un double objet, célébrer la Purification de Marie et la Présentation de Jésus au Temple selon la loi de Moïse. Cette loi fixait le temps où les mères devaient se présenter avec leurs nouveau-nés devant les autels, et elle exigeait une offrande pour le rachat des enfants mâles. Ni Marie, toute pure dans sa maternité, ni Jésus, Fils de Dieu, n'étaient obligés à cette cérémonie; cependant par humilité, et pour donner aux hommes un éclatant exemple d'obéissance aux lois divines, Marie, accompagnée de Joseph et portant Jésus en Ses bras, Se rendit au Temple de Jérusalem.

La fête chrétienne qui nous conserve le souvenir de cette cérémonie porte, dans le langage populaire, le nom de la Chandeleur, à cause de la procession qui se fait ce jour-là dans nos églises avec des cierges allumés.

Les cierges symbolisent Notre-Seigneur Jésus-Christ, Lumière du monde; la procession représente le passage de la sainte Famille dans le Temple et la rencontre des deux vieillards Siméon et Anne. Saint Anselme, développant ce mystère, nous dit qu'il y a trois choses à considérer dans le cierge: la cire, la mèche et la flamme. La cire, ouvrage de l'abeille virginale, est la Chair du Christ; la mèche, qui est intérieure, est Son Âme; la flamme, qui brille en la partie supérieure est Sa Divinité.

La procession de la Chandeleur nous apparaît comme la marche du peuple chrétien à la lumière du Christ, figuré par les cierges que porte le clergé, la portion choisie de l'Église, comme Jésus même était porté entre les bras de Marie, entre ceux du saint vieillard Siméon et du pontife qui L'offrit au Seigneur.

Les cierges de la Chandeleur sont bénits avec une solennité toute particulière et avec l'emploi des prières les plus touchantes. Conservés dans la maison des chrétiens, ils sont un gage de la protection divine. Il est dans l'esprit de l'Église d'allumer les cierges de la Chandeleur pour repousser les esprits de ténèbres, dans les dangers corporels et spirituels, au lit des mourants, pour éloigner d'eux l'ennemi des hommes, qui fait alors son suprême effort afin d'arracher les âmes à Dieu. C'est bien alors surtout, en effet, que l'homme a besoin du recours du Rédempteur, vraie lumière des âmes, pour illuminer les derniers instants de sa vie.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950

SAINT DU JOUR
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Date 02 février

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint-Siège

SAINTE CATHERINE DE RICCI, VIERGE DOMINICANE DE PRATO

Elle entra, à l’âge de 14 ans, au monastère de saint Vincent à Prato où elle vécut une vie faite d’extases avec des signes corporels évidents, qui au début suscitèrent méfiance chez ses consœurs. La contemplation de la Passion de Jésus fut le centre de sa vie.  

SAINT NICOLAS SAGGIO DE LONGOBARDI RELIGIEUX DE L’ORDRE DES MINIMES

D’origine paysanne, pour étudier il dut entrer dans l’Ordre des Minimes et vécut dans de nombreux couvents toujours avec les tâches les plus humbles; à Rome, il s’occupa matériellement et spirituellement des pauvres pratiquant le jeûne et la pénitence. Il a été canonisé par le pape François en 2014.  

 Fêtes du Jour
Saint Adalbade  Martyr originaire du nord de la France (✝ 652)
Bienheureux André Charles Ferrari  Cardinal archevêque de Milan (✝ 1921)
Saint Apronien  martyr (✝ v. 304)
Bienheureux Benedict Daswa  martyr en Afrique du Sud (✝ 1990)
Saint Burchard  Evêque de Wurtzbourg (✝ 752)
Sainte Catherine de Ricci  Prieure des Dominicaines de Prato (✝ 1590)
Saint Colomban  Reclus irlandais (✝ 959)
Bienheureux Etienne Bellesin  prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (✝ 1840)
Sainte Feock  En Cornouailles (date ?)
Saint Floscule  Evêque d'Orléans (✝ v. 480)
Vénérable François Libermann  prêtre (✝ 1852)
Saint Gabriel  Crieur pour l'église du Patriarcat des Iles aux princes (✝ 1676)
Saint Goal  Ermite breton (VIIe siècle)
Sainte Hadeloge  Vierge au monastère de Kintzingen (VIIIe siècle)
Saint Jean-Théophane Vénar  missionnaire, martyr au Tonkin (✝ 1861)
Sainte Jeanne de Lestonnac  Fondatrice de la Compagnie de Marie Notre-Dame (✝ 1640)
Saint Jourdain de Trébizonde  Chaudronnier à Constantinople (✝ 1650)
Saint Laurent de Cantorbery  Premier successeur de saint Augustin de Cantorbery (✝ 619)
Bse Maria-Katharina Kasper  Fondatrice de la congrégation des Pauvres Servantes de Jésu-Christ (✝ 1898)
Bienheureuse Marie-Dominique Mantovani  Cofondatrice de la congrégation de la Sainte-Famille (✝ 1934)
Saint Nicolas Saggio de Longobardi  religieux de l'Ordre des Minimes (✝ 1709)
Bienheureux Pierre Cambian  Dominicain, inquisiteur dans le Piémont (✝ 1365)
Bienheureux Simon Fidati  prêtre de l'Ordre des Ermites de Saint- Augustin (✝ 1348)
Vénérable Vincenzina Cusmano  première supérieure générale de la congrégation des 'Serve dei Poveri' (✝ 1894)

