Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Les Saints et Saintes âmes du 4 mars

SAINT DU JOUR
banner santi.jpg
Date 04 mars

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint-Siège

 

SAINT CASIMIR, PATRON DE LA LITUANIE

20190304_Wikimedia-Commons_Cattedrale-di-Vilnius-Lituania_1520-ca._CASIMIRO.jpg

Né en 1458, fils du roi de Pologne, d’origine lituanienne, il renonce à la couronne de Hongrie par respect au Pape. Il refuse de se marier avec la fille de Frédéric III de Habsbourg, qui voulait seulement agrandir son royaume. Il meurt à 25ans, jamais vaincu par les séductions du pouvoir et du luxe.  

Saint Casimir

Fils de Casimir IV de Pologne (✝ 1484)

Il est le deuxième des treize enfants du Grand-Duc de Lituanie, devenu roi de Pologne, Kazimierz Jagellon le Grand. Casimir - Kazimieras, Lithuanian Art Museum, VilniusIl a treize ans quand son père lui commande d'aller ceindre la couronne de Hongrie. Mais il devra livrer bataille. Casimir refuse une couronne qu'il lui faudra conquérir dans un bain de sang chrétien. "J'ai en vue", écrit-il alors, "une union de la Hongrie avec la Pologne, mais pas une guerre fratricide". Régent de Pologne en l'absence de son père, prince intelligent et généreux, il accomplit ses fonctions avec conscience et justice. Atteint de tuberculose pulmonaire, il refuse les moyens qu'on lui propose pour sauver sa vie. Il avait fait vœu de chasteté et ses médecins lui proposaient de l'abandonner comme étant le meilleur moyen de guérir: "Plutôt mourir que de commettre le péché." Au milieu d'une cour luxueuse, il sut garder un grand amour des pauvres et de la pauvreté grâce à une vie de prière intense. Il est le patron de la Lituanie, mais la Pologne ne l'oublie pas dans ses prières.
Mémoire de saint Casimir, fils du roi de Pologne, prince que le zèle pour la foi, la chasteté, la pénitence, la bonté envers les pauvres et la dévotion envers l'Eucharistie et la Vierge Marie ont rendu célèbre. Atteint de phtisie, il mourut saintement, à l'âge de vingt-six ans, au château de Grodno, à Vilnius en Lituanie, l'an 1484.

Martyrologe romain

Le prince royal ne peut rien faire de plus noble que de servir le Christ caché dans les pauvres. En ce qui me concerne, je ne veux que servir les plus pauvres d'entre les pauvres.

Saint Casimir en réponse à l'un de ses interlocuteurs

BIENHEUREUX HUMBERT III DE SAVOIE

Grandi dans l’amour de la prière, la pénitence et le mépris de la mondanité, Humbert III aurait préféré une vie monacale plutôt que régner pendant 40 ans au XII siècle. S’étant allié avec le parti guelfe, il se dévoue beaucoup pour l’Abbaye de Hautecombe où il est enterré.  

Les Fêtes du Jour
Saint Adrien  Fondateur d'un monastère sur l'île de May (✝ 875)
Vénérable Ana de Jesús de Lobera  religieuse carmélite (✝ 1621)
Sainte Anne de Jésus Carmélite (✝ 1621)
Saint Appien  ermite bénédictin (✝ v. 800)
Saints Basile et ses compagnons martyrs apôtres de la Crimée (IVe siècle)
Saint Basin Evêque de Trèves (✝ 700)
Bienheureux Christophe Bales Martyrisé pour sa fidélité à l'Église romaine (✝ 1590)
Saint Daniel de Moscou  Fondateur du monastère de Danilov (✝ 1303)
Bienheureuse Eulalie Placide Viel  Supérieure des Filles de la Miséricorde (✝ 1877)
Saint Félix de Rhuys moine (✝ 1038)
Bienheureux Humbert III de Savoie  Comte de Savoie (✝ 1189)
Saint Jean-Antoine Farina  évêque, fondateur de l'Institut Sainte-Dorothée. (✝ 1888)
Sainte Julienne  Martyre (IIIe siècle)
Saint Léonard  Evêque d'Avranches et confesseur (✝ 630)
Bienheureuse Louise-Elisabeth de Lamoignon Mère Saint-Louis, fondatrice de la Charité de Saint-Louis (✝ 1825) Bienheureux Mitslas Bohatkiewicz  Prêtre à Vilnius, fusillé par les nazis (✝ 1942)
Saints Photius, Archélaüs, Quirin et 17 autres martyrs  martyrs en Bithynie (IVe siècle)
Saint Pierre de Cluny  Abbé de Cluny (✝ 1123)
Saint Roméo  pélerin (XIVe siècle)
Bienheureux Zoltan Ludvik Meszlènyi évêque hongrois et martyr (✝ 1951)

Bse Marie-Louise-Élisabeth de Lamoignon
Veuve Molé de Champlâtreux
(en religion Mère Saint-Louis)
Fondatrice de la Congrégation des
« Sœurs de la Charité de Saint-Louis »

Marie-Louise-Élisabeth, fille de Chrétien François de Lamoignon de Basville, garde des sceaux de France en 1787, naît à Paris le 3 octobre 1763, dans l'hôtel particulier des Lamoignon, et fait partie de la haute noblesse française.

