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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Le Saint-Père prie pour ceux qui ont perdu leur travail

LECTURE DU JOUR

Lecture du livre des Actes des Apôtres
(Ac 14, 5-18)

En ces jours-là,
à Iconium,
il y eut un mouvement
chez les non-Juifs et chez les Juifs, avec leurs chefs,
pour recourir à la violence
et lapider Paul et Barnabé.
Lorsque ceux-ci s’en aperçurent,
ils se réfugièrent en Lycaonie
dans les cités de Lystres et de Derbé
et dans leurs territoires environnants.
Là encore, ils annonçaient la Bonne Nouvelle.

Or, à Lystres, il y avait un homme
qui était assis, incapable de se tenir sur ses pieds.
Infirme de naissance,
il n’avait jamais pu marcher.
Cet homme écoutait les paroles de Paul.
Celui-ci le fixa du regard
et vit qu’il avait la foi pour être sauvé.
Alors il lui dit d’une voix forte :
« Lève-toi, tiens-toi droit sur tes pieds. »
L’homme se dressa d’un bond :
il marchait.
En voyant ce que Paul venait de faire,
les foules s’écrièrent en lycaonien :
« Les dieux se sont faits pareils aux hommes,
et ils sont descendus chez nous ! »
Ils donnaient à Barnabé le nom de Zeus,
et à Paul celui d’Hermès,
puisque c’était lui le porte-parole.
Le prêtre du temple de Zeus, situé hors de la ville,
fit amener aux portes de celle-ci
des taureaux et des guirlandes.
Il voulait offrir un sacrifice avec les foules.
Informés de cela, les Apôtres Barnabé et Paul
déchirèrent leurs vêtements
et se précipitèrent dans la foule en criant :
« Pourquoi faites-vous cela ?
Nous aussi, nous sommes des hommes pareils à vous,
et nous annonçons la Bonne Nouvelle :
détournez-vous de ces vaines pratiques,
et tournez-vous vers le Dieu vivant,
lui qui a fait le ciel, la terre, la mer,
et tout ce qu’ils contiennent.
Dans les générations passées,
il a laissé toutes les nations suivre leurs chemins.
Pourtant, il n’a pas manqué de donner
le témoignage de ses bienfaits,
puisqu’il vous a envoyé du ciel
la pluie et des saisons fertiles
pour vous combler de nourriture et de bien-être. »

En parlant ainsi,
ils empêchèrent, mais non sans peine, la foule
de leur offrir un sacrifice.

ÉVANGILE DU JOUR

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
(Jn 14, 21-26)

En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
« Celui qui reçoit mes commandements et les garde,
c’est celui-là qui m’aime ;
et celui qui m’aime
sera aimé de mon Père ;
moi aussi, je l’aimerai,
et je me manifesterai à lui. »
Jude – non pas Judas l’Iscariote – lui demanda :
« Seigneur, que se passe-t-il ?
Est-ce à nous que tu vas te manifester, et non pas au monde ? »
Jésus lui répondit :
« Si quelqu’un m’aime,
il gardera ma parole ;
mon Père l’aimera,
nous viendrons vers lui
et, chez lui, nous nous ferons une demeure.
Celui qui ne m’aime pas
ne garde pas mes paroles.
Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi :
elle est du Père, qui m’a envoyé.
Je vous parle ainsi,
tant que je demeure avec vous ;
mais le Défenseur,
l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom,
lui, vous enseignera tout,
et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit. »

PAROLES DU SAINT PÈRE

L'Esprit Saint ne nous rend pas seulement capables d'espérer mais aussi d'être des semeurs d'espérance, d'être nous aussi – comme Lui et grâce à Lui – des “paraclets”, c'est-à-dire des consolateurs et des défenseurs des frères, des semeurs d'espérance. Un chrétien peut semer l'amertume, peut semer la perplexité et ce n'est pas chrétien, et toi, si tu le fais, tu n'es pas un bon chrétien. Sème l'espérance : sème de l'huile d'espérance, sème le parfum de l'espérance et n'accepte pas d'amertume ou de désespérance. (Audience générale, 31 mai 2017)

Le Saint-Père prie pour ceux qui ont perdu leur travail
Lors de la messe célébrée en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, le Pape a prié pour ceux qui souffrent en raison de la perte de leur emploi au cours de ces dernières semaines. Il a aussi rappelé le 75ème anniversaire de la découverte du corps de saint Timothée dans la crypte de la Cathédrale de Termoli. Dans son homélie, François est revenu sur le rôle de l’Esprit-Saint, qui aide à comprendre ce que le Seigneur nous a dit.
 

Vatican News

Au début de la messe de ce lundi de la 5e semaine du Temps Pascal, le Saint-Père a formulé l’intention de prière suivante:

«Nous nous joignons aux fidèles de Termoli, en la fête de la découverte du corps de Saint Timothée aujourd'hui. Ces jours-ci, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi; elles n'ont pas été réembauchées, elles travaillaient au noir... Nous prions pour nos frères et sœurs qui souffrent de ce manque de travail».

Le Pape a ensuite commenté l'Évangile d'aujourd'hui (Jn 14, 21-26) dans lequel Jésus dit à ses disciples: «Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole ; mon Père l’aimera, nous viendrons vers lui et, chez lui, nous nous ferons une demeure. Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père, qui m’a envoyé. Je vous parle ainsi, tant que je demeure avec vous ; mais le Défenseur, l’Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit.»