Saint Jean-Théophane Vénard

missionnaire, martyr au Tonkin (✝ 1861)

Il gardait les vaches de son père, petit laboureur de Saint-Loup-sur-Thouet et lisait les 'Annales de la Propagation de la Foi' ce qui l'enthousiasmait. Il entra donc aux Missions Etrangères de Paris et, jeune prêtre, il partit au Vietnam du Nord. Après huit années d'apostolat clandestin, il fut décapité, à trente et un ans, après avoir passé soixante jours plié en deux dans une cage de bois, au point que son sang ne circulait plus. Jamais il ne perdit ni son courage ni sa gaieté. Il répétait alors: 'Il faut du courage dans la vie, vive la joie!'
Né le 21 novembre 1829 à Saint-Loup-sur-Thouet (Deux-Sèvres), mort le 2 Février 1861 à Hanoï.
Martyr, missionnaire au Tonkin, béatifié par Pie X en 1909.
Canonisé par Jean-Paul II à Rome le 19 juin 1988 parmi les 
117 Martyrs du Vietnam
Théophane Vénard est honoré, avec tous les saints martyrs du Vietnam, le 24 novembre. Son corps ainsi que des objets lui ayant appartenu, sont aujourd'hui conservés au séminaire des Missions Etrangères. Sa tête a été gardée à la paroisse de Ke-Trü, non loin de Hanoï..
- Deuxième enfant d'une famille chrétienne très unie, la vocation missionnaire de Théophane s'éveilla à l'âge de 9 ans, à la lecture de 'la vie et la mort du vénérable Charles Cornay', originaire du Poitou tout comme lui, et martyrisé au Tonkin. Il perdit sa mère alors qu'il était en 6°. Sa sœur Mélanie remplacera de son mieux la disparue. En 1851, il demanda à son père la permission de se faire missionnaire.
Ordonné prêtre le 13 juillet 1852, il rejoignit le Tonkin le 13 juillet 1854, alors que la persécution y sévissait depuis 20 ans. Arrêté sur dénonciation le 30 novembre 1860, il fut condamné à mort et décapité le 2 février 1861. Il marcha au supplice en chantant le Magnificat.
'La perfection n'est pas plus dans un lieu que dans un autre; elle est dans la correspondance à la grâce de Dieu , là où Il nous veut'.(Lettre à sa sœur)
'Quitter la famille a été mon grand sacrifice. Je me dis pour me consoler: 'Nous nous retrouverons dans la grande famille; la famille de la terre passe, celle du ciel demeure. Allons convier à faire partie ceux qui ne la connaissent pas.'(Lettre à son frère)
'A la fin de sa vie, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus vénérait Théophane comme un saint.'
Le B. Théophane Vénard par l'Abbé A. Body - Œuvres des Bonnes Lectures 1909
À Hanoï au Tonkin, en 1861, saint Jean-Théophane Vénard, prêtre de la Société des Missions étrangères de Paris et martyr. Après six années de ministère clandestin marquées par les fatigues et les angoisses, il fut dénoncé par un traître et, comme il refusait de piétiner la croix, il fut enfermé dans une cage et, d'un cœur joyeux, alla au devant de son supplice, sous l'empereur Tu Duc.

Martyrologe romain

"Nous sommes tous des fleurs plantées sur cette terre et que Dieu cueille en son temps, un peu plus tôt un peu plus tard."

Théophane Vénard

Sainte Jeanne De Lestonnac

Veuve et fondatrice
(1556-1640)

 

Nièce de Montaigne, Jeanne naît à Bordeaux, aînée d'une famille très en vue de la ville : son père, Richard de Lestonnac est Conseiller au Parlement et sa mère Jeanne Eyquem, est la sœur de l'humaniste Michel de Montaigne, auteur des Essais.

 

Le Calvinisme envahit la France et les guerres de religion désagrègent le pays. Sa mère, séduite par la Réforme, tente d'y attirer sa fille. Jeanne trouve en son père et son oncle Michel qui ont l'intuition de son conflit intérieur, des défenseurs de la foi Catholique.

 

À dix-sept ans elle est mariée à Gaston de Montferrant Landiras. Sept enfants viennent combler cet amour qui sera partagé pendant vingt-quatre ans. Suivent des mois de douleur et de rupture : son époux et son fils aîné meurent. Ensuite son père et son oncle. Ses enfants n'ayant plus besoin d'elle, a quarante-six ans elle entre chez les Feuillantines, monastère cistercien très strict de Toulouse. Elle prend le nom de Jeanne de Saint Bernard. Elle invoque l'Esprit pour que la lumière brille dans ses ténèbres. Soudain une double vision : une multitude de jeunes en danger et Marie qui est là, présente. Et un double engagement de la part de Jeanne : tendre la main à cette jeunesse en danger et vivre avec les attitudes de Marie.