Elle est baptisée le jour même à l'église Saint-Sulpice. Louise-Élisabeth est proche de sa grand-mère, Madame Berryer, qui reçoit la famille dans son château de Thubeuf en Normandie et qui veille à la piété de sa petite-fille, tout en lui donnant des précepteurs de qualité. La fillette est influencée par Bourdaloue qui est le directeur spirituel de la famille. Elle n'oubliera jamais les grâces reçues de sa première communion, à l'âge de huit ans.

Marie-Louise-Élisabeth épouse, en la chapelle de l'hôtel Lamoignon, en février 1779, Édouard François Mathieu Molé, conseilleur au Parlement de Paris, issu d'une famille de grands magistrats. Ils auront cinq enfants dont deux atteignent l'âge adulte.
Madame Molé forme, grâce à M. de Pancemont, nouveau curé de sa paroisse Saint-Sulpice, un groupe de dames pour secourir la pauvreté du quartier pendant le dur hiver 1788-1789. Au cours d'une retraite, elle sent l'appel du Christ.

Puis la Révolution survient, la famille reste en France, malgré un court intermède à Bruxelles en 1791. Le comte et la comtesse Molé de Champlâtreux sont de retour en janvier 1792 pour se mettre en règle avec la loi du 9 novembre 1791 sur les émigrés. Ils sont cependant arrêtés et enfermés à la Conciergerie. Madame Molé est libérée à cause de son état de santé, mais son mari, homme intègre et charitable, est guillotiné, le jour de Pâques 1794.
Madame Molé est profondément affectée par l'exécution de son mari et la mort de sa fille de quatre ans en 1794 et songe à entrer dans un ordre contemplatif. Elle a trente ans, et renouvelle son pacte avec la Croix du Christ. Elle est expulsée de chez elle. Elle ne retrouve sa propriété de Méry-sur-Oise que l'année suivante. Elle perd son frère qui combat contre la Convention thermidorienne en Bretagne en 1795. C'est une nouvelle épreuve.

Elle est cependant dissuadée, à cette époque, d'entrer en religion par son confesseur, M. de Pancemont, avec qui elle correspond clandestinement et qui, revenu d'exil est devenu évêque de Vannes, l'encourage plutôt à fonder quelques années plus tard une congrégation religieuse, la congrégation des « Sœurs de la Charité de Saint-Louis », le 25 mai 1803.
Le Concordat est entré en vigueur depuis quelques mois, et la liberté religieuse peut s'établir en France. Madame Molé s'installe à Vannes avec quelques compagnes et sa mère, Madame de Lamoignon, dans un premier couvent acheté par elle, près du port de Vannes. Ses deux enfants étant « établis », elle y ouvre des classes pour les fillettes de familles pauvres.

Elle prononce ses vœux sous le nom de Sœur Saint-Louis (Mère Saint-Louis lorsqu'elle devient supérieure de la Congrégation) et les vocations affluent. Elle y anime notamment un atelier de dentelle et de tissage du coton.

Lorsque Pie VII (Barnaba Chiaramonti, 1800-1823) vient sacrer Napoléon Ier, il bénit la fondatrice et ses compagnes. Une nouvelle épreuve crucifiante survient en 1807, lorsque Mgr de Pancemont meurt d'une attaque d'apoplexie. Une nouvelle maison de charité ouvre en 1808 à Auray, dans l'ancien couvent des cordelières, puis fonde un noviciat séparé en 1810. La congrégation est reconnue civilement par une ordonnance royale, en 1816. En 1824, elle achète l'ancien couvent de Saint-Gildas de Rhuys pour y ouvrir une école gratuite et une œuvre de retraites.

Mère Saint-Louis quitte, à Vannes, sa demeure terrestre, pour la rencontre avec Dieu, le 4 mars 1825, serrant sur son cœur le crucifix qui ne la quittait pas depuis ses jeunes années.
Au décès de la Fondatrice, la Congrégation compte une cinquantaine de religieuses.
Elles désirent vivre selon son esprit et porter aux déshérités l'amour de Dieu qui les habite.
L'œuvre de Mère Saint-Louis s'est poursuivie en France, et dans d'autres pays : Angleterre, Canada, États-Unis, Haïti, Madagascar, Mali, Sénégal, Martinique, Mexique de sorte qu'on peut dire que sa Congrégation a pris une dimension internationale.

