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Le blog de mim-nanou75.over-blog.com

Bienvenue sur mon site Une innovation pour mes anciens lecteurs, désormais je traite de divers sujet, en premier La religion judéo chrétienne signé" Monique Emounah", pour ceux qui ne peuvent se déplacer à l'églises quelques soit la raison, et le lieu de leurs résidences ils peuvent suivre les offices du jour, la politique (LR) et les infos, la poésie et les arts en général. Mes écrits, signé (Alumacom) également mes promos de mes dernières parutions et quelquefois un rappel pour mes anciens écrits. Merci de votre attention,

Bonne fête aux Charlotte et aux très Saintes Âmes du 17 juillet

SAINT DU JOUR
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Date 17 juillet

Le Saint du Jour est une liste quotidienne des Saints gardés dans la mémoire de l'Église. Les histoires des maîtres de la vie chrétienne de tous les temps qui comme des phares radieux orientent notre chemin.

Saint-Siège

Bienheureuse Charlotte

et ses compagnes, Carmélites de Compiègne, martyres (✝ 1794)

Anne Marie Madeleine Françoise Thouret, en religion Sœur Charlotte de la Résurrection est née en 1715 à Mouy dans le diocèse de Beauvais. Lorsqu'éclate la Révolution française, en 1789, la communauté du Carmel de Compiègne compte 21 religieuses. 18 monteront sur l'échafaud.Bienheureuse Charlotte Conformément au décret du 13 février 1790 qui supprime les Ordres religieux contemplatifs, chaque carmélite est invitée à déclarer si son intention est de sortir de son monastère. Toutes affirment "vouloir vivre et mourir dans cette sainte maison." En 1792, la Mère prieure leur propose "un acte de consécration par lequel la communauté s'offrirait en holocauste pour que la paix divine, que le Fils de Dieu était venu apporter au monde, fut rendue à l'Église et à l'État." Le 14 septembre 1792, elles sont expulsées de leur couvent. Chaque jour, elles prononcent l'acte d'offrande. Le 23 juin 1794, au temps de la Grande Terreur, elles sont arrêtées. Jugées et condamnées à mort le 17 juillet, elles sont guillotinées le soir même, sur la place de Nation à Paris. Leurs corps furent enterrés au cimetière de Picpus dans une fosse commune, où ils se trouvent encore dans le jardin des religieuses.
Carmélites de Compiègne.
À Paris, en 1794, les bienheureuses Thérèse de Saint-Augustin (Marie-Madeleine-Claudine Lidoine) et quinze compagnes: les bienheureuses Marie-Anne-Françoise Brideau (Sœur Saint-Louis), Marie-Anne Piedcourt (Sœur de Jésus Crucifié), Anne-Marie-Madeleine Thouret (Sœur Charlotte de la Résurrection), Marie-Claudie-Cyprienne Brard (Sœur Euphrasie de l'Immaculée-Conception), Marie-Gabrielle de Croissy (Sœur Henriette de Jésus), Marie-Anne Hanisset (Sœur Thérèse du Cœur de Marie), Marie-Gabrielle Trézelle (Sieur Thérèse de Saint-Ignace), Rose Chrétien de Neufville (Sœur Julie-Louise de Jésus), Annette Pelras (Sœur Marie-Henriette de la Providence), Marie-Geneviève Meunier (Sœur Constance), Angélique Roussel (Sœur Marie du Saint-Esprit), Marie Dufour (Sœur Sainte-Marthe), Élisabeth-Julie Vérolot (Sœur Saint-François), Catherine et Thérèse Soiron (sœurs converses), vierges, carmélites de Compiègne et martyres. Sous la Révolution française, elles furent condamnées à mort parce qu'elles avaient conservé fidèlement la vie religieuse et, avant de monter à l'échafaud, elles renouvelèrent leur profession de foi baptismale et leurs vœux religieux.

Martyrologe romain

"Il est certain que notre position actuelle porte des exceptions qu'un cœur droit peut avouer mais dont un cœur fidèle n'abuse pas."