 

À son retour des Feuillantines, Jeanne se retire dans ses terres de La Mothe. Elle vit patiemment une longue et confiante attente. Elle projette le nouvel Institut qui, tentera de remplir un manque concret en France au XVIIe siècle : l'éducation féminine dans toutes ses dimensions.

En 1605 une peste envahit Bordeaux. Jeanne brave la contagion et aide dans les quartiers les plus démunis. Là elle découvre le mystère du pauvre, présence vivante de Jésus. Ce service lui facilite aussi la rencontre avec des jeunes qui, attirées par sa personnalité, s'engagent dans son projet apostolique. Elle prend contact avec les jésuites de Bordes et Raymond préoccupés eux aussi par l'éducation des filles.

 

Le pape Paul V approuve la première communauté de la Compagnie de Marie Notre-Dame le 7 avril 1607. Jeanne a cinquante ans.

 

Elle meurt le 2 février 1640 à l'âge de quatre-vingt-quatre ans laissant derrière elle une trentaine de Maisons de Notre-Dame.

Jeanne De Lestonnac a été canonisée, le 15 mai 1949, par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958).

 

Bse Maria Domenica Mantovani
Vierge, co-fondatrice de l'Institut des

« Petites Sœurs de la Sainte-Famille »

 

M

aria Domenica Mantovani naît le 12 novembre 1862, à Castelleto di Brenzone (Province de Vérone, Italie), elle grandit, jusqu'à l'âge de trente ans, au sein de sa famille.

Elle interrompit très tôt ses études en raison de la pauvreté de sa famille, mais son intelligence, sa volonté et son sens pratique suppléèrent au manque de culture scolaire.

 

Elle rencontra à quinze ans le bienheureux Giuseppe Nascimbeni, qui allait être son guide spirituel et dont elle devait devenir la première collaboratrice. Membre de l'Union pieuse des Filles de Marie, elle y fut un modèle pour ses compagnes.

 

Elle émit le 8 décembre 1886 le vœu de chasteté perpétuelle par dévotion à la Vierge Immaculée puis, à la demande de son directeur spirituel, elle devint avec lui co-fondatrice, puis Supérieure générale de la Congrégation des « Petites Sœurs de la Sainte-Famille » (6 novembre 1892). Elle fut toujours une interprète fidèle des projets du Fondateur, et apporta une contribution substantielle à l'élaboration des Constitutions, inspirées à la règle du Tiers-Ordre régulier de Saint-François, et à la formation des sœurs.

 

Cette active collaboration entre le Fondateur et Mère Maria Domenica contribua au développement et à l'expansion de l'Institut. A la mort du bienheureux Nascimbeni, elle continua à diriger l'Institut avec sagesse et grandeur d'âme.

 

Elle fit preuve toute sa vie de toutes les vertus, en particulier d'une très grande humilité. Avant de mourir elle eut la consolation d'obtenir l'approbation définitive des Constitutions et, ad septennium, de l'Institut. La Congrégation comptait déjà plus de 1200 sœurs dans 150 maisons réparties à travers l'Italie et le monde.

Elle mourut le 2 février 1934.                                

 

Maria Domenica Mantovani a été béatifiée le 27 avril 2003, à Rome, par saint Jean Paul II (Karol Józef Wojtyła, 1978-2005).

Vénérable Vincenzina Cusmano

première supérieure générale de la congrégation des 'Serve dei Poveri' (✝ 1894)

Vincenzina CusmanoCinq nouveaux bienheureux et sept vénérables, 4 mai 2017, promulgation de plusieurs décrets dont la reconnaissance des vertus héroïques de la sœur italienne Vincenza Cusmano, mère supérieure générale de la Congrégation des Pauvres servantes de la Divine Providence (1826-1894); née le 6 janvier 1826 et morte le 2 février 1894
Vincenzina Cusmano, première supérieure générale de la congrégation des 'Serve dei Poveri' fondée par son frère le Bienheureux Jacques Cusmano à Palerme.
Dévouement pour les pauvres, intimement lié à son immense amour pour Jésus dans l'Eucharistie, une profonde humilité, l'obéissance absolue à l'adhésion complète à la volonté de Dieu, grande et héroïque pauvreté, le don de soi et l'amour maternel pour les sœurs, les orphelins et les pauvres qui étaient amoureusement accueillis et servis dans la maison, étaient les vertus religieuses qui ont marqué en particulier les quatorze dernières années de sa vie toujours plus fervente et plus entière.
En italien:
- Site internet de la congrégation
- Madre Vincenzina Cusmano paroisse Santa Rosalia, Montelepre en Italie

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