Le procès diocésain de béatification débute en 1959, le diocèse de Vannes déposant le dossier à Rome en 1962.

Déclarée vénérable par Saint Jean-Paul II, le 16 janvier 1986, Louise-Elisabeth de Lamoignon, épouse Molé de Champlâtreux (Mère Saint-Louis), a été proclamée bienheureuse le 27 mai 2012, en la solennité de Pentecôte, sur l’esplanade du port de Vannes, par le card. Angelo Amato s.d.b., Préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints, qui représentait le Pape Benoît XVI (Joseph Ratzinger).

Une première en Bretagne !

Saint Gérasime
L’anachorète du Jourdain
(† 475)

Commémoration :
L’Église orthodoxe le 04 mars.
Martyrologium Romanum le 05 mars (dies natalis).

G

 érasime naît dans la province de Lycie (Cappadoce), à la fin du IVe siècle, et entra dès son enfance dans un monastère cénobitique. Après avoir été initié aux règlements de la vie commune, le désir ardent de Dieu le conduisit en des lieux déserts où il se nourrissait de plantes poussant là naturellement, et il passait ses jours et ses nuits à lutter contre les esprits des ténèbres et les passions de la chair. De là, il se rendit en Terre Sainte pour entreprendre de plus grands combats dans les lieux sanctifiés par la présence de tant de saints ascètes et nouveaux Apôtres. Après avoir vénéré les sanctuaires de Jérusalem, il se dirigea vers l'âpre désert de la Mer Morte, qu'il civilisa par ses vertus, et attira à lui un grand nombre de disciples.

Pendant les temps troublés qui agitèrent les moines de Palestine, après le Concile de Chalcédoine (451) et entraînèrent vers l'hérésie plus de dix mille d'entre eux, Gérasime, victime de sa grande simplicité, se laissa séduire lui aussi quelque temps par l'éloquence trompeuse du monophysite Théodose qui s'était emparé du siège épiscopal de Jérusalem, à la place de St Juvénal. Mais, rencontrant St Euthyme dans le désert de Rouba, il réalisa son erreur, accueillit avec humilité son enseignement et revint à l'Orthodoxie pour devenir, tant par sa vie que par ses enseignements, un fervent défenseur de la Vraie Foi. Par la suite, il garda de fréquentes relations avec le grand Euthyme et, chaque année, il partait avec lui pour le désert profond, afin de passer tout le Carême, jusqu'au dimanche des Palmes, dans le jeûne le plus austère et la prière permanente. Pendant la semaine il s'abstenait de toute nourriture et ne se contentait, le dimanche, que de la Sainte Communion.

Comme ses disciples devenaient plus nombreux, il condescendit à leur faiblesse et alla fonder une laure (établissement monastique chez les orthodoxes ou catholiques de rite oriental) dans un endroit plus clément, sur les rives du Jourdain, dans laquelle il alliait harmonieusement la vie communautaire et la solitude, offrant ainsi à tous une saine émulation dans les combats de la vertu. Le samedi et le dimanche, ermites et cénobites se réunissaient dans l'église pour célébrer la Divine Liturgie et participer aux Saints Mystères. Après le repas commun, suivi de quelque conversation spirituelle ou d'une conférence de leur Père Gérasime, ils recevaient les fournitures nécessaires à leur travail manuel, un pain, quelques dattes et une cruche d'eau, et chacun repartait en silence pour mener son combat, seul devant Dieu. Ces ermites menaient une vie si austère qu'ils n'avaient dans leur cellule ni lampe, ni rien pour allumer du feu. Gérasime leur enseignait comment mettre tout leur soin à cultiver « l'homme caché du cœur » et à élever leur âme vers la contemplation des mystères divins. Ils étaient si dépouillés de tout attachement aux choses du monde qu'ils avaient comme règle, quand ils sortaient, de laisser leur cellule ouverte à quiconque entrerait pour prendre ce dont il avait besoin.

St Cyriaque l'Anachorète qui, trop jeune encore pour entreprendre les combats du désert, avait été envoyé par St Euthyme auprès de Gérasime pour devenir son disciple, racontait qu'un jour, après avoir été averti de nuit par la vision d'une colonne de feu qui s'élevait au ciel, son Ancien lui annonça que St Euthyme venait de décéder et qu'ils devaient se rendre à ses funérailles, après une longue marche dans le désert jusqu'à Jéricho.