«C'est la promesse de l'Esprit Saint, l'Esprit Saint qui habite avec nous et que le Père et le Fils envoient» pour «nous accompagner dans la vie», a expliqué le Pape. Il est appelé le Paraclet, c'est-à-dire Celui qui «soutient, qui accompagne pour ne pas tomber, qui te maintient ferme, qui est proche de toi pour te soutenir. Et le Seigneur nous a promis ce soutien, qui est Dieu comme lui: il est le Saint-Esprit. Que fait le Saint-Esprit en nous? Le Seigneur le dit: "Il vous enseignera tout et vous rappellera tout ce que je vous ai dit”. Enseigner et se souvenir. C'est le travail du Saint-Esprit. Il nous enseigne: il nous enseigne le mystère de la foi, il nous apprend à entrer dans le mystère, à comprendre un peu plus le mystère, il nous enseigne la doctrine de Jésus et nous apprend à développer notre foi sans faire d'erreurs, parce que la doctrine grandit, mais toujours dans la même direction: elle grandit dans la compréhension. Et l'Esprit nous aide à grandir dans la compréhension de la foi, à la comprendre davantage et à aller plus loin pour comprendre ce que dit la foi. La foi n'est pas une chose statique ; la doctrine n'est pas une chose statique: elle "grandit" toujours, mais elle grandit "dans la même direction". Et l'Esprit Saint empêche la doctrine de se tromper, l'empêche de s'immobiliser, sans grandir en nous. Il nous enseignera les choses que Jésus nous a enseignées, il développera en nous la compréhension de ce que Jésus nous a enseigné, il fera grandir en nous la doctrine du Seigneur, jusqu'à la maturité».

Une autre chose que fait le Saint-Esprit, c'est le fait de se souvenir, a poursuivi le Saint-Père: «Il vous rappellera tout ce que je vous ai dit.» L'Esprit Saint est comme un souvenir, il nous réveille", il nous garde toujours éveillés «dans les choses du Seigneur» et il nous fait aussi nous souvenir de notre vie, quand nous avons rencontré le Seigneur ou quand nous l'avons quitté.

François s’est ensuite souvenu d'une personne qui priait ainsi devant le Seigneur: «Seigneur, je suis le même qui, enfant, garçon, a fait ces rêves. Ensuite, j'ai pris de mauvais chemins. Maintenant, tu m'as appelé». Ceci, a expliqué le Pape, «est la mémoire de l'Esprit Saint dans la vie de chacun. Elle t’amène à la mémoire du salut, à la mémoire de ce que Jésus t’a enseigné, mais aussi à faire mémoire de ta propre vie. C'est une belle façon de prier le Seigneur: "Je suis le même. J'ai beaucoup marché, j'ai fait beaucoup d'erreurs, mais je suis le même et tu m'aimes".  C'est la mémoire du voyage de la vie», a souligné le Saint-Père.

«Et dans cette mémoire, l'Esprit Saint nous guide ; il nous guide pour discerner, pour discerner ce que je dois faire maintenant, ce qui est la bonne voie et ce qui est mauvais, même dans les petites décisions. Si nous demandons la lumière à l'Esprit Saint, il nous aidera à discerner afin de prendre les bonnes décisions, les petites décisions de tous les jours et les plus grandes». L'Esprit «nous accompagne, nous soutient dans le discernement», a assuré François, «Il nous enseignera tout, c'est-à-dire qu'il fait croître la foi, il nous introduit dans le mystère, l'Esprit nous rappelle : il nous rappelle la foi, il nous rappelle notre propre vie, et l'Esprit, dans cet enseignement, dans cette mémoire, nous apprend à discerner les décisions que nous devons prendre. Et les Évangiles donnent un nom à l'Esprit Saint: oui, le Paraclet, parce qu'il vous soutient, mais aussi un autre nom plus beau: c'est le Don de Dieu. L'Esprit est le don de Dieu. L'Esprit est précisément le Don: "Je ne vous laisserai pas seuls, je vous enverrai un Paraclet qui vous soutiendra et nous aidera à avancer, à nous souvenir, à discerner et à grandir. Le don de Dieu est le Saint-Esprit», a insisté le Saint-Père.

«Que le Seigneur nous aide à garder ce don qu'il nous a donné lors du baptême et que nous avons tous en nous», a-t-il conclu.

Après la communion, le Pape a invité les fidèles ne pouvant communier sacramentellement à réciter l’acte de communion spirituelle suivant:

«Mon Jésus, je crois à votre présence dans le Très Saint Sacrement. Je vous aime plus que toute chose et je désire que vous veniez dans mon âme. Je ne puis maintenant vous recevoir sacramentellement dans mon Cœur : venez‐y au moins spirituellement. Je vous embrasse comme si vous étiez déjà venu, et je m'unis à vous tout entier. Ne permettez pas que j'aie jamais le malheur de me séparer de vous.»

Il y a ensuite eu un temps d’adoration du Saint-Sacrement, suivi de la bénédiction eucharistique.

Avant que le Saint-Père ne quitte la chapelle, dédiée à l’Esprit-Saint, l’antienne mariale du temps pascal Regina Cœli a été entonnée:

Regína caeli laetáre, allelúia. 

Quia quem merúisti portáre, allelúia.

Resurréxit, sicut dixit, allelúia.

Ora pro nobis Deum, allelúia

11 mai 2020, 07:34
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