Lettre de Mère Thérèse prisonnière à l'une de ses religieuses
Les Bienheureuses
Carmélites de Compiègne

Martyres
(† 1794)

Les Bienheureuses Carmélites de Compiègne
Les Bses Carmélites de Compiègne

Le monastère de Compiègne fut établi en 1641. Lorsque Madame Louise de France, fille de Louis XV, eut obtenu la permission d'entrer au Carmel, elle eût voulu entrer dans cette maison; mais le roi s'y opposa. Elle choisit alors un monastère plus rapproché de Versailles, celui de Saint-Denis; mais elle resta dévouée à celui de Compiègne, et lui procura des sujets. C'est ainsi qu'elle y envoya Madeleine Lidoine et lui paya sa dot. En reconnaissance celle-ci voulut prendre le nom de religion de sa bienfaitrice: Sœur Thérèse de Saint-Augustin. Elle devint prieure après dix ans de profession et mourut martyre.

En 1789 elle se trouvait donc à la tête de la communauté de Compiègne qui comptait seize religieuses de chœur. Le 5 février 1790, l'Assemblée Nationale votait la suppression des monastères, et le 13, la suppression des vœux de religion. Le 20 mars suivant, elle ordonnait aux municipalités de s'enquérir auprès des religieux habitant leurs communes respectives, de leur intention de rester dans leur couvent ou d'en sortir. Les Carmélites de Compiègne, professe et converses, protestèrent unanimement qu'elles voulaient «vivre et mourir dans leur état». On les laissa continuer à vivre dans leur pauvreté jusqu'au 14 septembre 1792, où en vertu d'une loi de l'Assemblée, ces saintes filles furent expulsées de leur maison et durent se disperser.

En même temps qu'elles étaient chassées de leur monastère, elles furent mises en demeure de signer le serment dit de «Liberté et Egalité». La Prieure déclara, au nom de ses Sœurs, qu'elles ne voulaient pas le prêter; néanmoins le maire, à l'aide d'un subterfuge, réussit à leur arracher une signature, qu'elles rétractèrent en juin 1794.

La vie continua ainsi: plusieurs professes étaient mortes, quelques autres étaient rentrées provisoirement dans leurs familles. Il en restait encore seize qui persévéraient malgré tout. Sur l'invitation de leur prieure, elles firent un acte de consécration, par lequel elles s'offraient en holocauste pour apaiser la colère de Dieu et obtenir que la paix fût rendue à l'Église de France. Deux cependant, les plus âgées, eurent un moment d'effroi à l'image de la guillotine; mais bientôt, se reprenant, elles s'associèrent de plein cœur à leurs sœurs qui refaisaient cet acte de consécration chaque jour.

Le 22 juin 1794, le Comité Révolutionnaire de Murat-sur-Oise (c'est-à-dire de Compiègne), emprisonnait les Carmélites et les dénonçait au Comité du Salut public. Celui-ci ordonna de les expédier à Paris. Sur tout le parcours, ces saintes femmes furent lâchement abreuvées d'insultes et de brutalités provoquées par leurs conducteurs. L'une d'elles, âgée de soixante-dix-sept ans, et infirme, ne pouvant descendre de la charrette, fut jetée sur le sol. On dut la relever; elle remercia: «je vous remercie de ne m'avoir pas tuée, car j'aurais manqué au bonheur du martyre que j'attends.»

Elles furent jugées le 17 juillet; il n'y eut qu'un simulacre d'audience, dont il n'est resté que la liste des condamnées. De là elles furent conduites directement à l'échafaud. Sur les charrettes, les Carmélites chantèrent le «Salve Regina» et le «Te Deum». Arrivées au lieu d'exécution, elles se groupent autour de la Prieure, et ensemble renouvellent leurs vœux. Puis, la plus jeune, la novice sœur Constance, s'agenouille, demande sa dernière obédience, celle de mourir. Et, bénie, elle se livre au bourreau. La dernière, Mère Thérèse de Saint-Augustin, inclina la tête sous le couperet. Quelle sublime grandeur dans la simplicité et la mort de ces héroïques femmes!

J.-M. Planchet, Nouvelle Vie des Saints, 2e éd. Paris, 1946

17 Juillet
  
Saint Alexis

Confesseur, Pèlerin et Mendiant
(† 404)

Saint Alexis
Saint Alexis

Saint Alexis fut un rare modèle de mépris du monde. Fils unique d'un des plus illustres sénateurs de Rome nommé Euphémien, il reçut une éducation brillante et soignée.