On rélie à Gérasime, l’histoire non moins célèbre du lion. Un jour il se promenait sur la rive du Jourdain quand, soudain, un lion terrifiant se présenta devant lui, hurlant de douleur et lui montrant sa patte enflée, car une pointe de roseau s'y était enfoncée. Plein de cette même compassion que Dieu éprouve envers toutes Ses créatures, Gérasime retira l'épine, nettoya la plaie et la banda, puis il congédia la bête. Mais le lion, plein de reconnaissance, ne voulut plus quitter l'homme de Dieu; il le suivait partout comme un disciple exemplaire et, converti de sa férocité naturelle, il ne mangeait plus que du pain et des légumes. Il avait même reçu une obédience et était chargé de conduire l'âne du monastère pour le faire paître sur les rives du fleuve. Un jour, échappant à la surveillance du lion, l'âne s'éloigna et fut capturé par des chameliers qui venaient d'Arabie. Le lion revint au monastère tout triste et la tête baissée. Gérasime, croyant qu'il avait mangé l'âne, le réprimanda sévèrement et le condamna à faire désormais le travail de la bête de somme, en portant l'eau du fleuve au monastère. Quelque temps après, le chamelier qui avait pris l'âne étant de nouveau de passage dans la région, se trouva par hasard en face du lion. En reconnaissant l'âne, le lion fonça aussitôt sur lui et, le prenant par la bride avec trois chameaux à la suite, il le ramena avec joie au monastère en frétillant de la queue de joie. Son innocence ayant été reconnue, le lion, qui avait reçu le nom de Jourdain, vécut dès lors dans la laure inséparable du Saint et ami de tous les moines.

Au bout de cinq ans, quand Gérasime s'endormit dans le Seigneur (5 mars 475), Jourdain était absent de la laure. Lorsqu'à son retour, les moines lui apprirent la mort de l'Ancien, il refusa de manger et, tournant çà et là, il poussait de grands rugissements de désespoir. Comme les moines ne parvenaient pas à le consoler, l'un d'eux l'invita à le suivre pour voir l'endroit où on avait enterré le Saint. Aussitôt qu'il approcha de la tombe, le lion se prosterna avec le moine et, frappant violemment sa tête contre terre, il mourut sur place en poussant un grand rugissement.

La laure de Gérasime est restée pendant longtemps un des hauts lieux du monachisme palestinien, jusqu'à sa destruction au XIIIe siècle. Prenant avec eux les reliques du Saint, les moines s'installèrent alors dans la laure de Calamon qui prit le nom de Saint Gérasime.

Vénérable Ana de Jesús de Lobera

religieuse carmélite (✝ 1621)

- décret du 28 novembre 2019, en italien, concernant les vertus héroïques de la servante de Dieu Anne de Jésus (Ana de Lobera Torres, 1545-1621), religieuse carmélite.
- Décrets de la Congrégation pour les Causes des saints

Ana de Jesús de Lobera, religieuse carmélite, née le 25 novembre 1545 en Espagne et morte en Belgique à Bruxelles le 4 mars 1621, au carmel, où son tombeau est un lieu de prière. Grande mystique et écrivaine, compagne de Thérèse d’Avila, elle avait reçu d’elle une croix et sa cape de carmélite, qui sont restées au carmel de Bruxelles.
- Compagne de Thérèse de Jésus et fondatrice après elle : Anne de Jésus, carmélites de Bruxelles.
- Madre Ana de Jesus , en espagnol

« Dieu soit béni qui nous a permis de voir une sainte que nous puissions toutes imiter, qui mange, dort et parle comme nous et ne fait pas de cérémonies. »

Anne de Jésus en 1597 quand elle témoigne pour le Procès apostolique de Thérèse d’Avila

Saints Basile et ses compagnons martyrs

apôtres de la Crimée (IVe siècle)

Saints Basile, Ephrem, Capiton, Eugène, Euthère, Elpidias et Agathodore, évêques de Chersonèse, martyrs... saints hiéromartyrs, évêques de Chersone (aujourd'hui Sébastopol) en Crimée.
saint Basile et ses compagnons martyrsEn Crimée, saint Basile et ses compagnons martyrs, Eugène, Agathodore, Elpide, Ethère, Capiton ou Gapito, Ephrem, Nestor et Arcade, évangélisèrent la région au IVe siècle. Ces évêques missionnaires prêchèrent en Crimée et dans le sud de la Russie. Nestor et Arcade travaillèrent à Chypre. Les Grecs les honorent tous comme martyrs.
Ces saints sont vénérés comme les apôtres de la Crimée. La tradition veut que l'initiative de cette mission revienne à l'Église de Jérusalem, mais cela est peu probable, car il s'agit de l'époque préconstantinienne: peut-être a-t-on voulu ainsi marquer un lien antique avec l'Église syro-palestinienne? au Calendrier liturgique des Églises traditionnelles du rite byzantin, projet de l'Institut d'Études Œcuméniques - Université Catholique d'Ukraine.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article