L'exemple de ses parents apprit au jeune Alexis que le meilleur usage des richesses consistait à les partager avec les pauvres. Cédant aux désirs de sa famille, le jeune Alexis dut choisir une épouse. Mais le jour même de ses noces, se sentant pénétré du désir d'être uniquement à Dieu et de L'aimer sans partage, il résolut de s'enfuir secrètement, s'embarqua sur un vaisseau qui se dirigeait vers Laodicée, et gagna la ville d'Edesse.

Là, distribuant aux indigents tout ce qui lui restait d'argent, il se mit à mendier son pain. Il passait la plus grande partie de son temps à prier sous le portail du sanctuaire de Notre-Dame d'Edesse, devant une image de la Vierge. Après dix-sept années passées dans l'abjection et l'oubli le plus total, il plut à Marie de glorifier Son serviteur par un éclatant miracle. Un jour, comme le trésorier de l'église passait sous le porche, l'image de Notre-Dame s'illumina d'une clarté soudaine. Frappé de ce merveilleux spectacle, le trésorier se prosterna devant la Madone. La Très Sainte Vierge lui montra Alexis et lui dit: «Allez préparer à ce pauvre un logement convenable. Je ne puis souffrir qu'un de Mes serviteurs aussi dévoué soit délaissé de la sorte.»

La nouvelle de cette révélation se répandit aussitôt dans la ville. L'humilité du Saint s'alarma devant les témoignages de vénération dont il était devenu subitement l'objet. Il quitta donc la ville d'Edesse pour se rendre à Tarse, mais une tempête poussa l'embarquation sur les rivages d'Italie. L'Esprit-Saint lui inspira l'idée de retourner à Rome, sa ville natale, et de mendier une petite place dans la maison paternelle. A la requête de l'humble pèlerin, le sénateur Euphémien consentit à le laisser habiter sous l'escalier d'entrée de son palais, lui demandant, en reconnaissance de ce bienfait, de prier pour le retour de son fils disparu.

Saint Alexis vécut inconnu, pauvre et méprisé, à l'endroit même où il avait été entouré de tant d'estime et d'honneurs. Tous les jours, il voyait couler les larmes du vieux patricien, il entendait les soupirs d'une mère inconsolable et entrevoyait cette noble fiancée dont la beauté s'était empreinte d'une indicible tristesse. Malgré ce déchirant spectacle, saint Alexis eut le courage surhumain de garder son secret et de renouveler perpétuellement son sacrifice à Dieu.

Ce Saint, plus qu'admirable, demeura dix-sept nouvelles années dans le plus complet oubli, vivant caché sous les marches de cet escalier que tous gravissaient pour entrer dans une maison qui était la sienne, en sorte qu'il semblait foulé aux pieds de tous. Avec une humilité consommée, il subit sans jamais se plaindre, les odieux procédés et les persécutions des valets qui l'avaient servi autrefois avec tant de respect et d'égards. Saint Alexis passa donc trente-quatre ans dans une âpre et héroïque lutte contre lui-même. Ce temps écoulé, Dieu ordonna à Son serviteur d'écrire son nom et de rédiger l'histoire de sa vie. Alexis comprit qu'il allait mourir bientôt, et obéit promptement.

Le dimanche suivant, au moment où le pape Innocent Ier célébrait la messe dans la basilique St-Pierre de Rome, en présence de l'empereur Honorius, tout le peuple entendit une voix mystérieuse qui partait du sanctuaire: «Cherchez l'homme de Dieu, dit la voix, il priera pour Rome, et le Seigneur lui sera propice. Du reste, il doit mourir vendredi prochain.»

Durant cinq jours, tous les habitants de la ville s'épuisèrent en vaines recherches. Le vendredi suivant, dans la même basilique, la même voix se fit entendre de nouveau au peuple assemblé: «Le Saint est dans la maison du sénateur Euphémien.» On y courut, et on trouva le pauvre pèlerin, qui venait de mourir. Quand le Pape eu fait donner lecture du parchemin que le mort tenait en sa main, ce ne fut de toutes parts, dans Rome, qu'un cri d'admiration. Innocent Ier ordonna d'exposer le corps de saint Alexis à la basilique St-Pierre, pendant sept jours. Ses funérailles eurent lieu au milieu d'un immense concours de peuple.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950. -- F. Paillart, édition 1900, p. 209-201 -- L'abbé Jouve, édition 1886, p. 87-89 -- Les Petits Bollandistes, Paris, 1874, tome XIII, p. 403-405 -- l'Abbé J. Sabouret, édition 1922, p. 275-277

Saint Léon IV

PAPE (103E) DE 847 À 855

F

Martyrologe Romain : À Rome, près de saint Pierre, en 865, saint Léon IV, pape, défenseur de la cité et restaurateur du primat de Pierre.

Romain, d'origine lombarde. Bénédictin. Élu à l'unanimité à la mort du pape Serge. Énergique, se montra autoritaire avec beaucoup de gens puissants. Créa la « città leoniana » où trouvèrent refuge ses successeurs dans les moments difficiles pour Rome. Créa une flotte qui chassa les Sarrasins d'Ostie. Reconstruisit Civitavecchia à un emplacement plus sûr. Son règne vit une réaffirmation de l'autorité papale. Grand promoteur de la musique sacrée. Il s'employa aussi à rétablir la discipline ecclésiastique.

 

ête Le 17 Juillet
Ste Marcelline

 

VIERGE († V. 398)

Fête Le 17 Juille

Martyrologe Romain : À Milan, vers 398, sainte Marcelline, vierge, sœur de saint Ambroise. Elle reçut à Rome, dans la basilique Saint-Pierre, le voile de consécration des mains du pape Libère. Pour l’encourager dans sa vocation, saint Ambroise écrivit son traité Sur les Vierges.

Sœur aînée des saints Ambroise et Satyre, elle reçut le voile virginal du Pape le jour de Noël 353. Quand Ambroise devint évêque de Milan, elle s’y transfère comme sa collaboratrice. Elle vécut dans une communauté avec quelques compagnes, priant et s’occupant des pauvres jusqu’à sa mort en 397.  

 Fêtes des Saintes Âmes du 17 Juillet
Saint Alexis
légende (Ve siècle)
Saints André et Benoît
ermites dans les Carpates (XIe siècle)
Bienheureux Bénigne
(✝ 1236)
Carmélites de Compiègne
16 religieuses martyres (✝ 1794)
Saint Colman
martyr en Autriche (✝ 1012)
Saint Ennode
évêque de Pavie (✝ 521)
Bienheureuse Euphrasie (Marie-Claude Brard)
carmélite martyre (✝ 1794)
Saint Frégaud
moine (VIIe siècle)
Sainte Hedwige
reine de Pologne (✝ 1399)
Saint Hyacinthe
Martyr en Asie Mineure (IVe siècle)
Saint Irénarque
(✝ 1628)
Saintes Juste et Rufine
martyres à Séville en Espagne (IIIe siècle)
Saint Kenelm
martyr, prince de Mercie en Angleterre (✝ v. 812)
Saint Léon IV
Pape (103e) de 847 à 855 (✝ 855)
Saint Livier
martyr (Ve siècle)
Sainte Marcelline
Soeur de saint Ambroise de Milan (✝ 398)
Vénérable Mari Carmen González-Valerio
Enfant de l'archidiocèse de Madrid (✝ 1939)
Vénérable María Séiquer Gayá
fondatrice des soeurs apostoliques du Christ crucifié (✝ 1975)
Vénérable Maria Teodora Voiron
religieuse (✝ 1925)
Saint Nersès de Lamprun
Archevêque de Tarse (✝ 1198)
Bienheureux Paul Gojdich
évêque et martyr (✝ 1960)
Saint Pierre Liu Ziyu
martyr en Chine (✝ 1900)
Bienheureux Simon Stock
carme anglais (✝ v. 1265)
Saints Spérat et ses compagnons martyrs scillitains
martyrs de Scilli (actuellement Kasserine en Tunisie) et martyrs à Carthage (✝ 180)
Saint Théodose
évêque d'Auxerre (✝ v. 515)
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